Reve Jules Laforgue

douleur, de l’enthousiasme. » George Sand. 37. « D’où tenons-nous cette notion du bonheur ? Si elle réside dans la mémoire, c’est que nous avons été heureux autrefois. » Saint-Augustin. 38. « Tout bonheur que la main n’atteint pas n’est qu’un rêve. » Joséphin Soulary, Sonnets humoristiques. 39. « Le bonheur n’est pas le droit de chacun, c’est un combat de tous les jours. » Orson Welles. 40. « Le bonheur, c’est un choix. » David Sandes, La méthode miraculeuse de Félix Bubka. 41. « Le

reprocher. Dans cette première jeunesse, il vivait à la façon de François Coppée, d'Albert Mérat, de Léon Valade, de tant d'autres poètes, prisonniers d'un bureau, qui allaient à la campagne le dimanche. Cette modeste et monotone existence, favorable au rêve et au travail patient du vers, était celle de la plupart des parnassiens. Seul ou presque seul dans le cénacle, M. Jose-Maria de Heredia, bien que frustré d'une grande part des trésors de ses aïeux, les conquistadores, faisait figure de jeune gentleman

des idées. Avec le symbolisme, le rêve, la suggestion, le fantastique l'emporte.占上风 Le roman Contes cruels d'Auguste de Villiers de l'IsleAdam Le théâtre Pélléas et Mélisande de Maurice Maeterlinck. Ubu Roi d'Alfred Jarry La poésie Les Complaintes de Jules Laforgue Une Saison en enfer, les Illuminations d'Arthur Rimbaud Poèmes saturniens, Fêtes galantes de Verlaine Le surréalisme Le surréalisme qui naît dans les années 1920 affirme la puissance du rêve, de l'instinct 本能m et du désir. Il

je n’étais pas fait pour cette haine Et pour ce mépris plus forts que moi que j’ai. Mais pourquoi m’avoir fait cet agneau sans laine Et pourquoi m’avoir fait ce coeur outragé ? J’étais né pour plaire à toute âme un peu fière, Sorte d’homme en rêve et capable du mieux, Parfois tout sourire et parfois tout prière, Et toujours des cieux attendris dans les yeux ; Toujours la bonté des caresses sincères, En dépit de tout et quoi qu’il y parût, Toujours la pudeur des hontes nécessaires Dans

réhabilite aussi le travail acharné et minutieux de l'artiste et il utilise souvent la métaphore de la sculpture pour indiquer la résistance de la « matière poétique ». Le travail du poète plasticien selon Gautier : "Sculpte, lime, cisèle;/ Que ton rêve flottant/Se scelle/Dans le bloc résistant !" ("L'Art"). Un groupe de poètes se rassemble ensuite autour de la revue Le Parnasse contemporain. Quelques "modernes" (comme Baudelaire ou Mallarmé) se laissèrent un moment tenter par cette démarche mais

développe aux alentours des années 1880, en réaction contre le Naturalisme. Les symbolistes tentent de faire revivre la puissance mystique du monde, et d’accéder au monde des essences par leurs symboles. On y trouve des poètes comme Mallarmé, Jules Laforgue ou Charles Cros. Mallarmé devient le maître, en faisant porter à l’extrême la perfection et l’absolu de la poésie. Les symbolistes croient que les choses ont une face cachée, ils souhaitent déchiffrer le sens de l’univers. Le poète ne décrit

, comme l’écriture automatique ou le jeu du cadavre exquis. Ils créent  des associations d’idées, des images et des sonorités étonnantes. Leur poésie s’inspire ainsi de plusieurs thèmes centraux comme  le rêve, la folie, l’amour, la révolte . De plus, les poètes surréalistes  s’opposent aux conventions artistiques et sociales, et sont généralement en faveur de l’engagement. C’est

moins en donner une idée. Mais il s’agit au sens strict du terme d’une école littéraire lancée par le manifeste de Jean Moréas en 1886, dans lequel il reconnaît Rimbaud, Verlaine et Mallarmé comme maîtres du symbolisme. Jean Moréas, René Ghil et Jules Laforgue en sont les grands représentants. Les emblèmes du symbolisme Paul Verlaine pratique un art de la suggestion. Ses principaux recueils confèrent le primat absolu à la musique, seule capable de transporter l’âme vers des ailleurs inconnus. Arthur

l’Amour. Ensuite tout cela rapproché et combiné de plusieurs façons possibles, avec la perfection d’un peintre consommé, avec la rigueur d’un littérateur subtil, avec l’éloquence d’un musicien passionné. C’est l’invisible, c’est l’impalpable, c’est le rêve, c’est les nerfs, c’est l’âme. C’est, du reste, un des diagnostics de l’état spirituel du siècle de Baudelaire, que les arts aspirent, sinon à se suppléer l’un l’autre, du moins à se prêter réciproquement des forces nouvelles. Cette matière

bleu violet Flammées de vert, Ocellées d'ocré Et cernées d'or. Et voilà qu'au milieu des Elus, ses précurseurs, II tourbillonne ainsi qu'une immense fleur de punch Dont s'éclairerait la dernière et verdâtre Bombance d'un gargantuesque festin de rêve Au pays des Burgraves. Apollinaire est un fastueux danseur. IV II est le danseur plastique et prestigieux Qu'auraient aimé les Porphyrogénètes du Passé. Parfois, dur aux femmes, II offre sa virilité tendue en exagération, Mais ses rythmes