Roman Divertir Ou Faire Réfléchir

Tout d’abord, nous allons nous intéresser au point de vue de Kafka. Un livre doit « briser la mer gelée qui est en nous », et pour ce faire, l’œuvre doit nous faire prendre conscience du monde dans lequel on vit, et nous amener à une révolte intérieure.[5] I – Ainsi que le déclare Kafka, un livre doit briser la mer gelée en nous. A – Un livre doit nous faire prendre conscience du monde dans lequel on vit 1°) Une œuvre littéraire doit nous permettre d’apprendre des erreurs du

Le roman est une œuvre littéraire en prose d'une certaine longueur, mêlant le réel et l'imaginaire, et qui, dans sa forme la plus traditionnelle, cherche à susciter l'intérêt, le plaisir du lecteur en racontant le destin d'un héros principal, une intrigue entre plusieurs personnages, présentés dans leur psychologie, leurs passions, leurs aventures, leur milieu social. Est-ce là la seule caractéristique ? Le genre romanesque peut-il, outre le fait de divertir son lecteur, le faire réfléchir sur les

Sujet : Un personnage médiocre peut-il être un héros de roman ? Le genre romanesque a déterminé à sa création le rôle du héros ainsi que ses caractéristiques essentielles. Mais avant même le roman, dans l'Antiquité, le héros existait. C'est ce héros antique, un sur-homme sinon un demi-Dieu, doté dans tous les cas d'un courage inégalable et d'un destin exceptionnel, qui détermine le premier héros romanesque. Ce héros évoluera avec le roman (héros merveilleux, vertueux, noble, bourgeois...) jusqu'à

La littérature: un coup de hache dans la mer gelée qui est en nous Franz Kafka Apprendre, réfléchir, comprendre, évoluer... La littérature nous offre cette chance. Saisissons-la et ne nous laissons pas anesthésier par l'indifférence et la paresse! Mais qu'entend-t-on par littérature? Est-ce que chacune de nos lectures nous percute au point de nous déstabiliser? Chacun d'entre nous étant touché par d'autres valeurs selon son propre vécu, on peut supposer que toute forme de littérature soit

Présentation de l'extrait de Candide, Voltaire Extrait étudié: chapitre premier, ligne 1 à "et par conséquent de toute la terre." Page 21 I/ Un conte pour divertir et amuser 1) Nous avons affaire à une situation initiale traditionnelle de conte: * Cadre spatio temporel caractéristique du conte "Il y avait" l.1 ; "Château" l.1; "Baron" l.1 . * Temps de la description du Conte qui est l'imparfait avec par exemple : « avait », « annonçait », «soupçonnaient». * Comparatifs et superlatifs:

en « Zadig ou la destinée » La version finale parait en 1748. C’est un comte philosophique qui pose les bases de la question du libre arbitre. L’auteur donne au lecteur l’envie d’aller plus loin. Il énonce le but du texte à savoir amuser et à faire réfléchir le lecteur. I – La forme épistolaire C’est une lettre, parfois un poème qui s’adresse à un personnage réel ou fictif sur des sujets variés et la forme dédicatoire est une forme d’hommage 1) Situation d’énonciation Destinateur

essaies et des romans, c’est un dramaturge du XVIII. Il veut changer les idées et veut faire comme les modernes. Les philosophes rejettent Marivaux car ils trouvent son œuvre trop légère et pas assez philosophique. Il n’est pas apprécié par ses contemporains. L’utopie du texte : c’est un lieu qui n’existe pas (// Thomas MORE, Utopie) dans ce texte on nous décrit un monde lointain où règne l’égalité, et le savoir pour tous. Un monde inversé par rapport à la réalité cela fait réfléchir aux disfonctionnement

6 - Contient-il des illustrations : Non, le livre ne comporte aucune illustration. B – Le contenu 1 - Genre du livre (roman, comédie, tragédie, document, …) : Il s'agit d'un roman historique relatant les conditions de vie déplorables et la violence de la guerre d'Espagne. 2 - Courant littéraire (classicisme, romantisme, populisme, nouveau roman, …) : Ce roman fait partie du courant littéraire appelé « Génération perdue » (Lost Generation) désignant un courant littéraire américain de l'entre-deux-guerres

de vue s’affronter. Tous tentent de le convaincre ou de le persuader du bien-fondé de leur cause, ce qui va progressivement induire à le faire réfléchir. La fiction est-elle réellement un moyen efficace d’inciter le lecteur à la réflexion ? Nous allons dans un premier temps observer, l’intérêt et le divertissement procurés par la fiction pour faire réfléchir le lecteur avant de nous intéresser à ses dangers et ses limites. L’apologue utilise ce principe même de la fiction pour instruire, en

1899 et, l’année suivante, une Jeanne d’Arc. On adapte contes de fée ou romans. On invente aussi bien sûr, et l’on constate que depuis ses origines, ces choses-là n’ont pas tellement changé au cinéma. » Depuis le début de l’histoire du cinéma, les sujets ont toujours été très variés. En effet, cela dépend uniquement des idées du scénariste, que ce soit pour faire passer un message de révolte, politique ou social, pour divertir ou tout simplement pour raconter une histoire, qu’elle soit vraie, surréaliste