Révolte des gueux

une approche des personnages dans leur situation et leur caractère. -Père Ubu : Le père Ubu est, au début de la pièce, officier de confiance du roi de Pologne Wenceslas. On apprend cependant qu’ayant été roi d’Aragon, il en a été expulsé par une révolte espagnole. Son caractère est celui d’un soldat violent et grossier, jurant à chaque phrase, montrant une sorte de bêtise grotesque qui le rend indifférent au bien et au mal. La reprise de « je ne comprends pas »... « je ne comprends rien » , soulignée

socialement 3.1. L'enfant qui revint, J. Kessel 3.3. La rédaction, A. Skarmeta 3.4. Exercice d'écriture sur La rédaction 3.2. Le Gueux, G. de Maupassant 4. La nouvelle à chute- Lecture d'un recueil à domicile 4.1. Définition 4.2. Impressions de lecture- Regroupement des nouvelles du recueil 5. La nouvelle d'anticipation et le texte informatif 5.1 La dernière révolte, B. Werber 5.2. Lecture de textes informatifs : "Sommes-nous trop nombreux?"- "Vivons-nous trop vieux?" 5.3. Rédaction d’un commentaire

ainsi que de leur quotidien. Enfin, nous démontrerons les réactions de la société face à la pauvreté, par une institutionnalisation de la charité et un contrôle ainsi une répression plus sévère des pauvres, mû par la crainte de débordements ou de révoltes. I – Regard d’une société traditionnelle sur la pauvreté A – Une conception chrétienne traditionnelle de la pauvreté * Dans la culture occidentale chrétienne du XIVème et du XVème siècle, les références bibliques sont nombreuses et imprègnent

s’inscrire dans une lignée ? Le secret de la création poétique ne serait-il pas dans un dosage dont la recette est sans cesse à réinventer ? La plupart des poètes cherche à s’affranchir de l’autorité de leurs prédécesseurs et se réalisent dans la révolte. Cela est dû à la nature même du poète et de la poésie. Si l’on en croit l’histoire littéraire, la poésie ne se conçoit que dans la rupture. Comme le romantisme qui est né de la contestation des règles classiques, jugées trop rigide et contraignantes :

Hugo, Claude Gueux , 1834. Une cinquantaine de pages Ouvrier habile mais pauvre, Claude Gueux est contraint de voler pour subvenir aux besoins de sa famille. Il se retrouve emprisonné à la centrale de Clairvaux. Il y fait la connaissance d’Albin, un jeune détenu fragile, dont il devient l’ami proche, jusqu’à ce que M.D. le directeur des ateliers, le sépare sans raison de son ami. Claude Gueux ne supporte pas cette séparation.Une réflexion

maudites, chétives, Noirs êtres rampants ; Parce qu'elles sont les tristes captives De leur guet-apens ; Parce qu'elles sont prises dans leur œuvre ; O sort ! fatals nœuds ! Parce que l'ortie est une couleuvre, L'araignée un gueux ; Parce qu'elles ont l'ombre des abîmes, Parce qu'on les fuit, Parce qu'elles sont toutes deux victimes De la sombre nuit. Passants, faites grâce à la plante obscure, Au pauvre animal. Plaignez la laideur, plaignez la piqûre

(expliquer brièvement que c’est l’ancêtre de l’Assemblée nationale, entre 1814 et 1848), à l’Assemblée puis au Sénat, articles dans la presse européenne et lettres d’intervention en faveur de condamnés. Dans Le Dernier Jour d’un Condamné (1829), et Claude Gueux (1834), deux romans de jeunesse, Victor Hugo souligne à la fois la cruauté, l'injustice et l'inefficacité du châtiment suprême. En écrivant, à vingt-sept ans, Le Dernier Jour d’un condamné comme un journal, à la première personne, Hugo interpelle le

Impressionnisme a pour origine l’anecdote suivante : «Ils le prirent, [le nom d'Impressionnistes], pour relever une injure qui leur était adressée par leurs détracteurs et dont ils se firent leur titre de gloire, comme les révoltés des Pays-Bas s'en firent un de l'injure de «gueux.». Au-delà de cette explication, les peintres rattachés à l’impressionnisme avaient une manière particulière de percevoir la nature, non pas en essayant de rendre parfaitement ce qui est vu par l’œil tel un appareil photo

« Le Vagabond » entretient de frappantes similitudes avec « Le Gueux »:les deux personnages incarnent un type humain que le second Empire a particulièrement pourchassé. A travers ces deux existences pathétiques, c'est bien à une dénonciation de la société que se livre Maupassant. Randel est exclu de la société et trouver du travail est un vrai calvaire, ce que souligne le texte dès les premières lignes. En effet, le narrateur définit le monde de l'emploi comme une terre lointaine et inaccessible

« Le Gueux » de Guy de Maupassant : commentaire En 1889, Guy de Maupassant a fait publier dans « L’Echo de Paris » une nouvelle intitulée « Le Gueux ». En quelques pages, Maupassant nous raconte un drame de la misère. Il a sélectionné avec soin chaque détail afin que le lecteur se retrouve pris au piège d’un récit qu’il ne pourra lâcher. Le genre de la nouvelle, de par sa brièveté, permet en quelques pages de dire l’essentiel et de conduire le lecteur vers une fin qui l’interpelle, une