Roman comique

Question du corpus : Le corpus soumis à notre étude «  Le personnage du roman, du XVIIe siècle à nos jours » comporte trois extraits de roman. Le texte A est l’incipit de Madame de Bovary, œuvre écrite par Gustave Flaubert en 1857. Le texte B est extrait du roman de Victor Hugo L’homme qui rit, 1869. Le dernier texte, texte C, est un passage du roman Le Moulin de Pologne rédigé par Jean Giono en 1953. L’enchainement de ces trois expose un contraste au niveau d’un même thème commun :

personnages sont inventés de toutes pièces, on utilise aussi des apologues qui permet aux lecteurs de créer une vision de la vie réel. Contrairement aux enfants, les adultes utilisent d'autres formes d'argumentation comme le théâtre, le cinéma ou le roman. Les œuvres d'imaginations ne sont-elle pas souvent plus efficaces que les explications et raisonnement pour faire réfléchir aux problème de la société ? En premier temps nous allons étudier, Comment les écrivains arrivent-ils au travers de la fiction

forme avec éclat dans l’univers de la littérature : conformes, pour l’essentiel, aux règles nouvelles, elles proposent un modèle de haute tenue littéraire, mais qui use des conventions avec un discernement inventif ; plus enjouées que proprement comiques, plantées dans un décor contemporain, romanesques sans excès, animées sans gratuité, ces œuvres présentent une vraisemblance intérieure tout à fait convaincante, qui est le produit d’un réalisme hautement stylisé. Tout cela s’accorde à merveille

entendre parler de l’amour. Lisette, sa servante, tente de la consoler, d’abord par la raison, puis par la ruse. Dans ce début d’histoire « tragique », ne peut-on pas se demander quels sont les premiers indices de l’action, ainsi que la tournure comique que prend cette scène. En effet nous verrons d’une part ce que cette scène nous apprend sur les personnages que sont la Marquise et Lisette, tant sur leur apparence physique que sur leur appartenance sociale, ainsi que la relation qui existe entre

vignerons bordelais. Il étudie le dt et commence sa carrière en rédigeant des textes sur l’Histoire, la politique, les sciences. Conseiller au parlement de Bordeaux. Catholique marié à une protestante, il entreprend la rédaction des Lettres persanes, roman épistolaire publié anonymement en 1721 à Amsterdam pour éviter de compromettre sa carrière de magistrat. (L’auteur, anonyme, se donne pour simple traducteurs de lettres authentiques obtenues auprès de Persans…texte audacieux, plein d’un esprit mordant)

Analyse de Gargantua de Rabelais : Ce texte comporte des procédés d’écritures telle que un registre comique surprenant, celui de l‘humour noir. Le rire du lecteur commence par le portrait de frère jean , on remarque une énumérations qui va souligné ses qualités morales qui sont en relations avec son aspect physique ( ligne 2-5 ) . Le comique ensuite devient un satire de l’église en montrant les qualité de jean qui a de l’énergie et une envie d’actions en contradictions

provoquer chez le lecteur ou le spectateur diverses émotions : le rire, la tristesse, l'angoisse, la terreur... Le registre d'un texte ne dépend pas forcément de son genre - un roman, par exemple, peut être comique et pathétique. Dans un texte, on peut rencontrer les tonalités tragique, pathétique, lyrique, épique, comique, ironique, fantastique. 2. Le registre tragique Le registre tragique vise à inspirer la terreur et la pitié. Il est très souvent lié au genre théâtral. Il se caractérise par

Le roman retrace l’ascension sociale de Georges Du Roy de Cantel (ou Georges Duroy), homme ambitieux et séducteur (arriviste - opportuniste), employé au bureau des chemins de fer du Nord, parvenu au sommet de la pyramide sociale parisienne grâce à ses maîtresses et à la collusion entre la finance, la presse et la politique. Contrairement à Une vie, dont le rythme lent s’accordait parfaitement à la vie étriquée de Jeanne, Bel-Ami a pour cadre un monde parisien trépidant dans lequel le héros, arriviste

Une scène de comédie -Le premier aspect comique dans cette scène est incontestablement un comique de gradation : ceci nous renvoie à la composition du passage puisqu’on passe en effet d’une déclaration d’amitié à un quasi duel. Alceste quant à lui passe en fait de la retenue à l’explosion  En effet la colère n’est pas première chez Alceste. Il est d’abord dans son coin « rêveur » et on l’oblige à venir. Contraint il « sort de sa rêverie ». Et il cherche d’abord à nier cette amitié qu’Oronte lui

sembler repoussant, se révèle particulièrement étonnant. Nous chercherons donc à comprendre comment Albert Cohen transforme Mangeclous en un personnage fascinant pour le lecteur. Dans une première partie, nous étudierions ce personnage à la fois comique et repoussant. Dans un second temps, nous montrerons comment ce personnage hors norme prend une dimension mythique et légendaire. I. Un personnage complexe 1. À la fois repoussant… Une certaine distance pourrait tout d'abord s'établir entre Mangeclous