Rhétorique Dilemme

Devoir français / Julien Balloué 2B1 Bérénice est une tragédie classique écrite par Racine en 1671 relatant un amour impossible entre deux êtres séparés par un cruel dilemme vécu par Titus, le héros. Racine, dramaturge et historiographe du roi est considéré comme l’un des plus grand auteurs de tragédies de la période classique de la France de Louis XIV. Cette discussion entre les deux personnages du cinquième acte montre admirablement les deux personnages faisant face à leur devoir ; Bérénice

faiblesses du héros Hippolyte : page 9 « J'appelle faiblesse la passion qu'il ressent malgré lui pour Aricie, qui est la fille et la sœur des ennemie mortels de son père » Aricie fait face a un dilemme qu'Hippolyte lui pose :partir avec lui mais perdre son honneur ou garder son honneur mais perdre son amour qui est Hippolyte Fuir pour Aricie est une proposition plaisante car elle partirai avec Hippolyte et aussi qu'elle n'aura

Cette scène est un extrait de la tragédie Andromaque, de Racine. Cette pièce, écrite en 1667, se compose de cinq actes et s’inscrit dans les registres tragiques et pathétiques. Dans cette scène, Pyrrhus confronte Andromaque à un cruel dilemme : l’épouser ou voir son fils mourir. En promettant un avenir dramatique aux personnages, la tirade de Pyrrhus ne met elle pas en valeur la complexité de ce personnage tiraillé entre passion et politique, exprimée à travers l’ambigüité de l’amour et de la haine

Shakespeare en 1603.Ils sont d’époque différente mais ils ont un point commun ces extraits sont tous argumentatifs ; ils présentent des personnages aux prises avec un dilemme. Il sera donc intéressant de voir comment se manifeste ou s’exprime leur délibération. Tout d’abord chaque texte présente un personnage face à un dilemme : Gargantua est tiraillé entre deux émotions contradictoires : la joie d’avoir un fils et la douleur d’avoir perdu sa femme. Hamlet, lui, est partagé entre la tentation

les raisons de sa folie. Hamlet arrive, il se croit seul sur scène et nous livre une réflexion face à une question existentielle: faut-il être ou ne pas être, supporter la vie ou se suicider? Nous pouvons donc nous demander comment Hamlet résout ce dilemme auquel il fait face. Nous commencerons donc par montrer que le personnage de Hamlet est en crise. Puis, nous montrerons que son choix se fait en s'appuyant sur un raisonnement logique pour étudier ensuite l'universalité de sa question. I.Un personnage

une héroïne qui doit faire face à un dilemme cornélien. En effet, elle doit soit accepter d’épouser Pyrrhus, son ennemi, afin de sauver son fils du sacrifice auquel les Grecs le destinent, soit de refuser ce chantage, et provoquer ainsi la mort de son enfant, symbole de son amour avec Hector, son défunt mari. C’est ainsi que l’héroïne commence une introspection qui aboutira à sa décision finale.  Nous analyserons donc dans un premier temps comment ce dilemme fait de cette scène, un texte lyrique

mariage, logique. Cependant, le peuple romain refuse qu’un dirigeant épouse une reine étrangère, car ils redoutent que Rome soit annexée par cette puissance étrangère, comme cela a manqué se dérouler à l’époque de Jules César. Titus est donc face à un dilemme cornélien (encore un élément « volé » à Corneille !) : il doit choisir entre son amour et son pouvoir. L’extrait étudié, acte IV scène 5, constitue la continuité de l’acmée. C’est la première scène où Titus et Bérénice se rencontrent. En effet,

se décide pas à l’aimer. Mais celui-ci va recevoir l’ordre des Grecs de leur livrer le fils d’Andromaque. Dans la scène 7 de l’acte III, Pyrrhus espère donc gagner les faveurs de celle-ci en sauvant son fils. Celui-ci la confronte alors à un cruel dilemme, l’épouser ou voir son fils mourir. On assiste donc, dans cette scène, à une longue tirade de Pyrrhus posant un ultimatum à Andromaque, lui promettant ainsi un destin tragique. Face à la froideur d’Andromaque, celui-ci se montre menaçant. Mais en

distinguée » ce qui signifie qu’il est d’une certaine beauté. Enfin dans un troisième temps Ciuta et Coelio quittent la scène pour laisser la place aux deux derniers personnages de la scène, Claudio et Tibia. Grâce à Claudio et à ses questions rhétoriques « es-tu mon fidèle serviteur ? » et « mon valet de chambre dévoué ? » nous apprenons le statut de Tibia dans la pièce puis il raconte ensuite à son valet que des hommes essaieraient de séduire sa femme qui n’est autre que Marianne. Nous apprenons

infamie » (l.2), « flétrir tant de lauriers » (l.4). Des mots de détresses et la défaite appuyées par la ponctuation avec la présence de 3 exclamations. La faiblesse apparaît à travers ce champ lexical, mais elle est renforcée par le jeu des questions rhétoriques qui sèment le doute chez le personnage. Il semble marqué moralement. Le laurier symbolise le combat guerrier, la victoire. On en apprend beaucoup dès les premières lignes sur l'état physique du personnage. En effet, on se rend vite compte qu'il