Rire De Résistance

elle réussit bien au saut e longueur et elle a l’esprit d’équipe en sports collectifs, mais elle peine en endurance. » KARIMA UNE AMIE « Je connais Julie depuis l’école primaire. Lorsqu’elle est arrivée, elle avait un drôle d’accent qui me faisait rire. Je me suis tout de suite bien entendue avec elle car nous avons les mêmes goûts. Souvent elle m’aide dans mes devoirs de maths. J’aime beaucoup sa façon de s’habiller. Julie est ma meilleure amie et nous échangeons nos secrets. » www.droitspartages

lors de la seconde guerre mondiale, beaucoup de poetes engagés publient des poemes accessibles pour prendre position ou également tenter de convaincre. Nous pouvons citer le poéme de Robert Desnos,La Voix, qui nous propose un appel vibrant à cette résistance, en jouant sur le caractère intimiste et personnel du message lancé à cette époque là aux français. « une voix qui vient de si loin (…) bien qu’elle semble sortir d’un tombeau, elle ne parle que d’été et de printemps » Malgré les efforts des écrivains

premier vers poème, Hugo emploie une modalité interrogative. Il souhaite interpeller le lecteur grâce au registre pathétique du poème. Il met en opposition sous la forme d’une antithèse « tous » et pas « un seul ». En fait tous ces enfants devraient rire. Il suscite l’intérêt du lecteur. Victor Hugo décrit avec réalisme l’état physique des enfants. Il insiste sur leur mauvaise santé « que la fièvre maigrit; quelle pâleur ! », leur fatigue « bien las ; rachitisme ! ». Au vers 2 et 3, Hugo utilise une anaphore «

« une voix douce » que Mme de Rênal lui avait posé deux fois la question « Que voulez-vous ici, mon enfant ? ». Julien remarque ici à nouveau cet « air si doux », auquel il n’est pas accoutumé. Cette voix se fait entendre à nouveau dans l’éclat de rire (l. 22) de Mme de Rênal. Cette franche gaieté la rapproche d’une part du valet Figaro dans la pièce de Beaumarchais qui a inspiré l’opéra de Mozart, et d’autre part d’une « jeune fille », ce qui contribue à réduire l’écart entre ces deux personnages

-propose une méthode -clarifie, synthèse -donne des opinions -donne ou demande des directives Répondant à des besoins socio-affectifs : -approuve, comprend -encourage, protège, valorise -fait preuve de solidarité -détend l’atmosphère, fait rire Des personnes utilisent le groupe pour profiter de la situation des groupes pour remplir leurs besoins personnels : -dominer -agresser -séduire -interrompre , fuir Analyse des interactions dans le groupe : Les étapes de formation d’un

en riant que Gwynplaine faisait rire. Et pourtant il ne riait pas. Sa face riait, sa pensée non. L'espèce de visage inouï que le hasard ou une industrie bizarrement spéciale lui avait façonné, riait tout seul. Gwynplaine ne s'en mêlait pas. Le dehors ne dépendait pas du dedans. Ce rire qu'il n'avait point mis sur son front, sur ses joues, sur ses sourcils, sur sa bouche, il ne pouvait l'en ôter. On lui avait à jamais appliqué le rire sur le visage. C'était un rire automatique, et d'autant plus irrésistible

malaise. Et pourtant il est une réaction biologique bien réelle à une stimulation extérieure physique, psychique ou sensorielle. Plus précisément, c’est un quasi-réflexe qui se décompose en trois phases : alarme, résistance, épuisement. • L’alarme (réaction de stress)  • La résistance (réponse adaptée ou non à la situation stressante) • L’épuisement (ou phase de récupération lorsque la situation de stress a pris fin) II- Les facteurs du Stress au travail : La liste des facteurs

je » et « tu » : « Ton bateau » (l. 10), « Je vais commander » (l. 23), mais au moment où il ressent de la résistance de la part du commandant : « Amenez le grand foc », il engloutit les paroles de ce dernier, pour leur donner un caractère ubuesque : « Amenez le grand coq et allez faire un tour dans les pruniers », puis finalement voyant que ça ne lui réussit pas : « Plusieurs agonisent de rire » (l. 35), il décide de de rallier le reste de la troupe en recourant au pronom « nous » : « Ceci est un

250). Le singulier du titre prend donc une valeur particulière en soulignant l’aspect dérisoire d’ »un barrage » contre un océan. C’est un projet démesuré, une folie, un rêve irréalisable qui ne peut qu’échouer. Le titre illustre, de ce fait, la résistance, perdue d’avance, contre une force plus puissante, image de l’impuissance des individus contre le système colonial tout entier, de la lutte sans espoir de « la mère » contre « les agents du cadastre » qui lui ont accordé sa concession incultivable

position de domination, ont tous les droits : « je suis énervé, là, je vais me faire un noir ! » (p.25). Ce racisme passe par l'humour, un humour spécifique aux chantiers: « ainsi va l'humour ethnicisant au travail : assez plaisant pour être objet de rire, assez ambigu pour être porteur de sens » (p.21). C'est donc un humour qui rappelle sans cesse à chacun sa place, un humour asymétrique aussi, un Noir ne pouvant répondre à un Blanc, surtout si celui-ci est son supérieur, de la même manière.