Rhizobium

la retiennent sont plus importantes que la gravité. elle se subdivise en 2 : -l’eau capillaire : eau occupant des pores de diamètre 0,2µm50% sol saturé en bases. V2NH3 N2 Fixation La fixation symbiotique : elle est due aux bactéries du genre Rhizobium qui vivent dans les nodosités (partie assurant la symbiose entre les bactéries et la plante des racines) des légumineuses. La fixation non symbiotique : elle est l’œuvre de bactéries qui vivent librement dans la rhizosphère, elles tirent leurs

sec). L'azote peut être d'origine: minérale : * NH4+ et NO3- utilisés par la plupart des bactéries * NO2- utilisé par les bactéries du genre Nitrobacter * N2 utilisé par les bactéries fixatrices d'azote libres (Azotobacter) ou symbiotiques (Rhizobium) Organique : Protéines, acides aminés (R-NH2). A partir de ces composés, il y a incorporation des NH4+ libérés après désamination ou utilisation du radical NH2 par transamination. Le soufre et le phosphore Le souffre se retrouve dans les

contiennent les bactéries fixatrices d'azote. Le type de symbiose le plus courant se produit entre les membres de la famille des plantes Fabaceae (Leguminosae) et les bactéries du sol des genres Azorhizobium, Bradyrhizobium, Mesorhizobium, Rhizobium et Sinorhizobium (collectivement appelés rhizobia ; tableau 5.3 et figure 5.9). Un autre type courant de symbiose se produit entre plusieurs espèces de plantes ligneuses, comme les aulnes, et des bactéries du sol du genre Frankia ; ces plantes sont

les parties aériennes des plantes. Les végétaux supérieurs n’assimilent pas l’azote atmosphérique. Cependant, les Légumineuses et quelques autres espèces (Casuarina, Alnus, Myrica) y parviennent grâce à leur symbiose avec des bactéries du genre Rhizobium, Bradyrhizobium, Frankia qui forme des nodosités. La fixation de l’azote atmosphérique est également réalisée par des bactéries libres, aérobies (Azotobacter, Azospirillum, Beijerinckia) ou anaérobies (Clostridium, Sporovibrio) et par quelques

les cotylédons et les racines. L'auxine n'est pas l'apanage des plantes, elle est également synthétisées par des microorganismes, parmi lesquels de nombreuses bactéries du sol, qu'elles soient phytopathogènes (Agrobacterium ou Pseudomonas) ou non (Rhizobium). Différentes voies, dépendantes ou non du tryptophane ont été rapportées selon les micro-organismes. La production d'auxine par les bactéries phytopathogènes interfère avec le métabolisme des hormones de la plante infectée. La formation de tumeurs

vivante. On trouve de l'azote dans le sang séché, dans les tontes de gazon ou dans le purin d’orties. On retrouve également les légumineuses, des plantes permettant une fixation de l’azote « naturel » dans le sol en développant des bactéries du genre Rhizobium qui fixe l’azote de l’air et enrichissent ainsi le sol. Mais quelles sont les autres sources d’azote ainsi que les côtés négatifs de sa surexploitation ? L’ammoniac est la forme gazeuse de l’azote la plus représentative de l’azote et se présente

sur une culture intercalaire, enfouie sur place. Quand il s'agit de légumineuses, telles que la luzerne ou le trèfle, on obtient, en plus, un enrichissement du sol en azote assimilable, car leur système radiculaire associe des bactéries, du genre Rhizobium, capables de fixer l'azote atmosphérique. Pour rendre cette technique plus efficace, on sème les graines avec la bactérie préalablement associée.  Engrais minéraux Les engrais minéraux sont des substances d'origine minérale, produites par l'industrie

(acides aminés, bases azotées) ou plus généralement dans des composés minéraux : les ions ammoniums, NH4+ ; les ions nitrates, NO3- (grâce à la nitrate réductase B dite assimilatrice) ; l’azote atmosphérique, N2 (grâce à la nitrogènase, présente chez Rhizobium et Azotobacter). NO3- et N2 sont transformés en ions NH4+, qui sont ensuite incorporés à des acides -cétoniques, formant ainsi des acides -aminés. 1.1.4. Source de soufre et de phosphore Les acides aminés soufrés (cystéine, méthionine) peuvent

forment des amas cellulaires. Les actinomycètes forment des nodules (excroissances souvent au niveau aérien) où la bactérie transforme l’azote. On trouve dans cette dernière classe, Frankia qui s’associe aux arbres des pays chauds comme le Sahel. Rhizobium affecte uniquement les légumineuses. Conclusion : On pourrait penser que les hétérotrophes sont des parasites pour les autotrophes, mais en fait, ce sont des formes complémentaires. Les autotrophes sont appelés « producteurs primaires », ils sont

de fixer l’azote de l’air : - des bactéries (azobacter et clostridium) utilisant l’énergie de leur respiration pour incorporer directement N2 sous forme de protides. Mortes, elles enrichissent ensuite le sol en azote organique. - des bactéries (rhizobium) vivant en symbiose avec des légumineuses dans des nodules fixés aux racines. Elles assimilent d’énormes quantités d’azote atmosphérique et le transforment en azote organique qui nourrit la plante et diffuse dans le sol lors du dépérissement des