Rue de La Michodière

importants : Le livre traite de l' apparition des grands magasins à Paris, de l'emprise qu'ils ont sur les petits commerçants et de leurs employés. L' histoire se déroule au 19ème siècle dans un très grand magasin parisien placé entre la rue de la "michodière" et la rue "Neuve saint augustin ". Le narrateur est une personne externe au récit. Son point de vue est omniscient. Les personnages : Denise Baudu : C'est une jeune fille très sentimentale, très expressives, elle est patiente et généreuse. Elle

elle doit donner envie au lecteur de lire le livre. 2°) a) Où se déroule ce récit ? Le récit se déroule à Paris. b) Relevez 3 indications de lieu précises dans le texte. (2 points) Je relève 3 indications de lieu dans le texte : « la rue de la Michodière », « rue Neuve-Saint-Augustin » et « Saint Roch » 3°) A quelle époque de l'année situez-vous cette étape ? (0,5) On peut situer le roman en octobre, donc en automne. 4°) a) Quel est le point de vue de la narration ? Le point de vue est omniscient

multiplie les indices de lieu. Ainsi, l'incipit de BelAmi nous indique que G. Duroy descend la « rue Notre-Dame-de-Lorette » (l. 18), et Zola quant à lui fait référence à la « rue des Orfèvres » (l. 4) dans Le rêve : ces deux rues étant des rues de Paris.Denise et ses frères arrivent pour leur part à « la gare Saint-Lazare » (l. 1), gare parisienne bien connue, et cherchent la « rue Michodière » (l. 5) qui est une rue existant à Paris. D'autre partnos auteurs utilisent également nombre d'indices temporels

sur la dure banquette d’un wagon de troisième classe. Elle tenait par la main Pépé, et Jean la suivait, tous les trois brisés du voyage, effarés et perdus, au milieu du vaste Paris, le nez levé sur les maisons, demandant à chaque carrefour la rue de la Michodière, dans laquelle leur oncle Baudu demeurait. Mais, comme elle débouchait enfin sur la place Gaillon, la jeune fille s’arrêta net de surprise. — Oh ! dit-elle, regarde un peu, Jean ! Et ils restèrent plantés, serrés les uns contre les autres

constate la présence d'un cadre spatio-temporel réaliste quinous indique dès le début du roman où se déroule l'histoire : ''Denise était venue à pied de la gare Saint-Lazare'', donc plus précisément au centre de Paris et aux alentours de la ''rue de la Michodière''. En effet tout ces lieux sont liés à la réalité, comme l'indique l'évocation de la ville de ''Paris'' dans les premières pages.Par ailleurs on peut déterminer l'époque à laquelle se déroule l'histoire grâce à certains indices, comme par exemple

il lui explique qu’il n’est rien ; malheureusement, ses affaires périclitent. La boutique de draps et de flanelles souffre de la concurrence du grand magasin : « Au Bonheur des Dames », dirigé par Octave Mouret, « à l’encoignure de la rue de la Michodière et de la rue neuve Saint-Augustin, un magasin de nouveautés dont les étalages éclataient en notes vives, dans la douce et pâle journée d’Octobre. » Les agrandissements successifs du « Bonheur des Dames » sont responsables des difficultés croissantes

roman entraîne le lecteur dans le monde des grands magasins, l’une des innovations du Second Empire. L’histoire se déroule dans plusieurs lieux précis & réellement connus comme : « La gare St Lazare » la ville de  « Cherbourg », « La rue Michodière », « La rue Neuve-Saint-Augustin », « Saint-Roch » Il situe aussi un cadre temporel imprécis, mais réaliste « […] après une nuit passée sur la dure banquette d’un wagon de troisième classe. ». L’auteur ouvre son histoire avec un enchainement de nom

bonheur des dames paru en 1883 fait partie de la série Les Rougons-Macquart. 3. A. Dès le début, on nous donne beaucoup d’informations sur le lieu, l’époque et le moment ou ça se passe. On sait que cela se passe à « l’encoignure de la rue Michodière et de la rue Neuve-saint-Augustin », donc dans le IIe arrondissement de Paris. Il est huit heures au moment du récit « Huit heure sonnaient à Saint-Roch ». Le narrateur nous décrit le lieu comme un lieu magnifique, un grand magasin plein de vêtements

sur la dure banquette d'un wagon de troisième classe. Elle tenait par la main Pépé, et Jean la suivait, tous les trois brisés du voyage, effarés et perdus au milieu du vaste Paris, le nez levé sur les maisons, demandant à chaque carrefour la rue de la Michodière, dans laquelle leur oncle demeurait.» Denise Baudu, jeune fille orpheline âgée de vingt ans, arrive à Paris avec ses deux frères cadets, Jean et Pépé, suite au décès de leur père, les laissant ainsi orphelins. Là, ils retrouvent leur oncle

chronologie détaillé précise les dates et les durées (texte 2 : L.7 et 9 puis texte trois : L.1. Un plan des rues se dessine également avec toutes les indication spatiales données : « prolongement de la rue réaumur », « la rue du dix-décembre devait couper la ru de choiseul et la rue de la michodiére ». L'auteur révèle également les enjeux politique et financier du projet en évoquant « la derniére réunion générale du crédit immobilier » ou les décision de la préfecture. =>L'ésthétique naturaliste