Rimbaud Modernité Et Tradition

INTRODUCTION : Le symbolisme 1880-1900 Introduction : Le symbolisme est le troisième mouvement littéraire qui achève le dix-neuvième siècle. Avec des poètes comme Baudelaire et surtout Rimbaud, il annonce la modernité du vingtième siècle. I. Étymologie et définition ------------------------------------------ 1) étymologie ------------------------------------------ Le mot « symbolisme » est formé à partir du terme « symbole » qui vient du latin symbolum, « symbole de foi », symbolus

continuit et sinscrit dans une tradition avec laquelle il na jamais pu, et quoiquil essaye, rompre. Vient de trs loin est son propre pass. La parole neuve est aussi bien obstacle quouverture celles qui lui succdent, qui butent sur elle, gnes quelle soit l, sans quil soit possible de lomettre ou mme de la tourner, cependant quelles apprennent delle comment omettre, comment dtruire ou parler en vue de lincertain, comment tourner tout obstacle, interrompre toute tradition. Comment en un mot, se librer

didactique, la dignité d’un genre poétique à part entière et ce : Par la forme Liberté et virtuosité de la versification Variété des structures qui jouent sur le rapport récit et morale et entre fabuliste et personnages Par les sujets, empruntés à la tradition mais renouvelés dans leurs perspectives : Sociale, avec une tonalité souvent ironique et critique Philosophique, parfois même élargie en sagesse personnelle et en confidences lyriques Par la revendication d’une finalité non morale (qui est sans

n'est plus seulement un art, elle devient aussi un moyen de connaissance. Pour Victor Hugo, le poète romantique doit être un mage, un voyant (comme dirait Arthur Rimbaud), qui doit guider le peuple et remplir une mission à la fois politique, religieuse et poétique. Lamartine, Hugo et Nerval orientent la poésie vers la voie de la modernité, et lui donnent pour mission ambitieuse celle de la "totalité": "tout est sujet, tout relève de l'art, tout a droit de cité en poésie"(préface des Orientales).

langage courant que dans la culture comme cela est souvent le cas (le germe) chez la plupart des prosateurs. Il n'en n'est pourtant pas toujours le cas si l'on considère Platon, dans le "Timéee", qui n'hésite pas à faire une place importante aux traditions babyloniennes, tout comme Xénophon, renchérissant sur Hérodote qui a écrit une chronique très représentative des mœurs et des coutumes perses. Dans l'Antiquité grecque, la figure du poète était incarnée par Orphée, Prince Thrace légendaire, fils

"Any where out of the world", Baudelaire, Petits poèmes en prose, 1868 INTRODUCTION : - Jean Nicolas Arthur Rimbaud : poète français qui s'est illustré durant la 2eme moitié du XIXème siècle. -commence l'écriture de poèmes à l'âge de 15 ans et cessera subitement à 20 ans -adepte de la modernité que l'on retrouve dans ses poèmes (prose notamment) -idées marginales et anti-bourgeoises que l'on retrouve dans ses poèmes et qui le conduisirent à une vie d'aventure et de

contrôlé par le hasard, il parle du rejet de la pensée et de l’écriture automatique. Enfin, avec l’évolution de la société les thèmes de la poésie évolue avec, nous retrouvons alors de nombreux poèmes parlant pour la première fois de la beauté et la modernité de la ville. En conclusion nous pouvons dire que cette déstructuration de la poésie, a la fois, dans le fond et dans la forme induit la création d’une chose entièrement nouvelle. Il est impossible de considérer cela comme l’évolution de la poésie

poésie a cessé peu à peu d'être cette parole sacrée qui dit la vérité du monde et fonde la communauté pour devenir une forme littéraire spécifique, aisément reconnaissable, jusqu'au XIXe siècle du moins, à la disposition du texte en vers. Dans la tradition classique, la poésie c'est d'abord une manière de dire. A la limite, on aboutit a une conception ornementale selon laquelle la poésie dit la même chose que la prose , mais d'une façon plus agréable, grâce aux règles strictes qu'elle s'impose.  Au

naît avec le mouvement surréaliste. Ecrivain engagé, Eluard donne à la poésie surréaliste une voix neuve en utilisant un langage accessible à tous qui trouve sa force dans la simplicité des mots et la modernité de son expression. Malgré cette modernité, le lyrisme de Paul Eluard, poursuivant la tradition poétique française de Ronsard à Apollinaire, se fait universel. Lors d’une conférence prononcée à Londres en 1936, dont les extraits seront publiés en 1937 dans son ouvrage l’Evidence poétique, Eluard

de très nombreuses confirmations. La pensée humaine doit toujours surmonter la fascination animale pour prendre un recul critique et construire une objectivité inter-subjective. Le désenchantement du monde, loin d'être le morne résultat d'une modernité achevée, ne serait ainsi qu'un processus continuel de prise de distance, de rationalisation, d'arrachement à nos fixions. La réflexion est un réveil à chaque fois renouvelé de nos rêves imaginaires, de la maya des apparences, des projections du désir