Role Du Travestissement Au Théâtre

Parcours « Molière Le Malade imaginaire – comédie et spectacle » Objet d’étude : Le théâtre du XVIIe siècle au XXIe siècle Séquence 2 Acte III scène 10 de « je vs suis obligé, monsieur, des bontés que vs avez pr moi » à la fin de la scène Introduction 1) Le 3eme acte est l’acte de dénouement et on verra comment cette 10ème scène y participe. Les Diafoirus, Purgon et Fleurant ont disparu car ss l’influence de Béralde, Argan a refusé un lavement ce qui a braqué M Purgon. La place est dc libre

de tirer son épingle du jeu en mentant et en louvoyant. Le faux chevalier se fait aussi passer pour la suivante de «la demoiselle de Paris» aux yeux des domestiques de Lélio, Frontin et Arlequin, qu’elle tente de s’allier. Lélio, dupé par le travestissement, se prend d’amitié pour lui, lui ouvre son cœur ; lui parle de sa nouvelle conquête, une tendre et riche comtesse, qu’il entretient dans l’illusion d’un mariage à venir, car ce libertin calculateur ne s’intéresse à elle que par pur intérêt financier

n’a pas force d’autorité. De plus, ce qu’il dit est complètement faux. Il y a dans cette ligne, deux expressions qui reflètent la volonté en toute conscience de mentir, « il se donne pour tel » etc il y a l’idée, au fond, d’un travestissement du personnage, il joue un rôle, il porte un masque dans la mascarade qu’il orchestre lui-même. Donc ici, le personnage ment sciemment, il préfère mentir que d’avouer son ignorance, il se valorise, il se donne un genre, il se pose en tant que supérieur et savant

nourriture, boissons, argent. Il occupe donc plusieurs rôles : · rôle comique par sa naïveté, ou sa grossièreté, par son habit, son comportement – (goinfre, ivrogne, paillard…). Sganarelle · rôle de faire-valoir – il valorise son maître plus fin, plus intelligent – Sganarelle chez Dom Juan· rôle d’auxiliaire (il aide les jeunes gens contre l’autorité abusive de leurs parents) – il fait preuve alors de ruse et d’audace – Scapin · rôle de porte parole du bon sens par rapport aux délires des maîtres

la pièce échappe à son auteur et ne lui appartient plus ; le théâtre est le seul genre qui exige entre l'auteur et le destinataire (le public) des intermédiaires indispensables : les acteurs, qui donnent corps à l'œuvre. En somme, la pièce de théâtre a plusieurs créateurs : l'auteur, le metteur en scène, en collaboration avec les acteurs, et le public. Dans cette création collective, les objets, les décors et les costumes jouent un rôle important et les dramaturges eux-mêmes y accordent une attention

et fait ses études à Paris et se lance dans le roman burlesque. Il débute sa carrière au Théâtre-Italien et au Théâtre-Français. Son théâtre emprunte ses conventions à la Commedia dell’Arte : il crée des types sur lesquels il peut broder des variations, se sert du travestissement, privilégie l’amour comme ressort de la comédie. Marivaux peut être considéré comme un utopiste, en effet il utilise le théâtre comme un lieu d’expérimentation sociale (l’ile des Esclaves, 1725, où maîtres et serviteurs

homme commence des études de droit en 1710. Il délaisse rapidement cette matière pour se consacrer à l'écriture et commence à fréquenter les salons littéraires, dont celui de Madame Lambert où brille l'esprit des Modernes. Ruiné, il se tourne vers le théâtre. Il publie sa première comédie à 24 ans, Le père prudent et équitable et rencontre son premier gros succès en 1720 avec Arlequin poli par l'amour . Moraliste et analyste de la société, il crée plusieurs journaux, dont il est le seul rédacteur et

rentrer dans le moule de la société. Peut-on donc considérer que l’illusion est un adjuvant de la réalisation du bonheur ? Nous verrons dans un premier temps la participation de l’illusion au bonheur, puis, le leurre de l’identité et enfin, son rôle dans la manipulation de la société. C'est le matin d'un jour de noces. À la cour du roi Peter on attend les fiancés. Son fils, Léonce, doit épouser la jeune princesse Léna. Mais le prince a disparu car il ne veut pas rentrer dans le

LE THEATRE AU XVIe SIECLE Contextualisation historique 1ère moitié du siècle : survivance des formes médiévales (mystère, farce, sottie) Contexte : 1494-1559 : Guerres d’Italie / 1498-1515 : Règne de Louis XII / 1515-1547 : Règne de François Ier / 1534 : Affaire des Placards / 1547-1559 : Règne de Henri II / 1559-1560 : Règne de François II Jusqu’en 1548, les Mystères attirent encore beaucoup de spectateurs. Que sont les mystères ? Ce sont des représentations de la vie du Christ ou des vies des martyrs

Les costumes au théâtre ont plusieurs fonctions : -ils tiennent à la fois du discours et de la mise en scène : certains personnages peuvent en critiquer d'autres en évoquant leur façon de s'habiller. -ils sont porteurs de comiques : selon les textes, ils accentuent les traits de caractère d'un personnage (Harpagon et sa fraise à l'antique), ils participent de l'effet visuel et du comique de caractère. Tel vêtement débraillé va traduire un caractère fantaisiste ou défaitiste, par exemple. -Ils