Rite

Aïssaouia, où elles organisaient des hadhra aux fêtes du mouloud qui célèbrent la nativité du prophète. Elles organisent aussi des hadhra domiciliaires à but thérapeutique. Leur nuit rituel est un mélange entre élégies des confréries de l’extase et le rite de possession, des Ganaoua. Leur transe vise à la fois de l’élévation extatique et la possession par les mlouk : elles sont à la fois anges s'élevant grâce à l'extase et chevaux du diable, chevauchées par les esprits qui descendent du ciel pour les

Eliade considère que ce qui ne nous apparaît pas comme un monde en devient alors un. En d’autres termes, on s’imagine que l’au-delà est comme ce qui nous entoure sur terre. C’est pour cette raison qu’on ne peut l’expliquer, mais qu’on peut tenter de le représenter et d’y penser. En ce sens, l’homme qui pratique et vit sa religion croit en quelque chose de plus haut, de plus céleste, qui apparaît à lui et le guide lorsqu’il en a besoin. Ce quelque chose représente le sacré et se rattache à une réalité

Doctrine. La pratique religieuse n’est pas théocrate : il n’y a pas d’existence entre le pouvoir et l’existence des dieux. - Il n’y a pas de clergé non plus dans cette religion. Si elle n’a pas tous ces éléments, elle va s’appuyer sur du rite (des rites religieux : il ya des rites publics et des rites privés). Avec ces rites, on s’adresse aux dieux avec une prière. Il y a aussi toute la question des offrandes : nourriture, argent, (les temples étaient les banques de la Grèce antique, accumulant

justice sanglante commençait-elle à avoir honte d’elle-même ? Quant à la question de la légitimité de la peine de mort, elle n’a pas été particulièrement exprimée par les Anciens, la mort du coupable apparaît tantôt comme une vengeance, tantôt comme un rite religieux qui purifie les gens, les choses, et qui apaise les courroux des Dieux, et parfois comme une mesure de salut public qui supprime un individu dangereux. La loi de Manou élève un hymne à la gloire du châtiment parce qu’il inspire la terreur

rationnelle. Chaque fois que l'homme veut obtenir un résultat dans le monde, il fait appel à cette intelligence rationnelle. ● Celui qui a une conscience religieuse ne se contente pas de ces techniques, il leur adjoint une prière ou un procédé magique, ou un rite sacré qui, à ses yeux seront aussi déterminants que les techniques rationnelles. ● LA RELIGION ● La magie est la croyance en la possibilité d'agir sur la réalité matérielle et d'obtenir un résultat en court-circuitant les voies et moyens rationnels

La vérité est-elle contraignante ? La vérité est considérée, de façon philosophique, comme une connaissance reconnue comme juste, conforme à son objet et possédant à ce titre une valeur absolue et ultime. Elle peut être à la fois considérée comme une contrainte ou encore comme une gêne, mais également comme une libération en fonction du contexte dans laquelle cette dernière est étudiée. Nous chercherons donc à démontrer si la vérité est contraignante ou libératrice et dans quelle mesure ne peut-elle

représente l’aspect masculin et la matérialité et celui de sa sakti qui représente l’aspect féminin et l’énergie. En ce cas, les exercices du yoga tantrique vont avoir pour but de fusionner l’énergie et ainsi de mettre un terme à la dualité. Le rite de l’ascension de la kundalini, en tant que représentation microcosmique de l’univers pourra donc avoir une répercussion sur le macrocosme et opérer une transformation radicale sur l’ensemble de la société et sur le cosmos aussi. D’autres vont s’opposer

entailles qui courent d’une oreille à l’autre et s’approfondissent jusqu’à l’os), il faut le consentement du pére du garçon. Une fois ce dernier obtenu, il s’en va trouver un membre de la classe d’âge de son pére (ayant appris à opérer), qui procéde à un rite pour lui donner la bénédiction de cette classe. Une lance de pêche lui est remis en tant que présent à la fin de son initiation. On initie plusieurs garçons en même temps. Ces derniers sont ordinairement entre quatre et une douzaine à passer les rites

possédait le pouvoir plutôt que celui qui ne le possédait point afin que l’ordre ne fut point bouleversé ». Pépin le Bref est maire de du palais, et donc il se fait élire roi par les grands avec l’accord du pape. En 752 il a recours au sacre, c’est un rite religieux c’est une onction d’huile sainte qui symbolise l’origine divine du pouvoir royal. Et il répète cette cérémonie deux ans après avec le pape Etienne II. Pépin le Bref est un usurpateur, mais le sacre va lui donner un prestige très grand. Son

tatouage comme d’une forme de sacrifice corporel, supportant le supplice de l’aiguille, pour en sortir transformés. Malgré la condamnation sévère figurant dans le Lévitique 19-28, qui proscrivait le marquage du corps, l’art du tatouage était devenu un rite de passage que des milliers de gens observaient en ces temps modernes Ŕ adolescents bien sages, drogués impénitents, mères de famille modèles. Se tatouer était devenu une affirmation de son pouvoir de transformation, une déclaration à la face du monde