Royaume de Croatie-Slavonie

d'observation des Nations unies en El Salvador Salvador Juillet 1991 Avril 1995 MIPRENUC Mission préparatoire des Nations unies au Cambodge Cambodge Octobre 1991 Mars 1992 FORPRONU Force de protection des Nations unies Bosnie-Herzégovine, Croatie, République fédérale de Yougoslavie (Serbie et Monténégro) et ex-République yougoslave de Macédoine Février 1992 Décembre 1995 APRONUC Autorité provisoire des Nations unies au Cambodge Cambodge Mars 1992 Septembre 1993 ONUSOM I Première

dans la dernière curie ». PAGE 609 DU BERANGER. La constitution autrichienne de 1867 , «les lois de décembre 1867 » : conséquence inévitable du compromis austro-hongrois s’applique aux provinces qui, dans l’Autriche-Hongrie, ne font pas partie du royaume de Hongrie, donc à la CISLEITHANIE. Elle dote enfin l’Autriche d’un régime libéral. Elle proclame l’égalité des droits des groupes ethniques, mais sans définir clairement ces derniers ni la façon de les reconnaître, ce qui entraînera de grosses difficultés

La Croatie : 1991 - 2009, l’apprentissage de la maturité ou la transition d’une économie planifiée vers une économie de marché C. Pitault Novembre 2009 Dossier Pays SOMMAIRE LA CROATIE EN QUELQUES DONNEES ………………………………………………………….page 3 INTRODUCTION................................................................................................page 4 PARTIE 1 : D’UNE ECONOMIE PLANIFIEE A UNE ECONOMIE DE MARCHE ………………………………………………………………………….page 5 I/ LE COMMERCE EXTERIEUR COMME SOURCE DU CHANGEMENT


nous
déplions
les
cartes
d’Europe
et
 là,
voilà,
les
Balkans
s’étalent
devant
nous
!
 Les
noms
prennent
enfin
une
place
sur
la
carte
:
Macédoine
connue
pour
sa
…
ben
non
…
 pas
connue
en
fait
!
Serbie
dont
on
ne
sait
pas
trop
ce
qu’il
faut
penser.
Croatie
la
bien
 touristique.
Slovénie
l’européenne.
Bosnie
dont
on
ne
sait
plus
si
la
guerre
continue.
 Albanie,
la
mystérieuse.
Monténégro
au
nom
rigolo.
Et
la

Grèce…
eh
oui…
la
Grèce
dans
 les
Balkans,
qui
l’eût
dit.
Pas
nous
!
 Un
premier
trajet

Prevlaka en Croatie et éviter une invasion étrangère de la zone. | |1996-1998 |Administration transitoire des Nations unies pour la Slavonie orientale, la Baranja et le Srem occidental (Atnuso) | | |chargée de gouverner la région pendant une période de transition jusqu'en janvier 1998. De janvier à octobre 1998, le | | |Groupe d'appui des Nations unies composé de contrôleurs de la police civile en Croatie veille au retour

parlé en Galicie occidentale, villes de Galicie orientale et Silésie. - L’Ukrainien et le Rusyn sont parlés en Marmatie, Galicie orientale et Nord de la Bucovine. - Le Serbe, Croate et Bosniaque sont parlés dans l’est de l’Istrie, en Dalmatie, Croatie-Slavonie, Bačka, Bosnie-Herzégovine et Banat. - Le Slovène est parlé dans le sud de la Styrie, Carniole, au nord de l’Istrie, Trieste et Fiume. - Le Roumain est parlé dans l’Est de la Hongrie, Banat, Transylvanie, Marmatie et Bucovine. 4 - L’Italien

napoléonienne de 1815, le Congrès de Vienne qui s'en est suivi en 1815 et l'indépendance belge de 1830 entraînant la France et l'Angleterre à se porter garantes de celle-ci. Des malentendus diplomatiques s'ensuivirent, l'Allemagne croyant notamment que le Royaume-Uni resterait neutre devant l'invasion de la Belgique7,8. Le climat de tension régnant avait poussé les grandes puissances européennes à une course aux armements, et chaque état-major s'était activement préparé au conflit. L'attentat de Sarajevo va

qui sont dans l’optique de rester loyales à l’Empereur s’il est juste et respectueux envers elles. L’Autriche-Hongrie doit affronter les stratégies des nationalistes, qui trouvent de nouveaux leaders dynamiques, Pilsudski pour la Pologne, Radic en Croatie, et surtout en Bohême avec les tchèques Masaryk et Kramar. Ce problème est gangréné par la politique extérieure et diplomatique de l’Empire et des événements cruciaux. La marche vers la guerre se dessine dans le tumulte des ambitions territoriales

déformation du mot latin slavus (le slave). Le mot «esclave» serait apparu au Haut Moyen Âge à Venise, où la plupart des esclaves étaient des Slaves des Balkans,«une région qui s'appelait autrefois «Esclavonie», puis Slavonie, et qui est récemment devenue indépendante, sous le nom de «Croatie».Rome pratiquant l'esclavage, comme tous les peuples antiques, le latin disposait évidemment d'un terme pour désigner l'esclave: servus, qui a conduit aux termes «servile» et «servilité», relatifs à l'esclave et

gouvernements des autres grandes puissances ont été plus lents à réagir. La France a attendu plus d’une semaine pour faire un commentaire sur l’existence des camps et, alors que Londres organisait une importante conférence diplomatique à la fin août, le Royaume-Uni a refusé d’offrir un billet d’avion à Tadeusz Mazowiecki, l’ancien premier ministre polonais, nommé par les Nations Unies rapporteur spécial sur les droits de l’homme et chargé d’examiner les accusations d’atrocités commises en Bosnie, pour lui