Révisionnisme

syndiqués. Historique : C. Le mouvement ouvrier à l’épreuve du 1er conflit mondial Le SPD reste divisé entre les partisans de l’action révolutionnaire comme Rosa Luxemburg et ceux du réformisme, défendu par Eduard Bernstein sous le nom de « révisionnisme ». En 1914, le SPD est indécis face à la guerre. La menace d’une grève générale et l’appel au pacifisme cèdent le pas au patriotisme : le SPD participe finalement à l’Union Sacrée. Janvier 1916 : création du mouvement Spartakus Une partie

le texte. En français, le livre se pose cependant en référence sur un sujet rebattu, mais pas forcément dans cette perspective : Olivier Wieviorka a su faire passer les problématiques les plus récentes, sans tomber dans l'hagiographie ou le révisionnisme historique. C'est sans doute le principal mérite de l'ouvrage. Vous pouvez aller lire aussi la fiche de Clayroger, sur Ma pile de livres, qui recoupe fréquemment la mienne et est parfois un peu plus fine sur l'analyse. Histoire du débarquement

réconciliation franco-allemande arrive trop tard. Le docteur Julius Curtius, qui succède à Stresemann décédé le 3 octobre 1929, n’estime pas devoir éprouver un sentiment de gratitude pour les Français. Il lance même un programme placé sous le signe du révisionnisme. En France, les extrémistes de droite de l’Action française, comme Charles Maurras, fustigent Briand et sa « politique de pactisation » avec l’ennemi. Entre-temps, la crise économique et le chômage, conséquences inévitables du crash boursier de

La crise polonaise Soulèvement en1956 réprimé violemment..   La crise hongroise : Les réformes de Nagy de novembre 1956 provoquent une violente répression : 200  000 hommes et les chars envahissent la Hongrie (3000 morts).  La crise sino‐soviétique : La Chine de Mao dénonce le « révisionnisme » de Khrouchtchev. Cela aboutit  à la rupture sino‐soviétique en 1960.   Les initiatives économiques et sociales :   « Rattraper et dépasser les Etats‐Unis », tel est le slogan lancé en mai 1957  En 1959 le plan septennal remplace le qui

internet ect... Dans la même catégorie d’injure ect... raciale, on a intégré tout ce qui concerne la justification de crime contre l’humanité (le génocide arménien nié par les turcs), le négationnisme (« non les juifs n’ont pas été exécutés »), le révisionnisme (je revoit l’histoire, « non, Hitler en a sauvé beaucoup »). Chaque My keimf vendu est signalé à la police. Depuis 2000, la vente d’objet nazi est interdite et sa détention. Le fournisseur d’hébergement et d’accès à internet ont l’obligation

l’évolution des sociétés. Ce travail d’écriture de l’histoire est un travail difficile, qui requiert : 1) l’impartialité de l’historien, qui exclut le mensonge prémédité soit par déformation des faits, soit par omission volontaire de certains faits (révisionnisme des historiens fascistes) et qui inclut la constante défiance contre ses préjugés, ses sympathies ou antipathies de parti, de race, de religion. 2) des qualités scientifiques. Comme les faits ne s’ordonnent pas eux-mêmes, c’est à l’historien qu’il

problèmes cruciaux restent en suspens et le retrait des Etats-Unis en 1920 prive la SDN de l’assise politique qui lui aurait permis de remplir sa mission. Dès lors, la voie est ouverte aux ambitions des nouveaux Etats d’Europe centrales et au révisionnisme des pays insatisfaits, jusqu’à paralyser le système international en 1924. Ensuite, l’intervention anglo-américaine et la prospérité retrouvée permettent une détente ambigüe fondée sur l’entente franco-allemande et sur la sécurité collective, en

| |véritable n'existe pas en dehors de notre esprit. Il n'y a pas une histoire, mais des histoires ! | |2)Risque cependant de la thèse de Veyne =le relativisme puis le scepticisme et au bout du compte le révisionnisme. | |Cf. texte Evans. | |En effet :

Traité de Versailles ont posé les jalons des réflexions nazies, ainsi que les «   réponses   » que ces dernières proposent pour résoudre les problèmes de l’Allemagne de Weimar. I - Un programme nationaliste A) Le rejet du Traité de Versailles et le révisionnisme Les trois premiers articles sont consacrés à ce qui est considéré comme l’injustice du Traité de Versailles. Tout d’abord, le premier article réclame la constitution d’une Grande Allemagne sur le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, ce qui

baptisé ?). De même, certains états totalitaires imposent une vision unique et indiscutable (l'histoire « officielle » de l'ex Union Soviétique), au point que la remise en cause de cette vérité officielle peut être un délit voire un crime (le révisionnisme). L'Histoire « officielle » des pays se trouve dans ce registre d'histoire chronique et est aussi empreinte de la subjectivité des historiens et de leur racines. Ces Histoire officielles ne peuvent être contredites par personne et sont celles