Rubéole

persistent, la méthode d'immunofluorescence permet de mettre en évidence ou non la présence du virus susceptible de se développer dans les cellules du pharynx ou celles contenues dans les urines après culture. La rougeole peut être confondue avec la rubéole, la scarlatine, la roséole infantile, la mononucléose infectieuse ou encore une éruption d'origine médicamenteuse (exanthème morbilliforme) Complications Les formes les plus sévères de la rougeole apparaissent chez le jeune enfant souffrant de malnutrition

enceinte contracte le virus de la rubéole. Elle informe son médecin qu'elle ne souhaiterais pas poursuivre sa grossesse si il s'avérait que l'enfant avait été, lui aussi, infesté par le virus. Des examens de sang ont été faits, et ni le laboratoire d'analyse ni le médecin n'ont décelé de traces du virus sur l'enfant. La mère de celui-ci n'a donc pas interrompu sa grossesse, et a mis au monde un enfant, qui est alors né lourdement handicapé des séquelles de la rubéole qu'il avait finalement contracté

contracté la rubéole. Son médecin l'informe des risques qui pèseraient sur son fœtus. Elle opte en cas de contamination, pour une interruption volontaire ou médicale de grossesse et communique sa décision au médecin. Les examens sanguins opérés par un laboratoire infirment d'abord la présence de la rubéole dans son sang, une seconde batterie de tests montrent la présence d'anticorps contre la rubéole. Le médecin adopte l'idée que les anticorps seraient dus à une contamination antérieure de la rubéole et nie

.................................................................................................. 4-2) L'hépatite B....................................................................................................................... 4-3) La rubéole....................................................................................................................... 4-4) La toxoplasmose..........................................................................................................

son préjudice. En effet , dans cette arrêt Une femme enceinte, Mme X. est atteinte de la rubéole, hors le médecin n'a pas diagnostiqué la maladie et le laboratoire médical chargé d'effectuer un test de dépistage a commis une erreur d'analyse donnant à penser que la femme était immunisée contre cette maladie. Ainsi, celle-ci a mis au monde un enfant qui présentait des troubles graves consécutifs à une rubéole contractée pendant sa vie intra-utérine. L'affaire est portée devant la Cour de cassation

Module 4.2 Le système lymphatiqueLa défense de l’organismeLe système immunitaire est responsable de la défense de l’organisme contre les maladies. Il inclut les globules blancs qui se trouvent dans le sang, la rate, le thymus, la moelle osseuse et l’ensemble du système lymphatique.Le système lymphatique fait donc partie du système immunitaire.Les infectionsUn agent pathogène entre dans l’organisme et s’installe généralement dans les tissus. Souvent, l’infection reste dans la région où l’agent pathogène

{text:soft-page-break} {text:list-item} Le virus est une particule microscopique infectieuse possédant un seul type d'acide nucléique (ADN ou ARN) qui ne peut se répliquer qu'en pénétrant dans une cellule et en utilisant sa machinerie cellulaire. La rubéole est une maladie virale, fréquente et bénigne pour l'enfant. La contamination dure une quinzaine de jours, après celle–ci, l'enfant a une légère fièvre, des maux de gorge, des courbatures et une éruption de petits boutons rouges sur le visage, le

rétrovirus, VRS, oreillons, rougeole, rubéole, grippes …) Il a le mode de transmission indirect : pour les virus qui peuvent persister plus longtemps hors des cellules dans les eaux usées, les rivieres, les piscines …) B. Voies de pénétration du virus 1) Tractus respiratoire +++ 2 Ce sont des virus qui restent localisés comme les grippes, l’adénovirus. Puis il y en a d’autres qui sont localisées mais qui finissent par se généralisé (oreillons, rougeole, rubéole) 2) Tractus digestif Principalement

mère atteint de la rubéole est allée voir un médecin pour voir si son enfant pouvait être atteint de maladie à la suite de ce virus. Médecin lui dit qu’elle est immunisée contre cette maladie. Procédure : cour d’appel de paris a jugé donne raison au labo Prétention : le fait que labo ait dit que l’enfant ne risqué rien a amené la mère à ne pas avorter, alors qu’en réalité elle le voulait si elle était atteint de la rubéole, ce qui été en réalité le cas. Seul cause la rubéole et non faute du

d’appel de Montpellier et renvoie les deux parties devant la cour d’appel de Nîmes. Doc. n°6: Civ.1, 26 mars 1996 M. Y médecin de la famille X a constaté le 17 avril 1982 sur l’enfant du couple âgé de 4 ans une éruption cutanée évoquant la rubéole . Le 10 mai 1982 , il a relevé sur Mme X une éruption semblable et lui a prescrit la recherche d’anticorps anti rubéoleux d’autant que sa maladie lui précisait qu’elle était peut- être enceinte. Le 12 mai 1982 , le prélèvement effectué était négatif