Roman Divertissement Réflexion

elle est omniprésente dans la vie de la population : ‘’Mildred vit avec ses mini-écouteurs elle a donc toujours un bruit dans les oreilles’’ **la religion : Elle est très présente dans le roman, le livre que GUY sauve de chez la vieille dame est la bible. Il a beaucoup de petite scène présente dans le roman qui ont été inspiré de la bible **le monde paysan : Pas abordé **la famille : Inexistante du côté de Montag (pas d’enfant). Chez Clarisse, il y a une petite vie de famille car elle vite

Voltaire : Candide Un roman d'apprentissage Introduction La structure du conte : L'unité du conte s'organise autour de Candide, présent dans tous les chapitres, souvent escorté d'un compagnon. Cette distribution, associée aux multiples rebondissements du récit, permet à l'ouvrage de se développer comme un conte de formation qui présente les apprentissages du héros. Celui-ci apparaît au premier chapitre comme doux et innocent. Il mérite son nom, ou plutôt son surnom, dû à sa bonne foi sincère

bordelais. Ecrivain français mais également moraliste, sociologue et philosophe des Lumières, ses devoirs de magistrat auxquels il a toujours été fidèle ne l’empêcheront pas d’écrire et de voyager. La Lettre XXX que nous allons étudier et extraite du roman épistolaire Lettres Persanes qu’il publie anonymement en 1721. Il s’agit ici d’une lettre à visée argumentative indirecte dans laquelle le re-gistre ironique s’ajoute au registre satirique afin de dénoncer sans en avoir l’air la bêtise et le racisme

son récit : « en l'esbatement des faucons » c'est-à-dire le divertissement de la fauconnerie, noble divertissement du XIVème siècle. On remarque que le mot « faucons » en fin de vers ne trouve pas sa rime, peut-être que c'est un effet voulu par MACHAUT pour montrer l'importance de la fauconnerie au Moyen Âge. Nous avons une rime riche et équivoquée : « s'i deduit » (vers 8357 et 8358). Le « deduit » c'est le plaisir, le divertissement mais avec l'idée d'une certaine noblesse, d'une activité qui

LES PLAISIRS, LE DESIR Quelle vision du bonheur les écrivains ont-ils proposé à travers leurs réflexions de la vie ? du 16ème siècle à nos jours. A travers 4 textes, extraits de différents types de littérature : 1 – Une Fable : Le Savelier et Le financier de La Fontaine de 1668 – 17ème siècle 2 – Un conte philosophique : Extrait de Candide de Voltaire de 1759 – 18 ème siècle 3 – Un roman épistolaire : Extrait de Julie ou la nouvelle Héloise - 18 ème siècle 4 – Une pièce de théâtre :

à l’homme d’être dépassé par la machine. C’est d’ailleurs le thème qu’aborde ce corpus, qui est constitué de 4 documents. Le premier est une illustration d’un poème de Victor Hugo dénonçant le travail des enfants, de 1880. Le second est issu du Roman Voyage au bout de la nuit écrit par Louis Ferdinand Céline et édité en 1932. Le troisième est un entretien, rédigé par A. Rapin paru en 1997. Le dernier document est un article de Jacques Marseille, intitulé les ratés de l’âge industriel publié en

fin, Molière tient le spectateur en haleine, et, conformément au genre de la comédie, la pièce se terminera bien. Cet extrait indique enfin que la comédie classique n’a pas pour seul but de distraire, mais aussi d’apporter une leçon au public, une réflexion sur la politique et sur la société. La dernière scène n’a enfin rien de comique, mais ressemble plutôt à un drame bourgeois, tel que Diderot le définira. À cet égard, Molière est un dramaturge atemporel certes, mais de toute évidence en avance sur

angle. Mais comment ces évocations marquées par l’éloignement par rapport à notre monde permettent-elles de porter une réflexion critique sur la réalité qui nous entoure ? Pour tenter de le comprendre, nous allons, de prime abord, voir comment des mondes éloignés du notre peuvent nous dépayser, puis, dans une seconde partie, montrer que ce dépaysement stimule notre réflexion. Enfin, nous verrons que même si ce genre est efficace, il comporte tout de même certaines limites. Une des conditions

auteurs continuent à écrire selon l'esthétique du roman réaliste du XIXe siècle.On peut supposer que tous les Français sont un public potentiel mais ce public n'est plus homogène: l'impression d'abondance que donne la littérature n'est donc que la multiplication du nombre des auteurs destinés à satisfaire les goûts de ce public diversifié, et non le symptôme d'une richesse d'invention. Ce qui s'accroît surtout, c'est une littérature de divertissement pour un public de culture moyenne, littérature dont

d’arrivée de leur création. De même que le peintre rajoute à la nature sa propre vision par le dessin et les couleurs de même le dramaturge donne naissance à des personnages qui ont le pouvoir de faire réagir le public pour leur divertissement mais aussi pour une réflexion morale ou politique. Pensons à Shakespeare qui avec Hamlet, Othello et Macbeth brossent pour l’éternité les malheurs et les bonheurs de notre humaine condition. Ou encore Molière dont l’art théâtral cathartique par excellence voulait