Rites Funéraires Grece Antique

Agrandir 1. PRÉSENTATION Navigation antique sur le Nil La civilisation égyptienne s'étant développée autour du Nil, la navigation tient une place très importante dans l'Égypte ancienne. Tous les transports se font par voie fluviale, sur des bateaux de papyrus : nourriture, produits commerciaux, blocs de pierres pour la construction des temples. Les processions funéraires utilisent également le Nil pour conduire les momies à leur dernière demeure. Fresque de la tombe de Sennefer, Nouvel Empire

plus nombreuses et les plus belles mines d'argent que l'on connaisse. Les indigènes en ignoraient l'usage. Mais les Phéniciens, venus pour faire du commerce, achetèrent cet argent en échange d'une petite quantité de marchandises. L'ayant porté en Grèce, en Asie et chez les autres peuples, ils acquirent ainsi de grandes richesses". Ce qui motivait les Phéniciens fut avant tout leur amour du contact et des échanges. Fins commerçants, ils ont essayé de relier la mer et la terre. Ils ont cherché

sujet. Le portrait décrit surtout une relation à autrui puisque l’individu autre est portraituré par un artiste qui traduit ses signaux identitaires puis observé par un spectateur en l'absence du modèle. A l’inverse du portrait présent dès l’égypte antique, la question d’autrui s’est posée relativement tardivement dans l’histoire de philosophie, qu’à partir du moment où l’on accepte de quitter la position centrale du sujet cartésien pour penser autrui autrement que comme un satellite du cogito. On peut

importantes, il permet d’appréhender le monde et décrit certains phénomènes naturels, rites.  Le Divin se mêle à l’Humain. Valeur symbolique, il permet à l’Homme d’accéder à une pensée supérieure et recèle une vérité première. On est proche du symbole mais pas tout à fait, le mythe est narratif alors qu’un symbole est un objet concret (comme une allégorie).  Les mythes Grecs résument la religion et les rites des Grecs. Ils ont une religion Polythéiste fondée sur l’anthropomorphisme, constituée

la religion chrétienne se verra plutôt être un sacrifice eucharistique, qui se voit davantage être un mémorial du sacrifice de la Croix par le Christ qu’un sacrifice par le sang. Ainsi, les fidèles trouveront une connotation plus eucharistique et funéraire, rendant hommage au Christ et aux grands saints, en commémorant leurs sacrifices autour de ces installations. La construction d’un autel est ainsi une façon de leur rendre honneur et sont construit majoritairement au-dessus de la tombe de ces saints

les règles hygiénistes de l’époque. Alexandre meurt à Babylone en 323 av JC s’en suit le partage de son Empire entre les diadoques: Ptolémée fils de Lagos fonde la dynastie des Lagides ou ptolémaïques en Egypte Antigone obtient la Macédoine et la Grèce Séleucos fonce la dynastie des Séleucide sur les côtes de la Syrie et de l’Asie Mineure. Tous les généraux prennent le titre de roi la même année en 305 av JC. La même année Ptolémée fait d’Alexandrie la capitale de l’Empire, il règne de 305 à 282

Néandertal qui, le premier, s’est intéressé à des choses trouvées dans la nature non pas parce qu’elles étaient utiles, mais parce qu’elles lui plaisaient. A peu près au même moment apparaissent la religion, la croyance en une vie après la mort et les rites funéraires : on commence à enterrer les défunts avec des objets, des fleurs, etc. L’Homme des cavernes ne vivait pas dans des cavernes, il s’abritait seulement à l’entrée. Il étaient pour la plupart nomades, et se déplaçaient donc en fonction des saisons

siècle : Matila Ghyka, diplomate roumain, s'appuie sur les travaux du philosophe allemand Zeising et du physicien allemand Gustav Theodor Fechner ; ses ouvrages L'esthétique des proportions dans la nature et dans les arts (1927) et Le Nombre d'or. Rites et rythmes pythagoriciens dans le développement de la civilisation occidentale (1931) insistent sur la prééminence du nombre d'or et établissent définitivement le mythe . Au cours du XXème siècle : des peintres tels Dali et Picasso, ainsi que des

tranquillité et de l’imagination de chacun Marie-Lise PRIOURET _______ Lundi 10 h 00 1 HISTOIRE DE L’ART DE L’ITALIE ANTIQUE A partir du constat que l’art de l’Italie péninsulaire est très largement tributaire de l’art grec, on s’efforcera durant cette session, par des retours sur les modèles “classiques”, de montrer les caractéristiques de l’art de l’Italie antique. L’étude des témoignages “italiques” (des peuples de l’Italie), notamment de l’Italie du Sud, puis de ceux du peuple Etrusque

met au monde des jumeaux, dont le père était censé être le dieu Mars en personne. Cette 1 Pour la légende troyenne, cf. E. HAMILTON, La mythologie, Paris, 1978, p.268-289 et bien sûr l’Enéide de Virgile. 2 Cf. L. JERPHAGNON, Histoire de la Rome antique, 2002, p.21. 2 naissance s’accompagne d’une prédiction, terrible pour le frère du roi qui avait usurpé le trône. Un devin annonce en effet que les jumeaux sont destinés à venger ce crime. Leur mort est donc immédiatement décidée par leur oncle