Risque Systémique Des Banques

refonte de la loi susmentionnée. Les grandes lignes de ce projet de loi qui se décline en 196 articles répartis en neuf titres peuvent être récapitulées comme suit : I- Champ d'application de la loi : Le projet de loi prévoit que l'agrément des banques peut être limité à l'exercice d'une partie seulement des activités liées à la collecte des dépôts et à l'octroi de crédits. Il énumère également de façon exhaustive les services d'investissement et les services qui leur sont connexes pouvant être

réaliser un investissement, mais ses fonds sont insufisants, elle va donc emprunter à un organisme de financement (banque). Quaestion 3 : Le mécanisme de diffusion de la crise des subprimes à l’économie réelle. Définition des subprimes : Un subprime est un crédit à risque, à taux plus élevé pour l'emprunteur, et donc avec un profit plus important pour le prêteur afin de rémunérer le risque de non remboursement, cependant limité par la garantie hypothécaire prise sur le logement. Question 4 Titre

Impact du cadre reglementaire et institutionnel camerounais sur l'activite des etablissements de credits: cas du Credit Foncier du Cameroun (CFC) par Jean Marie NGOMBA MVOGO Université Yaoundé II SOA - Diplôme d'Etudes Supérieures Spécialisées en Banques et Finance Traductions: Original: fr Source: précédent sommaire suivant PARTIE.I Nécessité du cadre réglementaire et institutionnel dans la sphère bancaire : un aperçu théorique Le chapitre I justifie la nécessité du cadre réglementaire et

Les banques ne sont pas des entreprises (tout à fait) comme les autres Il y a encore 25 ans, la plupart des banques et des institutions financières étaient placées sous le contrôle de l’Etat. Beaucoup étaient spécialisées (Crédit foncier, Crédit agricole, Banques populaires, Caisses d’Epargne…), les taux d’intérêt étaient en grande partie administrés et la Banque de France encadrait le crédit. Aujourd’hui, les banques se livrent à une concurrence sur tous les terrains. Le crédit et les taux d’intérêt

qui présentent un risque de défaut plus sérieux, se verront imposer un taux d’intérêt plus élevé, à savoir le prime rate majoré d’une « prime de risque » (risk premium). Il faut savoir par ailleurs que, depuis la fin des années 90, la croissance américaine était ‘boostée’ 2 par les dépenses de consommation, elles-mêmes ‘boostées’ par la politique monétaire de la Fed (‘Federal Reserve’, banque centrale des Etats-Unis), dont le taux directeur – c’est-à-dire celui qui permet aux banques de se refinancer

a décidé de réguler l’activité bancaire par un ensemble de réformes. En effet actuellement les banques n’hésitent pas a prendre de gros risques systémiques en spéculant. Leurs gains sont souvent colossaux, a la hauteur de leurs risques entrepris et obtenu par de véritable cerveaux financiers appelé traders. Ces derniers perçoivent une grande rémunération variant selon les gains obtenu pour leur banque. En cas de perte ils n’en subiront pas les conséquences et continueront de percevoir leurs bonus

qui a provoqué la baisse des taux d’intérêts. c) Du point de vue institutionnel et politique La mondialisation entraîne une diversification et une autonomisation des acteurs transnationaux. Elle impose aux organisations internationales : ONU, Banque mondiale, FMI, OCDE, Forum de Davos, G20 de redéfinir leurs discours et leurs actions. II- Remise en cause de la mondialisation a) Un bouleversement de la « hiérarchie des places » dans l’économie - entre les pays et les régions d’abord. La croissance

aussi se financer sur les marchés internationaux de capitaux elle a donc une source illimitée d’épargne mondial. La globalisation devrait entrainer un accroissement de l’activité économique. Cependant ce processus est accompagné d’une augmentation du risque de financement. A- Les caractéristiques de la globalisation financière 1- L’importance des flux mondiaux de capitaux… IDE= Investissement Direct à l’Etranger, lorsqu’une E national investie dans une E étrangère afin d’y détenir

INTRODUCTION Les banques, comme toute entreprise, sont soumises à des risques pouvant mettre en danger leur fonctionnement voire leur survie. Du risque systémique lié à l’économie réelle au risque le plus minime au sein d’une agence (ex : panne informatique), vigilance et anticipation sont de mise dans le secteur bancaire. Des mesures sont donc prises pour les contrecarrer. Nous allons donc voir dans un premier temps toute l’importance de la gestion des risques puis, dans un second temps nous analyserons

des principes et des enjeux que le Groupe de travail est invité à considérer................ 4 Introduction ...................................................................................................................................... 6 Des banques solides dans un système de paiements solide..............................................6 Le rôle essentiel du système de paiements ........................................................................7 Concurrence dans le système de paiements