Roman Instruire Ou Divertir

badinage, le naturel (ou négligence) et le divertissement leur ont fourni avant tout une certaine forme de liberté. Château des Rochers-Sévigné en Bretagne. Pendant la première moitié du xviie siècle, toute une littérature − en même temps que les romans-fleuves d’Honoré d'Urfé et de Mademoiselle de Scudéry − exalte ces traits propres à la noblesse et aux milieux mondains. L’influence vint principalement de l’Italie : le Livre du courtisan de Baldassare Castiglione, le Galatée ou la manière de

projections sont en 3D voir en 4D. Nous savons qu'ils sont très répandus dans le monde mais est-ce que la télévision et le cinéma sont-ils des instruments de culture ? Pouvons-nous nous contenté les regarder pour nous instruire ou devons-nous seulement les regarder pour nous divertir ? La télévision propose des centaines de chaînes qui sont toutes différente mais servent-elles à nous distraire ou à enrichir notre intellect ? Non seulement ce médium est accessible à presque tous, et de plus grâce

démonstrative de l'apologue : Elle tient d'abord à la brièveté et à l'aspect imagé du récit : celui-ci frappe le lecteur par sa valeur exemplaire. De plus, l'apologue implique un double niveau de lecture, qui correspond à sa double fonction : divertir et instruire. Au 1er degré, l'apologue propose une histoire généralement simple, ordinaire avec des personnages représentatifs d'une société. Ce récit est aussi à comprendre au 2nd degré et doit conduire le lecteur à interroger son sens : quelle en est

Dans l’allégorie, les personnages personnifient divers vertus et vices, permettant de donner un visage à des concepts abstraits. La plus grande de ces allégories est le Roman de la Rose, immense poème de 22 000 vers commencé par Guillaume de Lorris et complété 50 ans plus tard par Jean de Meung. Dissertation sur l’amour, le roman nous présente dans sa première partie un homme essayant de pénétrer dans un jardin clos, symbole de sa belle. La deuxième partie devient plus philosophique et disserte sur

personnage de théâtre, est aussi valable dans la vie réelle : « L’homme », dit-il, « souffre si profondément qu’il a dû inventer le rire ». Peut-on aborder les questions graves sur le mode humoristique ? L’artiste doit-il, comme le conseillait Molière, instruire en faisant rire ? Le parti pris de « rire de tout » n’a-t-il pas des limites ? I. L’humour rend plus réceptif aux sujets sérieux 1. Qu’est-ce qu’un sujet « grave » ou « sérieux » ? Que veut dire Nietzche quand il affirme que l’homme « souffre profondément » 

personnage fictif, possède aussi la capacité de dénoncer de manière habile, permettant au lecteur de ressentir un dépaysement total, attisant sa curiosité, et le surprendre. On peut aussi noter que la fiction peut être un outil de séduction : plaire et instruire. C’est ainsi que dans « Micromégas », Voltaire met en scène Micromégas, un habitant de la planète Syrius, ce dernier rencontre les habitants de la Terre. C’est par le biais de Micromégas, en d’autres termes, d’un extraterrestre que Voltaire va faire

et qu’il accepte dans le même temps les fantaisies les plus débridées. Introduction : Parmi les différents genres littéraires, le théâtre tient une place particulière. Le théâtre partage avec les autres genres littéraires comme la poésie, le roman, ou la nouvelle, le fait d’être un texte écrit. Néanmoins il s’en différencie nettement par des caractéristiques bien précises. En effet le théâtre est, généralement, écrit pour être lu, vu, et entendu par un ou plusieurs spectateurs. Cette présence

classicisme français. Enfin, de comprendre la place qui occupent Furetière et Sade dans ses respectives époques et actuellement dans la littérature française. Pour ce faire, nous étudierons La Philosophie dans le boudoir, « Eugénie de Franval » et Le Roman bourgeois. Le mot grec kanon signifie règle ou mesure et par conséquent correct ou autorisé. Tout au long de l’histoire de la littérature il y a eut des livres autorisés et interdits. Nous pouvons observer ceci á l’aide de diverses exemples historiques

Emile Faguet, L’art de lire * Avant-propos. Il y a un art de lire, à quoi sert cet art ? Dans quel but lit-on ? Trois possibilités : pour nous instruire, pour juger les ouvrages ou pour en jouir. Pour nous instruire : il faut alors lire lentement, se relire en notant tout ce qu’on apprend. Aucun plaisir. Pour juger des ouvrages : c'est-à-dire en critique. Il faut lire lentement, prendre des notes, faire des fiches d’où l’on tire des idées générales et des idées particulières qu’il faut

et le cerveau, de dégonfler la rate, de raccommoder la poitrine, de réparer le foie, de fortifier le cœur, de rétablir et conserver la chaleur naturelle, et d’avoir des secrets pour étendre la vie à de longues années ; il vous dit justement le roman de la médecine. Mais quand vous en venez à la vérité, et à l’expérience, vous ne trouvez rien de tout cela, et il en est comme de ces beaux songes, qui ne vous laissent au réveil que le déplaisir de les avoir crus. Argan.- C’est-à-dire, que toute