Ronsard Et Petrarque

européen. Le terme « humanisme » vient du latin « Umanista » qui veut dire le professeur qui enseigne les humanités ( grammaire et rhétorique latines et grecques). Ce courant prit naissance en Italie au XIVème siècle avec des auteurs comme Pétrarque. Il prospéra partout en Europe et en France .C'est un retour à la pureté classique. En France, les débuts de l'humanisme furent marqués par le philosophe Jean de GERSON et ses amis du Collège de Navarre. L'humanisme met en avant la raison qui

petite Jehanne de France, 1913 qui va témoigner de son voyage en train durant la guerre russo-japonaise. Ce poème est en vers libres. L'apprentissage auprès de quelqu'un de qualifié qui va permettre de dépasser un modèle comme Ronsard qui a repris le sonnet utilisé par Pétrarque, tournant le dos aux ballades. 2) Xxè siècle. Révolutions industrielles Bouleversements politiques --> Un vent de liberté souffle sur la poésie Naissance du poème en prose: surtout Baudelaire & Rimbaud (Rimbaud qui avait

XVIe siècle rassemblés autour de Pierre de Ronsard et Joachim du Bellay. Ce mouvement littéraire est d’abord nommé la « Brigade »[1]. Le souci majeur de la Brigade, élevée sous l'égide de l'helléniste Jean Dorat, est de faire reculer le « Monstre Ignorance » par la diffusion de la culture antique. Le nom de « Pléiade » est emprunté à sept autres poètes d’Alexandrie qui avaient choisi, au IIIe siècle, le nom de cette constellation pour se désigner. Outre Ronsard, la Pléiade regroupe Joachim du Bellay

Rabelais (1494-1553) Ronsard (1524-1585) Joachim du Bellay (1522-1560) 2) Un nouveau mouvement : l'humanisme L'humanisme est un mouvement de pensée qui fit son apparition durant la renaissance (voir plus haut), il se caractérise par un retour aux textes antiques comme modèle de vie, d'écriture et de pensée. Ce mouvement enseigne les langues, la littérature et les cultures latines et grecques. L'origine de ce mouvement est Italien, en effet c'est avec Pétrarque (1304-1374) que naît l'humanisme

utilise le texte pour célébrer une personne. Cela peut être une femme pour gagner ses faveurs, ou bien un personnage puissant pour obtenir sa protection. La célébration de la femme aimée en poésie connaît son essor grâce à Pétrarque (Italie, XVè), repris en France par Ronsard dans des recueils comme Les Amours. L’Illiade et L’Odyssée, Homère. Le blason permet de célébrer une partie du corps de l’aimée. « La courbe de tes yeux », Eluard "La chevelure", Baudelaire Pour Horace (Ier siècle av. JLa

Joachim du Bellay naît à Liré, en Anjou, en 1522. Son enfance, dans la bourgeoisie (son cousin est comte du Piémont) se passe heureusement, au contact de la nature. C'est à la faculté de droit de Poitiers que du Bellay rencontre Pierre de Ronsard, qu'il suit au collège de Coqueret. C'est là, sous l'influence de son professeur de grec, Jean Dorat, qu'ils décident de former un groupe de poètes appelé la Pléiade. Jacques Pelletier du Mans les accompagne dans leur choix du français. Du Bellay écrit alors

par laquelle il se caractérise = image de personnage triste. Frère aîné qui le néglige Fait des étude de droit à Poitiers= lieu où rencontre des écrivains en 1546 : Peletier du Mans rencontre (théoricien langue fr)en 47 Ronsard dont pense qu'a déterminé sa vocation poétique Ronsard et lui forme premier noyau de la Pléiade (d'abord appelés la Brigade) (issue constellation de 7 étoiles // idée de Platon selon laquelle chacun en rapport avec un astre) 1549 : première publication :

Joachim du Bellay naît à Liré, en Anjou, en 1522 . Il appartient à la branche aînée des Du Bellay, une famille noble et illustre. Il fait ses études de droit à Poitiers. Il rencontre Pierre de Ronsard, qu'il suit au collège de Coqueret. C'est là, sous l'influence de son professeur de grec, Jean Dorat, qu'ils décident de former un groupe de poètes appelé d'abord la Brigade, puis la Pléiade. Jacques Peletier du Mans les accompagne dans leur choix du français. Du Bellay publie alors un manifeste : Défense

Ronsard, Les Amours, 1552, « Elégie à Cassandre » (extrait) Mon œil, mon cœur, ma Cassandre, ma vie, Hé ! Qu’à bon droit tu dois porter d’envie A ce grand Roi qui ne veut plus souffrir Qu’à mes chansons ton nom vienne s’offrir. C’est lui qui veut qu’en trompette j’échange Mon luth, afin d’entonner sa louange, Non de lui seul mais de tous ses aïeux, Qui sont là-haut assis au rang des Dieux. Je le ferai puisqu’il me le commande, Car d’un tel Roi la puissance est si grande, Que tant s’en

son inspiration) : poète capable d’enchanter le monde par le lyrisme mais aussi l’ analogie entre microcosme et macrocosme. Montrer aussi dans le recueil que les images récurrentes de la Rose et du Cœur sont dans la pure tradition lyrique (Pétrarque puis Ronsard). Thèmes de l’étoile, et des astres porteurs de toute une symbolique qui reprend les thèmes évoqués Recueil qui permet d’aborder l’esthétique d’Apollinaire et d’en retrouver les grandes lignes : « Apollinaire n’est pas un théoricien, encore