Rhinocéros Métaphore

l’aurore -comparaison femme- nature. Comme dans la tradition grecque, tous les poèmes sont construits sur des métaphore. ‘’jour honteux’’ ‘’nouvelle aurore’’ II-Evocation métaphorique une image dans tous les quatrains 1)Fuite de la nuit -la nuit est assimilée à une bergère avec une métaphore filée, la nuit rassemble les étoiles dispersées dans les pâturages du ciel : métaphore du troupeau V1-2 -sensation de mouvement avec l’enjambement entre le vers 1 et 2 et donne de l’ampleur à l’action

« faut que j’aie une de ces deux femmes » impératif, cynique, ambition. B Milady - Le narrateur est partie prenante du portrait à charge, phrase exclamative « que de haine elle distille ! » - animalisation « rugissements sourds », « mugit », métaphore « châteaux sombre et orgueilleux » traduisant à la fois la beauté, l’attraction et une inquiétude. Des antithèses relaient l’oxymore initial « ange démoniaque » « de magnifiques projets de vengeance » Focalisation interne et style indirect libre

à travers le prisme de son regard. En effet, le style de Zola reproduit par ses répétitions ou ses commentaires maladroits ou familiers l’expression d’une fascination qui ne trouve pas vraiment ses mots comme l’expression « sans mentir », ou la métaphore « une vraie figure d’or », ou encore la comparaison « des épaules et des bras sculptés qui paraissaient copiés sur ceux d’un géant dans un musée » (l.14). C’est donc plus la voix de Gervaise que celle de l’auteur qui est entendue et elle aiguise

de la guerre : Par une comparaison « Qui crèvent comme des chiens » La guerre détruit tout : « tout est abimé » « c’est une pluie de deuil terrible et désolée » Champ lexical : « guerre » « sang » « mort » « deuil » 2) Thème du néant : Par métaphore, la pluie devient bombardement mortifère, paysage d'horreur (v. 40-41), larmes de deuil (49), l'image de la désolation. Le néant triomphe : le poème se referme sur le mot « rien ». Conclusion : Dans la première partie de ce poème nous pouvons

chauffer les mains". Le paysage est obscur : « …....... » et il y a aussi la métaphore " épaisseur d'encre " qui compare la nuit à de l'encre. Il est aussi plat : " la plaine rase ", " grande route de Marchiennes à Montsou ", " dix kilomètres de pavé ", " champs de betteraves "… Il y a aussi le vent qui est comparé a un fouet : " les lanières du vent". La comparaison "comme une mer" enclenche la métaphore qui va se continuer. On trouve ce même glissement d'une description plate,

Focalisation, point de vue du narrateur dans le roman. • Le style. Quelle est l’intention de l’auteur ? Un auteur cherche à produire un effet sur le lecteur, à travers un certain nombre de procédés d’écriture. Il faut les dégager. Est-ce qu’il y a des métaphores, des comparaisons, des effets de rythme, des sonorités ? • Le vocabulaire. Quel est le niveau de langue ? Y a-t-il un champ lexical particulier ? Quel est l’effet produit ou recherché ? Il n’est pas nécessaire de développer tous ces points

d’harmonie et de mise en rapport exacte, tout comme le poète. La métaphore filée avec la référence aux « piliers », terme préféré à colonne, qui suggère une architecture plus robuste, plus massive, dont la solidité est mise en relief par les allitérations en « t ». Le rythme de ce premier vers est grave, solennel, avec un retour régulier des accents. Cette métaphore initiale de la Nature temple est relayée par une seconde métaphore filée, engendrée par la première et assimilant la nature à une succession

pratiquante « Rameau bénit »(Vers 3). L'enfant est tué de deux balles dans la tête, c'est une mort atroce et violente. L'auteur utilise le champ lexical de l'horreur, qui va servir à « dégouter » le lecteur et donc le choquer, tout comme les métaphores « On pouvait mettre un doigt dans le trou de ses plaies »  (vers 9) et des comparaisons « Ouvert comme un bois fendu » (vers 11) et l'opposer à des personnifications « Pauvres Cheveux » (Vers 14) et à des antithèses »la mort noyait son Œil

montre une allégorie du temps qui passe. En continuant l’analyse de la citation on peut remarquer que la deuxième phrase s’oppose à la première et à la troisième. Or les deux métaphores présentes sont dans la première et la dernière phrase, on peut donc trouver que pour Apollinaire, la poésie c’est transfigurer, métaphorer le quotidien, en quelque chose de sublime, car c’est aussi sublime que la poésie du 16ème et 19ème (représentée par la deuxième phrase, qui rejette également les règles de l’époque

péjorative (rabaisser les animaux) - Aux vers 37/38 il y a une métaphore Argument 2 - Il justifie en disant que le berger à bien fait de mourir car il se croyait supérieur aux autres. L’ÂNE On peut déduire que l’âne est franc et honnête grâce au vers 54 : « puisqu’il faut parler net. » et qu’il est naïf grâce au vers 54 « je n’en avais nul droit. » Il pence avoir commis un péché car il a été tenté. Vers 52 : Métaphore Vers 51 : énumération : elle renforce la tentation.