Rhizobium

chimio-organotrophes Pseudomonadacées Pseudomonas, Xanthomonas, Azotomonas Spirillacées Vibrio, Cellvibrio, Cellfalcicula (aérobies) ; Desulfovibrio, Spirillum (anaérobies). Azotobactériacées Azotobacter, Beijerinckia, Derxia Rhizobactériacées Rhizobium, Chromobacterium, Agrobacterium. Achromobactériacées Achromobacter, Flavobacterium Entérobactéraicées Escherichia, Proteus, Serratia Micrococcacées Micrococcus, Sarcina Brévibactériacées Brevibacterium Lactobacillacées Streptococcus, Leuconostoc

luzerne…) et bactérie (Rhizobium, Bradyrhizobium…) Tiges de sesbania Racines de soja (nodosités) Organismes fixateurs d ’N2 = DIAZOTROPHES 2 Symbioses Plante supérieure + bactérie Aulne et actinomycétale (Frankia) Colonisation des sols pauvres en N 1 3 Sénescence protéines N2 2 Fixation de N2 Assimilation NH4+ , AA protéines e itièr L Humification Ammonification 4 Nitrification NO3Enrichissement du sol en azote La symbiose Rhizobium - Légumineuse Expériences

particularité très intéressante: elle est capable de fixer l'azote atmosphérique pour l'utiliser et se développer. Cela est permis par une symbiose avec des bactéries du genre Rhizobium: ce sont ces bactéries qui sont capables de fixer l'azote atmosphérique. [3] En effet, les Fabacées sont en relation très étroite avec les Rhizobium. Les bactéries peuvent pénétrer les racines de Fabacées par des canaux intracellulaires formés dans les poils absorbants, qui sont alors courbés. Ces canaux intracellulaires

aptitude à former des nodules avec des rhizobiums indigènes dans le sol. Ainsi, pendant que certains génotypes de soja au caractère généraliste, ont une aptitude à former des nodules spontanément avec des rhizobiums indigènes, d’autres, par contre, nécessitent une inoculation avec un type spécifique de rhizobium pour bien se développer (Brink et Belay, 2006). Selon MarieClaire (1988), l’effectivité d’un système symbiotique (légumineuse associée au Rhizobium) dépend à la fois des déterminants génétiques

l’extrémité d’un cordon d’infection, au sein d’une nodosité de légumineuse, vue en microscopie électronique. Elle montre une étape de la mise en place des nodosités fixatrices d’azote chez ces végétaux : c’est à ce niveau que des bactéries du genre Rhizobium entrent dans les cellules de la nodosité et deviennent des bactéroïdes. B, bactéries du cordon d’infection ; Bo, bactéroïdes intracellulaires ; CN, cytosol de la cellule de la nodosité ; Mp, membrane plasmique bordant le cordon d’infection ; Mpb

annuelle originaire d’Amérique du Sud. On distingue les haricots grimpants (à rames) à port volubile, et les haricots nains à port érigé. Les racines sont le siège du phénomène de nodulation. Les nodules étant des excroissances bactériennes de type Rhizobium. Cette symbiose permet à la plante d’acquérir de l’ammonium synthétisé par les bactéries à partir de l azote atmosphérique. Cette symbiose est très répandue dans la famille des Fabacées. Feuilles : pétiolées, alternes, composées. Présence

réduction de N2 et de NO3- montrent que cette seconde source est moins coûteuse De plus elle ne nécessite pas de nourrir les Rhizobium ni l’organe végétal (nodosité) qui les abrite : coût total : 30% des photosynthétats de la plante. En présence de NO3- :il est donc plus rentable d’utiliser cette source pour la plante. On ignore ce qui arrive dans ces conditions, aux Rhizobiums pour lesquels cette réponse n’est pas optimale : il s’agit d’une réaction contrôlée de la plante. On remarque au passage que

accomplir cette fonction isolément. Il ya deux groupes principaux de dicotylédones fixatrices d’azote. (Paul Mazliak,1974) Des membres de la famille des légumineuses comme le pois, le trèfle, le soja…le microbe endophyte est une bactérie de genre Rhizobium. Figure : nodules à rhisobium et racine des légumineuses Certains végétaux porteurs de nodosités appartenant à d’autres familles d’angiospermes, exemple l’Aulne, dans lesquelles le microbe endophyte est un champignon actinimycète. Tableau

fixation du diazote est limitée aux procaryotes qui possèdent, à l’inverse des plantes, un complexe enzymatique, (par exemple des nitrogénases), permettant de catalyser le N2 atmosphérique en ammoniac (NH3). Ces procaryotes, en particulier le genre Rhizobium, peuvent s’associer symbiotiquement avec des fabacées ce qui permet aux plantes de fixer l’azote. L’aulne peut aussi s’associer à des bactéries du genre Franckia pour fixer l’azote. Néanmoins, les microorganismes fixateurs de diazote vivent également

provoque des maladies. Ils sont à l’origine de la production de médicaments (antibiotique, antifongiques, vaccins, …) Micro-organismes et l’agriculture A l’origine du cycle des nutriments (C, N, S…). Conversion de l’azote atm en ammonium (Rhizobium). Dans la production animale ils jouent un rôle dans le système digestifs des ruminants : la Bactérie du rumen ( dégradation de la cellulose. Etudes des micro-organismes pathogènes chez les plantes et les animaux. Micro-organismes et l’industrie