Ronronnement

dans la fable. _ allitérations en t « après qu’il eut brouté, trotté, fait tous ses tours », qui souligne le ridicule propre aux gens de la cour, et le sautillement du lapin, la gestuelle d’un courtisan Puis allitération en r « arbitre expert », ronronnement du chat mais aussi sonorité dure qui prévient le lecteur sur ce qu’il va arriver. _ nombreux enjambements, rejets et contre-rejets, ex : « s’empara » : rejet-enjambement qui met en valeur l’action, surprise, brutale _ « la Belette », « sans trompette

son corps est souple et musclé. Il est proche des grands félins comme le lion, la panthère et le tigre. Le chat miaule et il feule s’il veut attaquer son ennemi. Il peut ronronner. Il communique par ses postures, se miaulements et ses ronronnements. S’il chasse, ses oreilles sont dressées. S’il a peur, elles sont rabattues en arrière. Il lui faut une alimentation équilibrée. C’est un carnivore. Il boit peu. Il se lèche pour se nettoyer. Le chat d’intérieur, est privé de sa liberté. Il

« L’enfant ne bougea pas davantage ». La seule faille est l’ouverture de la fenêtre, par laquelle parviennent sensations visuelles et auditives. A ce monde fermé s’oppose celui de l’extérieur, représenté par le bruit de la vedette, dont « le ronronnement feutré du moteur s’entendit dans toute la ville » et qui est regardée par d’autres enfants : l’enfant l’entend aussi, ce que le narrateur souligne par cette remarque entre tirets: « seule sa mère le sut ». Ce bruit le relie aux autres enfants,

suis jeté a plat ventre. Très vite,le bruit s'est intensifié. Je me suis tassé contre le mur.Le mugissement couvrait maintenant le bruit des moteurs et le tonnerre de l'artillerie.Je me suis mis a trembler.Une explosion.Une accalmie.De nouveau le ronronnement des moteurs et des tirs d'artillerie.Pas un mur de démoli,rien,pas de poussière. Des crépitements. J’ai alors osé lever la tête. Des bombes incendiaires ! Ca brule partout ! Ai-je hurlé en me précipitant dans le local. » Ce paragraphe a lieu dans

français comme allemands ne se reposent pas, ou presque. Leurs nuits sont courtes et leur « couches » non confortables. Ils vivent un véritable enfer. Les explosions des obus, les cris plaintifs des blessés, les rafales des mitraillettes, les ronronnements des avions.. A aucun moment ils ne peuvent faire le vide dans leur tête, ou faire une « pause » dans cette vie morbide. Elle semble si monotone, mais elle demande tellement de courage et de force mentale. «  Pourquoi vis-tu donc, puisqu'il

style peuvent-elle susciter' la réflexion et dénoncer des travers humain. Dans mélancholia de Victor Hugo on peut repéré qu'il y a 3 allitérations en « m », « r » et « ch », ces sons peuvent nous faire penser aux bruits présents dans une usine, le ronronnement des machines, le martellement du métal, et autres bruits assourdissants. Ces sonorités peuvent rappeler le travail des ouvriers, alors qu'ici il est question d'enfants.Tout au long du poème Victor Hugo nous montre son indignation :ver n°1 « tous

cherché à faire en sorte de combattre l'inflation quitte à faire avec le chômage. Et une fois à l'€, on aurait du se remettre à combattre le chômage, quitte à laisser l'inflation s'envoler. Seulement, on est rentré dans une optique d'attente, de ronronnement économique. Et c'est pour ça qu'aujourd'hui le chômage est le fléau endémique de l'Europe entière. L'Euro est vraiment un bouclier pour qu'au moins on se protège des spéculateurs. Mais aujourd'hui, y'a plein de pays qui sont embêtés parce qu'ils

« Je ». « Oh ! Leila, j’ai déversé en toi mes rages et mes ambitions d’adolescente, mes efforts vains pour les refabriquer, la douleur inapaisable de mes études inachevées et puis mes joies de femme en sécurité, mes tendres fiertés de mère, le ronronnement douillet de la maison où j’ai écoulé de si nombreuses années de ma vie » (P : 268). Ainsi, par cette ouverture, la narratrice prend conscience de la situation et s’évertue à la changer afin de retrouver sa liberté. Le « Je » de Nadia se redéfinit

quelques mots, dits si bas que moi-même je ne peux pas croire qu’ils te soient adressés. Couchée, à peine couverte, offerte aux yeux de tous. Je voudrai te couvrir, cacher ta nudité, te protéger du froid comme des regards. J’aimerai étouffer le ronronnement sinistre des machines qui t’entourent par des concertos, des symphonies, pour te rappeller la douceur d’une vie échappée. Je voudrai que tes yeux s’ouvrent et que des larmes d’émotion coulent sur tes joues en découvrant les dessins de tes petites

pour pouvoir encore une fois tourner et retourner la situation dans sa tête. Si il achetait une voiture? Il n’aurait plus a prendre le bus! Finalement, ses paupières trop lourdes furent plus fortes aidées par l’obscurité régnant au dehors et le ronronnement apaisant du moteur, François s'endormit. Il fut réveillé quelques minutes plus tard par ce qu’il lui sembla être une lumière assez forte qu’il apparenta à celle émise par le soleil. Paniqué, il ouvrit brusquement les yeux. Il fut surpris de