Revenu de solidarité active

Emploi et insertion : le bilan du "workfare" Le RSA de Martin Hirsch n’est que l’exemple le plus récent des politiques du « workfare », autrement dit des mesures visant à « activer » les politiques sociales. Depuis quinze ans, ces politiques ont été adoptées aux Etats-Unis et dans plusieurs pays européens. Avec quel résultat ? Selon le sociologue Jean-Claude Barbier, les promesses de réduction des inégalités ou de lutte contre la pauvreté n’ont pas été tenues. Par Jean-Claude Barbier ; sociologue

DOCUMENT 4 – Vingt ans après la mise en place du revenu minimum d’insertion (RMI), voici le revenu de solidarité active (RSA). Le RSA s’adresse aux personnes sans emploi, mais aussi aux travailleurs pauvres. Il remplace à la fois le RMI et l’allocation de parent isolé (API). Le dispositif ne changera rien pour une personne qui ne travaille pas, elle continuera à percevoir un "revenu minimum garanti" égal au RMI actuel, soit 460,09 euros pour une personne seule sans enfant (690,13 euros avec

départementales et s’articule autour de quatre domaines : la prévention et la protection de l’enfance, les actions en faveur des personnes âgées, l’intégration des personnes handicapées, l’aide aux plus démunis (avec notamment le dispositif du RSA, Revenu de Solidarité Active : le département a désigné l’Assistant de service social de secteur comme référent unique dans le cas de l’accompagnement social et médico-social, c’est-à-dire pour un public présentant des difficultés importantes qui font obstacle dans

Etat et consommation Pb : Comment l’Etat peut-il agir sur la consommation et quel en est l’objectif ? I - Le rôle de l’Etat dans la consommation des ménages 1) La répartition des revenus : les revenus de transfert et les prélèvements obligatoires - Les prestations sociales, classées en six catégories et chargées de corriger les inégalités au seins de la société (vieillesse et survie, santé, perte d’emploi, maternité - famille, logement, pauvreté) sont versées par l’Etat au service des

Année 2009/2010 Sommaire Introduction I. Présentation du territoire et de sa population A. Le territoire B. La population II. Les usagers concernés par le Revenu de Solidarité Active et leurs besoins A. Les allocataires du RSA du territoire Haute Somme… B. … et la variété de leurs demandes III. Les aides spécifiques liées à la mobilité A. Comment se manifestent les difficultés à la mobilité

internats de perfectionnement pour les « anormaux de l'école ». III- Une logique de solidarité Dès 1989, avec le développement de la crise économique et le retour des mouvements philanthropiques, une logique de solidarité qui conjugue charité, protection et prévention se développe à travers les dispositifs politiques d'aide sociale. Le RMI (Revenu minimum d'insertion) puis le RSA (Revenu de solidarité active) en sont de bons exemples, puisqu'ils associent assistance, aide et obligation, dans

LE BOUCLIER FISCAL En France, il existe depuis maintenant trois ans une réforme limitant le pourcentage d’imposition sur les contribuables, c’est-à-dire que ceux-ci ne se verront plus taxés au-delà d’un certain pourcentage de leurs revenus. Tandis que la droite ne veut entendre parler d’aucune négociation, la gauche veut supprimer cet avantage. Mais qu’est exactement ce bouclier fiscal ? Quel est son impact sur l’économie ? Après avoir, dans une première partie, expliqué d’où vient et en quoi

Le RSA c'est-à-dire le revenu de solidarité active, peut être évalué de différentes façons, à la lecture des trois articles, on s’aperçoit que le RSA ne peut être uniquement orienté vers la jeunesse et plus particulièrement ceux de moins de 25 ans, car comme indique dans le Nouvel Observateur cela serait considéré comme un manque d’équité. Le RSA ne doit pas être un substitut a une politique de l’emploi en direction de la jeunesse et surtout ne pas être utilise comme un pis aller, mais au contraire

limites. (Vous êtes autorisé à privilégier le cas français) Introduction : A peine nommé Haut commissaire aux solidarités actives, Martin Hirsch, ancien président d’Emmaüs, a annoncé le 18 mai 2007 qu’il entendait réformer le Revenu Minimum d’Insertion. Selon lui, ce dispositif, créé en 1989, ne remplirait plus son objectif, et cela malgré sa réforme de 2003 qui le complétait par le Revenu minimum d’activité. Doit-on considérer que l’intervention des pouvoirs publics dans le domaine de la protection

titre répertorié. | Contrat de professionnalisation * Jeunes âgés de 16 à 25 ans révolus, qui peuvent ainsi compléter leur formation initiale * Aux demandeurs d’emploi âgés de 26 ans et plus * Aux bénéficiaires du revenu de solidarité active (RSA), de l’allocation de solidarité spécifique (ASS) ou de l’allocation aux adultes handicapés (AAH) ou aux personnes ayant bénéficié d’un contrat unique d’insertion (CUI)Objectif : permettre à ses bénéficiaires d’acquérir une qualification et favoriser