Role Du Multiplicateur Dans La Croissance

Dans quelle mesure une reprise de la croissance dépend-elle d'une relance de l'investissement ? " L'investissement est un facteur clé des fluctuations conjoncturelles " (Keynes). Par ceci, il faut entendre deux choses, qui reflètent d'ailleurs bien toute la problématique du sujet qui nous intéresse ici: bien que l'investissement soit un facteur clé d'une croissance économique saine, il reste soumis, comme tout agrégat, aux limites le régissant. Cependant, il reste souvent un doute sur le sens

ETAT ET SERVICES COLLECTIFS Les limites de la régulation de l’activité économique par les marchés justifient l’intervention de l’Etat. L’Etat assure des services publics pour combler les insuffisances du marché. Au cours des dernières années, le rôle de l’Etat s’est graduellement étendu à de nouvelles fonctions. 7.1.1 C’EST QUOI L’ETAT ? Sous ce nom, on désigne la personnification juridique d’une nation. L’Etat est souvent assimilé à la forme institutionnalisée du pouvoir politique. Il est le sujet

Le rôle de l'investissement dans la croissance économique D'une manière générale, tous les économistes (quel que soit le courant de pensée) reconnaissent beaucoup de vertus à l'investissement:– en matière de croissance des richesses et d'emploi – en matière de modernisation des structures car l'investissement est source d'accumulation du capital et le capital nouveau apporte duprogrès technique. Ainsi, il convient de rappeler 3 effets qui concernent l'investissement: – un effet multiplicateur

commissariat général au plan Monnet. Gouvernement issu du CNR ; nationalisation Renault. Assurances, énergie, transport aérien. Moyen de transmission de la politique gouvernementale. Nationalisation doivent permettre aux planificateurs d’orienter la croissance. Le marché conserve sa fonction de régulateur mais le plan doit permettre de réduire les incertitudes. Mise en place des mesures pour les 30 glorieuses : l’Etat construit les moyens de son interventionisme. Le secteur public devient un moyen

privés, font des choix rationnels et ne servent pas nécessairement l'intérêt général. (Différence fondamentale avec l'économie normative) L'économie politique vient de la théorie des choix publics. J.Buchanan : la théorie des choix publique décrit le rôle de l’Etat et le comportement des électeurs, des hommes politiques et des fonctionnaires. Elle va expliquer la politique à l’aide des choix publics, à partir d'outils microéconomiques. Elle a était conforté par Lucas, qui montrera l'aspect rationnel

débat sur la répartition du revenu dispo’ entre la conso’ et l’épargne, ce débat oppose traditionnellement les éco’ néoclassiques qui insistent sur la primauté de l’épargne, le rôle fondamental du taux d’intérêt comme prix d’arbitrage entre conso’ et épargne. Et puis les éco’ Keynésien qui sont beaucoup plus sensibles au rôle de la conso’ dans le soutien à l’activité économique. Mercredi 29 Septembre 2010. Première partie : Les précurseurs. 1.1 Les néoclassiques, les économistes libéraux

Thème 1 : La croissance économique La croissance économique désigne l’augmentation régulière des quantités produites, ce qui renvoie donc à l’accroissement durable de la production. C’est donc un phénomène quantitatif qui renvoie à des dynamiques de long terme. A court terme, on parle plutôt d’expansion économique. Croissance annuelle du PIB/hab (%) Pays | 1950-1973 | 1973-1998 | France | 4,2 | 1,6 | Allemagne | 4,9 | 1,8 | Japon | 8,1 | 2,5 | R.U | 2,5 | 1,9 | EUA | 2,2 | 1,5

l'État et des exportations est égale à la valeur globale de l'offre de biens et services par les producteurs nationaux et étrangers. Consommation + investissement + dépenses de l'État + exportations = activité nationale + importations Les multiplicateurs en économie fermée L'activité économique est stimulée par une modification de l'une des composantes que l'ont vient de voir. Supposons dans un premier temps que le pays n'ait pas établi d'échanges avec l'extérieur. Dans ce cas, l'offre de

budgétaires/monétaires et de redistribuer avec des axes fiscaux et budgétaires. Il y a également la politique monétaire qui est un instrument discrétionnaire d’accompagnement de la politique budgétaire. Cette politique a pour but d’assurer une croissance non inflationniste, de rechercher l’équilibre extérieur, c’est un instrument de la conjoncture (selon Keynes). Cependant on y observe le dilemme de la politique économique. En effet cela fait référence aux politiques de « stop and go » (alternativement

et les importations de biens et de services. Solde commercial : on ne prend pas compte de services. 3) L’objectif de la croissance économique : atteindre au maximum de la croissance économique. Pour calculer la croissance on utilise le PIB (France 2010 2mlrd : 2mlrd de richesses créées). La croissance économique est un indicateur purement indicatif, càd, en aucun cas la croissance économique n’est l’indicateur de bien-être. La répartition de richesses n’est pas montrée par le PIB. Il peut y avoir aussi