Rhizobium

absent - Etamines pendantes Plus on va vers des familles évoluées, comme les Cannabacées, les Moracées ou les Urticacées, plus la fleur se réduit. Cette modification s’accompagne d’un changement de bactérie fixatrice d’azote de Frankia sp. à Rhizobium sp. Chez les Rosacées, famille la moins évoluée des Rosales, les fleurs sont encore très grosses et peu anémogames, sauf l’Alchémille commune qui possède un peu de nectar mais dont les fleurs sont réduites, et la Pimprenelle qui est complètement

quantités d’eau assez élevées pour leur production mais sont assez résistantes à des conditions sèches du fait de leur enracinement pivotant profond. En situation sèche on observe une moindre fixation symbiotique de l’azote atmosphérique par les rhizobiums dont le bon fonctionnement nécessite une alimentation en eau suffisante. Pour les graminées on a une assez grande diversité, avec des espèces exigeantes (ray-grass, fétuque des prés, fléole…), d’autres plus résistantes à un déficit hydrique (dactyle

plantes herbacées, arbustes, arbres ou plantes grimpantes à lianes volubiles ou à vrilles. Elles ont un métabolisme azoté élevé et des acides aminés inhabituels, possèdent souvent des nodules racinaires contenant des bactéries fixatrices d'azote (Rhizobium) ou parfois canaux ou lacunes sécrétrices ; généralement des annins ; souvent des alcaloïdes ; parfois des composés cyanogénétiques . Leurs poils sont variables. Les feuilles sont généralement alternes, composées pennées (ou bipennées) à composées

plantes herbacées, arbustes, arbres ou plantes grimpantes à lianes volubiles ou à vrilles. Elles ont un métabolisme azoté élevé et des acides aminés inhabituels, possèdent souvent des nodules racinaires contenant des bactéries fixatrices d'azote (Rhizobium) ou parfois canaux ou lacunes sécrétrices ; généralement des annins ; souvent des alcaloïdes ; parfois des composés cyanogénétiques . Leurs poils sont variables. Les feuilles sont généralement alternes, composées pennées (ou bipennées) à composées

plantes herbacées, arbustes, arbres ou plantes grimpantes à lianes volubiles ou à vrilles. Elles ont un métabolisme azoté élevé et des acides aminés inhabituels, possèdent souvent des nodules racinaires contenant des bactéries fixatrices d'azote (Rhizobium) ou parfois canaux ou lacunes sécrétrices ; généralement des annins ; souvent des alcaloïdes ; parfois des composés cyanogénétiques . Leurs poils sont variables. Les feuilles sont généralement alternes, composées pennées (ou bipennées) à composées

2 Document 2a Estimation des flux annuels de fixation d' azote atmosphérique Extrait de La Symbiose- Selosse M.A.- Vuibert- 2005 Document 2b Rendement en grains (tonnes/ha) de cultures de Soja et Lupin inoculées (avec Bradyrhyzobium et Rhizobium) et non inoculées. (*) 160kg d' azote au semis (ammonitrate) Extrait de Les bases de la production végétale- Tome III- Soltner D.- STA- 1999 5/7 BE-I1sn Document 2c Observation des nodosités Coupe longitudinale d' nodosité une

cas de sol acide, il faut donc procéder à un chaulage). Les cacahuètes sont des légumineuses et peuvent satisfaire la totalité ou presque de leurs besoins en azote grâce à une relation de symbiose qu'elles entretiennent avec un type de bactérie (Rhizobium) qu'il faut inoculer sur un sol dont elle est absente (9 kg/ha pour obtenir une bonne nodulation, l'inoculant doit être épandu directement sur la semence dans la raie de semis). Pour protéger le sol contre l'érosion par le vent et par l'eau, on

l'eau plus profondément dans le sol. On leur attache une importance particulière parce qu'elles sont riches en protéines et qu'elles donnent de bons rendements sans apports d'azote. Elles peuvent former une association symbiotique avec la bactérie Rhizobium. Cette bactérie se fixe dans les nodosités ou renflements des racines de légumineuses et transforme l'azote de l'air, permettant ainsi à la plante de l'utiliser. Elles peuvent contribuer à la productivité et à la qualité nutritive des pâturages.

Chlamydomonas reinhardtii est maintenant disponible. La fixation symbiotique de l’azote est propre aux légumineuses. Consciente des limites imposées par Arabidopsis en la matière, la communauté scientifique travaillant sur les interactions Rhizobium-plante s’est attachée à promouvoir le modèle Medicago truncatula, une fabacée qui présente, comme Arabidopsis, une grande facilité de culture et un petit génome. Le faible niveau de microsynténie observé entre les légumineuses et Arabidopsis

qui sont capables de réaliser parallèlement la photosynthèse et la fixation d’azote grâce à leur hétérocyste (cellule) qui protège la nitrogénase de l’oxygène. Les associations symbiotiques peuvent avoir lieu par exemple sur les légumineuses avec Rhizobium, mais aussi sur les aulnes avec Frankia. Cette fixation d’azote atmosphérique a surtout été étudiée en agriculture. Nitrification Il existe peu de microorganismes capables de faire cette réaction. Elle se décompose en deux étapes successives :