Revue d'histoire moderne et contemporaine

société ». La Renaissance a confirmé que l'hist est svt un instrument ex XVI avec controverse entre protestants et catholiques. On distingue encore mal la part de romance et celle de réelle hist bien qu'on se soit un peu dégagé de la relig°. Époque moderne Le XVII e c »est le rationalisme de Descartes (physicien). L'hist est déconsidérée car elle ne conrrespond pas au rationalisme . Pascal (mathématicien) dit « L'histoire est incapable de progrès car elle ne révèle ni du raisonnement ni de l'expérience

Karl Abraham, Rêve et mythe, œuvres complètes, Paris, petite bibliothèque Payot, t.1, 1977. Didier Anzieu, «Le moi-peau», Nouvelle revue de psychanalyse, n°9, printemps 1974. Antonin Artaud, « Le Théâtre et son double », Œuvres complètes, tome IV, Paris, Gallimard, 1978. Colette Assouly-Piquet, « double, mère et mort », in : Psychanalyse à l’université, revue trimestrielle, t.II, n°42, avril 1986. Paul-Laurent Assoun, Freud, la philosophie et les philosophes, Paris, PUF, 2005. Gaston Bachelard

Roquebrune-Cap-Martin, plus connu sous le pseudonyme de « Le Corbusier », est un architecte, urbaniste, décorateur, peintre, sculpteur et homme de lettres, suisse de naissance et naturalisé français en 19301. C'est l'un des principaux représentants du mouvement moderne avec, entre autres, Ludwig Mies van der Rohe, Walter Gropius, Alvar Aalto et Theo van Doesburg. Le Corbusier a également œuvré dans l'urbanisme et le design. Il est connu pour être l'inventeur de « l'unité d'habitation », concept sur lequel il

1918 à Lons-Le –Saunier dans le Jura et mort le 14 avril 2007 à Paris. C’est un grand spécialiste de la droite Française mais il s’intéresse aussi à l’anticléricalisme et à la place de l’église dans le monde contemporain. Il débute sa carrière en 1949 en tant qu’assistant d’histoire moderne à la Sorbonne jusqu’à devenir président de l’université de Nanterre en 1971. Il est aussi le président de la fondation des sciences politiques de 1981 à 2007. C’est un homme qui est aussi intéressé par le système

Pour une histoire du Trésor public en France de la fin du Second Empire aux débuts des années 1970 Article extrait de la revue Recherches contemporaines, n° 4, 1997 Olivier FEIERTAG Le Trésor public en France n'est pas un objet d'étude nouveau. Aux lendemains de la seconde guerre mondiale, François Bloch-Lainé, qui occupait alors au ministère des Finances les fonctions de directeur du Trésor, avait déjà souligné l'intérêt présenté par l'étude d'une institution dont l'importance, selon lui

Jules Patouillet L'histoire du théâtre russe : essai de bibliographie critique In: Revue des études slaves, Tome 2, fascicule 1-2, 1922. pp. 125-146. Citer ce document / Cite this document : Patouillet Jules. L'histoire du théâtre russe : essai de bibliographie critique. In: Revue des études slaves, Tome 2, fascicule 1-2, 1922. pp. 125-146. http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/slave_0080-2557_1922_num_2_1_1031 о L'HISTOIRE DU THÉÂTRE RUSSE : ESSAI DE BIBLIOGRAPHIE

Hugo (1830-1915), Henri Gourdin. En collaboration avec le psychothérapeute Yvon Girard ; préf. Adèle Hugo. Ramsay, 2003. ISBN 284114612X. Victor Hugo, Didier Lemaire. Éd. Aden, 2004. ISBN 2848400617. CORRESPONDANCE Le Baron d’Eckstein et ses contemporains (Lamennais, Lacordaire, Montalembert, Foisset, Michelet, Renan, Hugo, etc.) : correspondances avec un choix de ses articles, Ferdinand Eckstein. Textes réunis par Louis Le Guillou. Honoré Champion, 2003. ISBN 2745308491. Correspondance II, janvier

marque chez Schlegel l'expression d'un intérêt grandissant pour la littérature, la philosophie et la politique. C'est en 1796 qu'il publie son célèbre essai Versuch über den Begriff des Republikanismus (Essai sur le concept de républicanisme) dans la revue de Johann Friedrich Reichardt Deutschland à laquelle il contribue également par des recensions des Heures et de L'Almanach des Muses de Schiller. L'essai sur le républicanisme est l'une des bases de ce que l'on appellera le romantisme politique, mouvement

figure obsédante : l’otage à travers les siècles » dans Revue internationale de la Croix-Rouge, 87, 2005. P. 81. 2 A. AYMARD, « Les otages barbares au début de l’empire » dans The Journal of Roman Studies, 51, 1 et 2, 1961, p. 136-142. A. AYMARD, « Les otages carthaginois à la fin de la deuxième guerre punique » Etudes d’histoire ancienne, Paris, 1967, p. 436-450.A. AYMARD, « Philippe de Macédoine otage à Thèbes » dans Etudes d’histoire ancienne, Paris, 1967, p. 418-435. 4 Raoul Lonis aborde

l’instauration d’un tel traité, la Grande-Bretagne et la France pourraient se retrouver dans de difficiles situations en cas de conflit avec l’Allemagne[24]. Le monde des lettres ne cache pas non plus son inquiète déception. En 1919, la Nouvelle Revue Française publie un texte supportant l’idée que le traité de Versailles laisse au « […] principal ennemi le sentiment de sa puissance, de son avance […], de sa richesse ; il le brime sans le mater […] »[25]. Incontestablement, le traité ne fait pas