Ronsard Chacun Qui Voit Ma Couleur

Baudelaire avec: “parfum éxotique” qui est un des rares poèmes romantiques dans le recueille “Les Fleurs du Mal “ où l´auteur veut exprimer ses sensation avec la nature , il fait une description d´une femme parfaite dans un monde utopique. Puis Pierre de Ronsard avec “Mignionne” qui fait une comparaison entre la rose et la femme dans un spectacle naturel en mettant en oeuvre des images gracieuses et évocatrices pour seduire. Ou encore Charles Cros avec :”Romance” dans lequel il exprime sa tristesse et son

l’homme dans l’univers. C’est ainsi que les thèmes de l’instabilité, de la métamorphose, de l’illusion, du paraître et de la mort sont omniprésents dans la poésie baroque. On peut citer Marbeuf, Viau et Saint-Amant mais bon nombre d’auteurs comme Ronsard, Corneille, La Fontaine ont pu rejoindre cette esthétique baroque. - Vers le milieu du siècle, la préciosité se développe. Développée dans les salons féminins, elle reprend les . C’est une poésie extrêmement raffinée. Voiture se démarque par ses

sommeil, que céleste on doit croire, Plus doux que miel, coulait aux yeux lassés, Lors que d'amour les plaisirs amassés Entrent en moi par la porte d'ivoire1. J'avais lié2 ce col de marbre, voire Ce sein d'albâtre3, en mes bras enlacés, Non moins qu'on voit les ormes embrassés Du cep lascif, au fécond bord de Loire. 5 Amour avait en mes lasses moelles 10 Dardé le trait de ses flammes cruelles, Et l'âme errait par ces lèvres de roses, Prête d'aller au fleuve oublieux4 (oblivieux), Quand le réveil

incompris, je le trouvais drôle. -Mignone de Pierre Ronsard : Ce texte est une ode et c’est cet auteur qui l’introduisit dans la littérature française voulant sûrement faire quelque chose d’un nouveau genre. -Comme on voit la branche de Pierre Ronsard : Ce texte est un sonnet du 16e siècle. Ce genre a été principalement utilisé par l’auteur ainsi que quelques autres humanistes de la même époque. -Quand vous serez bien vieille de Pierre Ronsard : Ce texte est un autre sonnet de l’auteur. J’ai trouvé

l’interdiction qui lui en avait été faite et Eurydice disparut à jamais. On attribuait à Orphée l’invention de la lyre (3), des rituels divinatoires et magiques. Orphée est le premier des poètes. Ses pouvoirs magiques symbolisent ceux de la poésie. On voit, à travers cette légende, que la poésie et l’amour peuvent vaincre la mort mais que cette victoire est bien fragile. Enfin la descente aux Enfers figure la transgression des interdits, la rencontre avec l’invisible et annonce le poète prophète ou «

et la violence, l’apocalypse et des remises en questions…j’en passe et j’en oublie. C’est un monde où le corps côtoie l’amour et la haine, où l’esprit se heurte à l’incompréhension et à la réflexion, où Apollinaire rencontre Rimbaud pendant que Ronsard fait la connaissance de Baudelaire. De la souffrance, lisible sur le visage des soldats partant au front, décrite par Guillaume Apollinaire dans son poème intitulé « Départ » en passant par « La complainte d’un

mort, sentira ses fureurs, Les Soleils hâleront ces journalières fleurs, Et le temps crèvera cette ampoule venteuse. Ce beau flambeau qui lance une flamme fumeuse, Sur le vert de la cire éteindra ses ardeurs, L’huile de ce Tableau ternira ses couleurs, Et les flots se rompront à la rive écumeuse. J’ai vu ces clairs éclairs passer devant mes yeux, Et le tonnerre encor qui gronde dans les Cieux, Où d’une ou d’autre part éclatera l’orage, J’ai vu fondre la neige et ses torrents tarir, Ces

.................................................................................................p9 La ballade des pendus ,François Villon ............................................................p10 Mignonne, allons voir si la rose, Pierre Ronsard ( mon poème préfère )..........p12 « Heureux qui comme Ulysse.. », de Joachim Du Bellay.................................p14 Le Front de Maurice Scève ...............................................................................p16 Consolation

« Promenade à seize ans » raconte une promenade dans les bois avec une jeune femme. En 1555, Ronsard s'éprend d'une jeune paysanne qui le fera renoncer à Cassandre. Il composera des poèmes érotiques simples et clairs, pour sa nouvelle maîtresse, Marie Dupin, dont « Vu que tu es plus blanche » qui est également une chanson. Dans le sonnet « Te regardant assise auprès de ta cousine », Ronsard évoque son amour pour Hélène de Surgeres, un amour qui n'est pas réciproque. Il a écrit plusieurs

les hommes sur un pied d’égalité et qui les réunit à une même fin sans échappatoire possible : si une chose ne peut être remis en cause c’est que tout Homme mourra tôt ou tard. Cette fatalité en effraye certains, d’autres essayent de la braver, mais chacun y sera confrontés. On meurt, c’est une certitude. Mais après ? Des auteurs se sont penchés sur la question, et leur point de vue diffère selon les âges, la religion et les époques. La poésie Lyrique, comme le faisait Orphée en chantant