Ronsard O Ronsard

Anthologie poétique : La fuite du temps Sommaire Préface………………………………………………………………………………… p 3-4 « Arrivé dedans Rome… » …………………………………………………………….. p 5 Jacques Grévin Sonnet à Marie…………………………………………………………………………. p 6 Pierre de Ronsard « Assieds-toi sur le bord… » ………………………………………………………….. p 7 Jean-Baptiste Chassignet « Hélas ! Qu’est ce de l’homme orgueilleux… » ……………………………… p 8 Jean Auvray A mes amis……………………………………………………………………………… p 9 Evariste de Parny Le ballet des

mourons d’être ainsi languides, presque infâmes !Armes, parlez ! Vos ordres vont être pour nousLa vie enfin fleurie au bout, s’il faut, des lames. La mort que nous aimons, que nous eûmes toujoursPour but de ce chemin où prospèrent la ronceEt l’ortie, ô la mort sans plus ces émois lourds,Délicieuse et dont la victoire est l’annonce ! Paul Verlaine Un groupe tout à l’heure… Un groupe tout à l’heure était là sur la grève,Regardant quelque chose à terre. - Un chien qui crève !M’ont crié des enfants

je mourais là-bas... » de 'Poèmes à Lou' (XXe siècle) dont l'auteur est Guillaume Apollinaire et « Je n'ai plus que les os... » de Pierre de Ronsard du recueil 'Derniers vers' (XVIe siècle). Hugo, Apollinaire et Ronsard traitent tous trois le thème de la mort. Victor.H met en évidence la disparition tragique de sa fille morte noyée, tant dis ce que Ronsard et Appolinaire parlent de leurs propre mort. Guillaume a fait l'expérience du front pendant la première guerre mondiale et Pierre traite sa propre

[pic] [pic]hants d’Amour et de Révolte [pic]evoir sur la poésie lyrique [pic] Ô Fontaine Bellerie Ô Fontaine Bellerie, Belle fontaine chérie De nos Nymphes, quand ton eau Les cache au creux de ta source, Fuyantes le Satyreau, Qui les pourchasse à la course Jusqu'au bord de ton ruisseau, Tu es la Nymphe éternelle De ma terre paternelle : Pource en ce pré verdelet Vois ton Poète qui t'orne D'un petit chevreau de lait, A qui l'une et l'autre corne Sortent du front nouvelet

siècles avec des orientations différentes selon les époques, les civilisations, les aires culturelles et les individus. (Poète lyrique, le poète engagé …) XVIème siècle Pierre de Ronsard : (1524-1585)  Pierre de Ronsard est une figure majeure de la littérature poétique de la Renaissance. Imitant les auteurs antiques, Ronsard emploie d'abord les formes de l'ode (Mignonne, allons voir si la rose 1545) et de l'hymne, considérées comme des formes majeures, mais il utilisera de plus en plus le sonnet transplanté

Nous étudierons les poèmes suivant de manière chronologique, c’est à dire du XVIème jusqu’au XXème siècle. Nous débuterons donc par le poème « Les amours » du célèbre recueil « Les Amours de Cassandre » écrit en 1552 par Pierre de Ronsard. Dans un second temps nous étudierons « Le belle d’Esclave Maure » de François-Tristan L’Hermite. De plus nous évoquerons « L’automne » de Théodore de Banville écrit au XIIIème siècle. Ensuite nous analyserons « élévation » célèbre poème faisant partie

dans au moins cinq ou six foyers de civilisation. Le premier texte a été écrit par un des pères de l’église latine : Augustin D’Hippone (354-430). Les Confessions est une œuvre autobiographique de Saint Augustin, écrite entre 397 et 398. Pierre de Ronsard (1524-1585) est l’auteur des Discours des Misères de ce temps (1562), cet adepte de l’épicurisme est une figure majeure de la littérature poétique de la Renaissance. Jacques le Fataliste, a été écrit par Denis Diderot (1713-1784) entre 1778 et 1780

Document complémentaires : La pléiade 1. Odes, Horace, I, 12 « à Leuconoé » (-22) Horace explique le « carpe diem », Ronsard reprend les paroles d’Horace qui dit de profiter du temps présent tout en restant sage, en ne se lançant pas dans des excès en tous genres ; référence à l’épicurisme qu’on retrouve chez les poètes du XVIème. 2. Ode à Cassandre, Odes, Pierre de Ronsard, 1552 et le poème « Heureux qui comme Ulysse », Du Bellay, Les regrets, 1558 Du Bellay : v.1 : Référence à Ulysse

recueil Amours de Méline,publié en 1552. Fils de Lazare de Baïf, Jean-Antoine de Baïf, ami de Pierre de Ronsard et membre de la Pléiade, se distingue comme le principal artisan de l'introduction, en France, d'une versification quantitative mesurée, calquée sur la poésie de l'Antiquité gréco-latine. Sa production poétique est très importante, mais il n’a jamais connu un succès comparable à celui de Ronsard. Il a donné Les Amours (1552 et 1558) ;Les Météores, où il s’inspire des Géorgiques de Virgile

Mais son onde s'enfuit de mon âme enflammée. Toujours devant les yeux lui revient le penser Des beautés dont Amour rend sa force établie, Soit veillant, soit dormant, j'y rêve sans cesser, Et de les oublier seulement je m'oublie Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Second livre des Amours) Je ne suis seulement amoureux de Marie Je ne suis seulement amoureux de Marie, Anne me tient aussi dans les liens d'Amour, Ore l'une me plaît, ore l'autre à son tour : Ainsi Tibulle aimait