Risque De Déflation

que l'on doit le déclenchement de la crise actuelle et son ampleur. Directement et durablement impactée, l'économie mondiale risque bien d'osciller pour un temps entre déflation et inflation. En effet les spécialistes du crédit immobilier, les gérants de fonds, les agences de notation ou autres théoriciens de la finance ont poussé un peu trop loin la logique du risque en pensant pouvoir le valoriser et le fractionner à l'infini, parce qu’ils étaient à la recherche de gains substantiels et rapidement

entre eux. Les patrimoines se diversifient par nature et par région du monde en fonction des risques et des perspectives de rendement. Les marchés monétaires, financiers et des changes sont mondiaux, grâce à la convertibilité des monnaies. Ainsi globalisés, ils se montrent de plus en plus autonomes par rapport à l’économie réelle. Ils 4 déterminent les taux d’intérêt à long terme et les primes de risque, donc les conditions de financement des déséquilibres de balances des paiements, des budgets

financement, et à assurer ainsi à tout moment l'équilibre entre ses recettes et ses dépenses. 4) Risque systémique : Le risque systémique, ou la crise systémique sont des expressions utilisées en finance où le terme systémique exprime un changement d'échelle, une prise en considération globale du mécanisme et de ses causes, et qui inclut donc l'environnement dans lequel il s'inscrit. Le risque systémique est la probabilité d'occurrence d'un dysfonctionnement paralysant l'ensemble du système financier

inflation/ déflation .inflation: D > O >O hausse de la production hausse de l'emploi < O Hausse des prix .déflation: D < O >O hausse des prix >O baisse du pouvoir d'achat hausse du chômage . face à l'inflation austérité rigueur .face à la déflation

connu une période prolongée de désinflation en dépit d’une croissance soutenue. Le graphique ci-dessous montre que l’inflation aux Etats-Unis a considérablement baissé depuis les années 1980. Lorsque les prix reculent bel et bien, un risque de déflation survient. La déflation, qui résulte souvent d’une période prolongée de faible demande, peut aboutir à une récession, voire à une dépression. Le graphique indique que l’épisode déflationniste le plus long et le plus marqué est survenu au siècle dernier

capacité de productives ne sont pas totalement exploitées = la croissance constatée ≤ croissance potentielle. * Si la croissance effective dépasse la croissance potentielle =&gt; Il y a surutilisation des capacités productives = ↘ du chômage mais risque inflationnistes. Les facteurs de la croissance potentielle sont la quantité des facteurs de production et leur niveau de productivité. 2 L’origine des écarts entre croissance effective et croissance potentielle. Taux d’emploi : ( nbre d’actifs

cumulatifs   susceptibles   d’engendrer   déflation   et   dépression   économique  et  leurs  conséquences  sur  le  chômage  de  masse.     Objectifs  :   -­‐ Être   capable   de   maîtriser   les   notions   suivantes  :   fluctuations   économiques,   crise   économique,   désinflation,  croissance  potentielle,  dépression,  déflation.   -­‐ Être  capable  de  montrer

marasme est trop important (social et eco) II/ la politique eco commme reponse a la crise Du fait du risque deflationniste necessite parfois des pol plus actives de la part des pouvoirs publics ms qui trouvent leur limite par linternationalisation des echanges A. La deflation risque majeure Les graves crises generent des politique pour eviter la deflation : plan freyssinet par ex. la deflation apres 29 montre les limites du marche pour redresser l’eco (d’où le New deal de roosevelt) La volonte

contraction du volume du crédit (credit crunch) qui en a résulté. Sur le même schéma, la bulle financière engendrée par la spéculation immobilière des années 2000 aux États-Unis a débouché sur la crise des subprimes à partir de 2007. Ces emprunts à risque, accordés à des débiteurs insolvables incapables de les rembourser, ont fait s'effondrer la valeur du patrimoine de ceux qui les détenaient dans leurs portefeuilles de valeurs. Les répercussions en chaîne sur les banques, les entreprises et les ménages

efficacité des marchés de capitaux allait permettre d’assurer une meilleure liaison macroéconomique entre la finance et l’économie. L’épargne pouvait être encouragée par une plus grande gamme de choix de placements et par des protections contre les risques mieux adaptée. L’investissement devait être favorisé par une plus grande diversité des méthodes de financement et par une évaluation plus concurrentielle des rendements exigés des entreprises par la communauté financière. Contrairement à