Retroplanning Pechiney

présentation de l'entreprise est nécessaire au lancement de plan de recrutement puisqu'elle permet une présentation rapide et agréable de la société. 2. Ici, le problème de communication qui se pose est de réussir à atteindre les cibles voulues. Pechiney bénéficie d'une image sérieuse et forte, mais peu moderne et attractive, il faut donc réussir à séduire les jeunes diplômés, afin de leur montrer une nouvelle image de l'entreprise. 3. Cible principale : Hommes et Femmes, d'environ 20 à 40 ans

Que prend en compte l’imaginaire de celui qui utilise le concept « entreprise » ? Voici quelques exemples typiques. – L’entreprise industrielle (organisation complexe, lourde, dominante) Eads, Schneider Electric, Hewlett Packard, Essilor, Renault, Pechiney, Arkema, Air Liquide, etc. – L’entreprise capitalistique (Bourse, actionnaires) Microsoft, Intel, L’Oréal, Les Fonds de Pension, Apple, Banques et Investisseurs, etc. – L’entreprise marchande, fer de lance de la société de consommation Bouygues,

écrêtent la moindre aspérité des discours. Au-dessus, souvent, les présidents et directions générales qui cultivent un culte maladif du « secret ». Ainsi, en novembre 1989, les salariés d’American Can apprendront le rachat de leur entreprise par Péchiney par une « fuite » dans la presse économique. En 1990, ce sont ceux d’Adidas qui découvrent, médusés, le rachat de leur entreprise par Bernard Tapie en direct de la coupe du monde de football « à la télé ». La communication interne connaît alors à

accompagne la forte croissance de l’après-guerre. À partir des années trente, les premières expériences de budgétisation et de contrôle budgétaire sont mises en place dans les entreprises françaises (Berland, 1999). Quelques grands noms (Alstom, Pechiney, Saint-Gobain, Le Printemps…) font partie des leaders. Mais ce n’est encore qu’à partir des années cinquante, et toujours sous l’impulsion des missions de productivité, que cette technique touche un plus grand nombre d’entreprises. De même, c’est

accompagne la forte croissance de l’après-guerre. À partir des années trente, les premières expériences de budgétisation et de contrôle budgétaire sont mises en place dans les entreprises françaises (Berland, 1999). Quelques grands noms (Alstom, Pechiney, Saint-Gobain, Le Printemps…) font partie des leaders. Mais ce n’est encore qu’à partir des années cinquante, et toujours sous l’impulsion des missions de productivité, que cette technique touche un plus grand nombre d’entreprises. De même, c’est