Revue des études slaves

qui menait à l’enfer. Se guidant dans l’obscurité de ses seules mains qu’il écorchait sur des parois râpeuses, il se dirigea vers l’aile ouest du palais, passant de souterrains où il devait se voûter, en caves aux pierres humides. De vieux rats slaves qui erraient en sens inverse frôlaient son visage, s’intéressant parfois de trop près à cet intrus qu’ils suivaient alors et mordaient aux chevilles. Lorsque la nuit tomba enfin, Vladimir remonta à la surface et trouva refuge sur le plateau d’une

Les enjeux sous-jacents à cet attrait quasi-soudain pour la biodiversité impliquent que les travaux la concernant soient menés avec un grand souci de rigueur et d’honnêteté (comme par exemple l’aveu de certaines lacunes ou ignorances, etc.). Les études vieillissent, le recours à de nouveaux moyens d’investigation, les nouvelles prospections menées, etc. rendent en partie obsolètes des travaux anciens. Les points de vue des taxonomistes et des nomenclaturistes évoluent. Des mises à jour périodiques

premier temps, au choc pétrolier de 1973 et à l’ébranlement monétaire de 1971-1972. La réalité est plus complexe et la dépression de la fin du XIXe s. présente un caractère inédit, voire « insolite », comme le constate Jacques Marseille dans la revue L’Histoire (n° 279, sept. 2003). La dépression de la fin du XXe siècle apparaît peu comparable au « modèle classique » de la crise de 1929 car, dès 1976, la croissance est à nouveau à l’ordre du jour. Les années 1970 ne constituent donc pas la rupture

aussi l’enseignement d’introduction au droit public procuré par l’introduction du cours de Droit constitutionnel. Ces trois enseignements, d’histoire du droit, de droit privé et de droit public, sont destinés à des étudiants qui se lancent dans les études juridiques. Ils forment une sorte de bloc pégagogique. Ils fournissent un exposé liminaire et offrent une initiation au droit, qui permet d’entamer l’étude de ses diverses branches. Tous trois apportent, chacun dans son esprit, une réponse à la difficile

averti, m'a non seulement présenté la riche bibliothèque des sciences politiques et sociales, mais aussi offert plusieurs volumes qui me sont précieux. Avec beaucoup d'émotion je tiens à remercier la Professeur Rose-Marie Lagrave de l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales à Paris, la principale responsable, par "incitation", de mon entreprise aventurière, dans le sens intellectuel aussi bien que sur le plan de la réalisation pratique, à travers maintes frontières. Mes recherches empiriques portant

les tatouages étaient attribués à des associaux, les psychiatres y décelèrent des motifs de paranoïa, de l’exhibitionnisme, un esprit de révolte, une forme marginale d’une tendance primitive : l’auto-plastie ou retournement sur le corps. Mais ces études effectués dans les asiles psychiatriques, les prisons ou les hôpitaux, n’offrent qu’une vision déformée par des personnalités pathologiques et ne permettent nullement de rendre compte de ce que peut être le tatouage. Actuellement les populations qui

l’explication la plus scrupuleuse et la plus exacte, sans quoi, si nous surchargions dès le commencement [du cours] l’esprit encore peu affermi et brut des étudiants par une multitude de notions variées, nous arriverions, ou à ce qu’ils désertent les études, ou qu’ils ne réussissent qu’à force de travail et souvent même avec défiance (que souvent les jeunes gens affectionnent) ce qui aurait pu être fait plus rapidement, plus facilement, sans grande peine et sans aucune défiance. (Adaptation Louis

le Juif, son sourcilleux maître. Du coup alors il se rend, il se donne, il se surpasse. Tout ce qui mijote de mielleux au fond de sa carcasse trouillotière lui jaillit sous la plume, d’un coup... Je suis tombé l’autre jour, dans le cours d’une revue d’art, sur les propos d’un de ces immondes. Il s’agissait de peinture, je cite à peu près, de mémoire : " Ah ! qu’il s’écriait ce fainéant, il y a belle lurette déjà, qu’en France tout au moins, nos critiques les plus éminents ne font plus aucune

trompe ses propres enfants pour tenter de mieux se convaincre soi-même. 10 Parmi les personnes que ma famille fréquente, toutes ont suivi la même voie : une jeunesse à essayer de rentabiliser son intelligence, à presser comme un citron le filon des études et à s’assurer une position d’élite et puis toute une vie à se demander avec ahurissement pourquoi de tels espoirs ont débouché sur une existence aussi vaine. Les gens croient poursuivre les étoiles et ils finissent comme des poissons rouges dans

de rédaction. Mais il n'en a publié, en 1937, dans la Revue de Métaphysique et de Morale, que la première partie comprenant trois leçons sur la morale professionnelle. Il l'a fait, écrit-il dans sa noie introductive, pour se conformer aux instructions rédigées, peu de mois avant sa mort, en 1917, par Émile Durkheim, qui destinait quelques-uns de ses manuscrits, en signe de son amitié, avant tout autre à Xavier Léon, fondateur de la Revue de Métaphysique et de Morale. Marcel Mauss y annonçait