Rhinocéros Métaphore

Les poèmes, en eux mêmes sont un moyen de faire vivre leurs pertes à travers les siècles, mais ils y arrivent aussi à travers la nature, avec des antithèses ( «  si la neige tombait en haut (…) si le soleil montait (…) pendant la nuit ») et des métaphores (« le printemps du repos », « saison des parfums et des roses ». La nature vit, se meurt et renaît ( été, automne et printemps ), les poètes essayeraient donc par là de faire revivre la personne qu'ils ont perdus. Ce corpus émane les mêmes ressentis

autre mot. « Sur » pour dire « avec ». 2. « Répandit sa grâce et ses feux » : Métaphore car on compare ses feux à ce qu'elle dégage. Quelque chose de chaud. Comparé : Les feux Comparant : ce qu'elle dégage Point commun : La chaleur. 3. « Le parfum du cœur » : Personnification car on attribue une caractéristique humaine à une organe. 4. « Ta Muse trop discrète » : Métaphore car on compare Sappho à une Muse qui est l'inspiration des artistes. Comparé :

même si j’aime l’histoire de la résistance > engagement en faveur de la liberté. Je ne pense pas que engagement politique et vers fasse bon ménage. M : Ne cherche pas a tout comprendre, laisse toi envahir par les images. P Emmanuel emploi des métaphores parfois obscures pour faire percevoir l’immensité de l’univers, les tortures infligées par les tyrans. C’est comme un tableau qu’il dessine sous tes yeux sans forcément reconnaitre tous les éléments [« Guernica » perçoit la violence dans l’absence

l’alambic avec son ‘’bedon’’ et ‘’sa sueur d’alcool’’ dans L’Assommoir ‘’La Lison’’ locomotive-femme de la Bête humaine g) Structure narrative L’auteur ménage une progression dramatique. Il tisse un réseau de symboles ou s’entremêlent métaphores animales et images d’éléments déchainés.

Grâce à un réseau de personnification, les trois premières strophes comparent l'albatros à un roi déchu (" roi " vers 6), à un voyageur ailé tombé du ciel. La quatrième strophe explicite le symbole en faisant du poète, par une comparaison et une métaphore hyperbolique, un " prince des nuées " (vers 13) aux " ailes de géant " (vers 16). Exilé parmi les hommes, la vie de l'albatros apparaît donc comme une parabole qui définit l'existence du poète. Le poète et l'albatros sont associés dans la dernière

lecteurs et spectateurs de façon beaucoup plus personnel que le léopard. En utilisant une répétition du mot «Venez » (vers 12-13), au lieu de commencer à parler directement a propos de lui même, comme fait le léopard. Le singe utilisa plusieurs métaphore; « votre serviteur de Gille/Cousin et gendre de Bertrand/Singe su pape… » pour former une relation plus intime avec les spectateurs, qui créé aussi une attraction beaucoup plus forte au mots du singe que ceux du léopard. Le singe peut être vu en

ZOLA-LA CUREE, SACQUART REGARDE PARIS DE MONTMARTRE Chapitre 2 : « Deux mois avant […] il pleut des pièces de vingt francs dans Paris » p112 Chapitre 2. Analepse = retour en arrière. Aristide Rougon n’est pas encore Sacquart. Extrait qui survient après la mort d’Angèle. Zola veut montrer un Aristide qui rêve du spectacle de Paris vu de Montmartre. Jeune homme qui a faim de richesse. Comparé au « Père Goriot » de Balzac et du personnage de Rastignac. S’agit à la fois d’un portrait de Sacquart

l’on utiliserait plus aisément pour parler de peinture plutôt que de sculpture. Ce fameux champ est également accentué par les mots « suspendue » (l.8), « relief » (l.9), « précision » et « fini » (l.10). Toujours dans cette deuxième partie, une métaphore, agitant davantage l’imagination du lecteur, apparaît : « arêtes blanches » (l.9), en référence aux toits des maisons contre le ciel. « Blanches », associé à « accablants » (l.10), forment un jeu sur les sonorités et donc une seconde paronomase.

taureau, le visage d’un fou, […] les vêtements d’un paysan…’ mais qui est en réalité une personne très intelligente et respectable ‘une intelligence plus qu’humaine, une force d’âme merveilleuse, un courage invincible, une sobriété sans égale…’. Métaphores, comparaisons, hyperboles et exagérations sont les différents moyens dont se sert Rabelais pour argumenter de manière plus ou moins indirect dans ce prologue. Rabelais, en s’adressant de manière direct au lecteur, le place ainsi au centre de son

NOUS (Dom Juan et Sganarelle puis valeur universelle). Emploi du présent de vérité générale, Dom Juan fait de ses phrases des maximes. Références à Alexandre. 2) un discours poétique Vocabulaire galant, rythme éloquent, utilisations d’images (métaphores filées) 3) un discours exalté Emploi d’hyperboles et de plaidoyer (discours conçu pour défendre) II. Une tirade qui révèle Dom Juan 1) Un libertin érudit Un personnage révolté qui condamne la fidélité (vocabulaire péjoratif) 2) un libertin