Role Du Multiplicateur Dans La Croissance

politique de Mill (1848), les représentants de ce courant s’accordaient sur un certain nombre de principes, notamment le caractère opératoire de la propriété privée et de la concurrence comme cadre de l’activité économique et la nécessité de limiter le rôle de l’État, pour permettre le libre développement de l’initiative individuelle. De Ricardo, les classiques tirèrent la notion de rendement décroissant, selon laquelle lorsque l’on fournit davantage de travail et de capitaux pour cultiver la terre

(1723-1790) Il écrivit La richesse des nations en 1776. • Il est considéré comme le père de l’économie politique, qui recherche les politiques budgétaires, de fixation des prix et des salaires, du commerce international permettant la croissance. • Il tente de montrer qu’une économie de libre concurrence réalise une allocation optimale des ressources, c’est-à-dire la plus efficace possible. • L’équilibre général d’Adam SMITH est réalisé par « la main invisible » c’est-à-dire

l’encadrement est insuffisant. Le CI est devenu parti prenante de la théorie Keynésienne du multiplicateur de la dépense autonome car dans la construction de ce modèle, il va de soit que par rapport a un système économique donné, la demande d’exportation est une demande autonome (exogène), ainsi elle vient constituer une 4ème branche C. I. G. + Exportation ( complication du processus du multiplicateur Keynésien. Équilibre Économique Y + M = C + I + G + X C = Co + c (1-t) Y I =I(i) G

EXPLIQUER L’INSTABILITÉ DE LA CROISSANCE ? I. LES FLUCTUATIONS ECONOMIQUES. A/ Les rythmes de la croissance. Fluctuations économiques : Ensemble des mouvements de baisse ou de hausse de l’activité économique. Activité : Reconnaitre les changements de rythme de la croissance économique sur un schéma et les nommer. L’évolution économique n’est pas linéaire : a. Croissance potentielle et croissance effective. La croissance effective : taux de croissance de la production effective

Question n° 1 QRU a) b) c) d) e) Qu’est-ce qui caractérise un monde déflationniste ? Une insuffisance d’épargne. Une très grande revendication salariale. Une croissance forte. Une monnaie manifestement sous-évaluée. ARNC. Commentaires Non, il s’agit d’un excès. Non, il s’agit d’une grande modération. Non, il s’agit d’une croissance molle. Non, il s’agit d’une monnaie surévaluée. Oui, aucune réponse ne convient puisqu’un monde déflationniste se caractérise par un excès d’épargne et une très grande

Fluctuations et Crises Les fluctuations de la croissance et les crises économiques : faits stylisés Faits stylisé est un fait qui est présenté de telle sorte qu’il puisse donner lieu à une théorie économique. Question à se poser : définir et distinguer les causes de la dynamique des crises. Analyser les mécanismes de sortie de crises, la manière dont les grandes variables éco (prix, la production, la consommation, les salaires, etc.) s’ajustent pour permettre la sortie de crise. Crise :

d’une année à l’autre que l’on calcule le taux de croissance économique : PIB t - PIB t-1 Taux de croissance = × 100 PIB t-1 Exemple : - Valeur monétaire du PIB 2006 = 10.000 - Valeur monétaire du PIB 2007 = 11.000 11.000 - 10.000 Taux de croissance 2007 = × 100 = 10% 10.000 Il s’agit d’une croissance en valeur (en terme monétaire, ou au prix courant). Elle ne nous renseigne pas sur l’évolution réelle des quantités produites. Pour déterminer la croissance en volume (en terme réel ou au prix constant)

Ces politiques peuvent donc agir sur les fluctuations économiques, c’est-à-dire l’ensemble des mouvements de ralentissement ou d’accélération du rythme de la croissance économique, voire parfois de baisse du PIB. On se demandera quels sont les outils des pouvoirs publics pour mener à bien ces politiques. Il nous faudra analyser le rôle de la politique budgétaire par laquelle l’Etat agit en creusant ou en résorbant le déficit budgétaire et également celui de la politique monétaire aux mains de

Mais malgré l’appréciation du yen par rapport au dollar, l’excédent japonais a continué de croître, signe d’une bonne compétitivité structurelle de la S rie japonaise. Depuis les années 90, la Chine font de sa stratégie de développement sur la croissance de ses exportations. Les performances chinoises s’explique en grande partie par une sous-évaluation délibérée du Yuan, comprise entre 20 et 50 % selon les estimations. La politique des changes de la Chine consiste en effet ancrer le Yuan sur le

l’économie. Une offre excédentaire initiale provoque des licenciements. Keynes nie de la sorte qu'il occurera un ajustement par les salaires permettant en retour selon les néoclassiques un réajustement des profits et un retour de l’investissement, de la croissance et en fin de l’emploi. La montée du chômage signifie au contraire la disparition des débouchés. Et cette baisse de la demande effective provoque le scepticisme des entrepreneurs qui n’investissent plus induisant une aggravation de la crise. [Il