Rhinocéros Métaphore

l’homme riche » : privilèges à priori indiscutables . 2/ Le pauvre : Négation de son existence sociale «  corvées » pour l.27 l.26 comparaison avec les riches en sa défaveur au niveau judiciaire l.24.25 «  toutes les portes lui sont fermée » métaphore traduisant l’absence d’espoir . l.24 paradoxe : absence de reconnaissance sociale . Atteinte à sa dignité familiale, à sa dignité d’homme l.34 rythme ternaire . Transition un article dénonciateur et subjectif . III/ Le parti pris de Rousseau

considère le monde sensible comme la prison de l'âme. Quant au monde intelligible, auquel peuvent accéder ces mêmes âmes par la philosophie, il est la seule réalité authentique pour lui. L'allégorie de la caverne est pour Platon plus qu'une simple métaphore, mais en aucun cas un mythe3. Il s'agit d'une représentation de la réalité de ce que peut vivre une personne ayant fait son chemin de réflexion, d'élévation d'elle-même ; c'est-à-dire son propre parcours initiatique qu'elle ne doit pas réserver pour

forme fixe a été populaire à la Renaissance, on peut remarquer que Pierre Ronsard (1524-1585) a vécu au siècle de la Renaissance. 2. De quoi parle le poème, que cherche-t-il à illustrer? Le poème d’écris la vie d’une rose. Il utilise une métaphore qui utilise la fleur pour parler d’une jeune femme. Dans la première strophe l’auteur décris l’éclosion de la fleur lorsqu’elle vient déclore et d’écris sa beauté. La deuxième strophe consiste à parler de la petite durée de vie de la fleur qui s’éteint

dents pour Cosette ce qui représente un petit suicide. Manger est un besoin primaire. A Travers la description de Fantine, Hugo dépeint la misère puisque la vie conduit Fantine à une déchéance moral. C4est une réflexion sur la misère . La métaphore de l'obscurité à travers « le soir » e t » point de midi » ainsi que le champs lexical des lieux sombres avec «cave », « soupirail » montrent un enfermement, comme si elle était dans la prison de la misère. La personnification du soleil , « le soleil

alors, sont à prendre en temps que figures de style voire de fiction. Or, même chez les philosophes, et de surcroît ceux cités par Balzac lui-même, les mythes deviennent outils de compréhension. Platon dans La République fait alors appel à une métaphore désormais célèbre : le mythe de la caverne. Par ce procédé, le philosophe exprime la difficulté de l'Homme à parvenir à la réalité et celle de la transmission de la connaissance. Cependant, si un lecteur non averti entreprend de lire uniquement cette

admiration. Ensuite, dans une seconde hyperbole et en utilisant également une comparaison, Goujet est considérer comme « beau, Tout-puissant, comme un bon Dieu » l.29. Cette énumération crée un rythme ternaire. Enfin, on remarque l’emploie d’une métaphore afin de montrer que Gueule d’Or resplendit « il faisait de la clarté autour de lui » l.28. On peut dire que Gueule d’Or est associé à Hercule, un demi-dieu effectuant de durs « travaux ». En effet, Goujet est décrit comme un dieu, puissant, bien

proécédés, rimes) Texte A: * . alternance de vers de 10 et 5 syllabes pour J'aime l'Araignée * Rimes alternées * Anaphore: parce qu' * Métaphore entre la faune et la flore (l'araignée et l'ortie) Texte B: * une alternance d'alexandrins et d'octosyllabes * rimes alternées * comparaisons surprenantes et violentes * Métaphore: manger de baisers * Oxymore: la carcasse superbe Texte C: * 2 quatrins, 2 tercets = sonnet * alexandrins * Structure du sonnet :

question, nous étudierons dans un premier temps la description des saisons d’une vie. Puis, dans un second temps, nous nous attarderons sur la domination du temps. I / La description des saisons d’une vie : Ce poème s'articule autour d'une métaphore filée sur le thème des saisons et du climat. Ici, le poète s'implique directement dans cette description, et c'est de sa vie dont il décrit les étapes. Tout d’abords, la "jeunesse" (vers 1) du poète (premier quatrain) est comparée à un été bouleversé

syllabiques vont croissant ; cette cadence majeure fait ressortir la noblesse de la démarche de cette passante, sa distinction. La même idée est reprise dans le premier vers du deuxième quatrain : « Agile et noble, avec sa jambe de statue ». La métaphore utilisée par Baudelaire qui rapproche cette femme d’une oeuvre d’art met en relief sa beauté parfaite, sculpturale. Baudelaire met en lumière la légèreté des mouvements de cette passante qui font une grande part de son charme : « Soulevant, balançant

réveiller. C'est pourquoi avec la personnification « Tout dort sous les grands bois accablés de soleil », les arbres ressentent la chaleur du soleil afin qu'ils soient eux aussi apaisés. Le poète montre également la tranquillité et la sensibilité par la métaphore « Vers la gaze de feu que trament les rayons » qui représente la fragilité du soleil. La sensibilité est exprimé aussi par le « bruit d'insecte ou d'abeille » ainsi que la négation « pas » qui les rende totalement inexistant, de même avec l'expression