Rue de La Michodière

à l’aide des photos mises à votre disposition. Illustrez chacune d’elles à l’aide d’extraits appropriés. | Dépliant du Bonheur des Dames en annexe. Vue générale du Bonheur des Dames : « C’était, à l’encoignure de la rue de la Michodière et de la rue Neuve-Saint-Augustin, un magasin de nouveautés dont les étalages éclataient en notes vives, dans la douce et pâle journée d’octobre. Huit heures sonnaient à Saint-Roch, il n’y avait sur le trottoir que le Paris matinal, les employés filant

l’encoignure de la rue de la Michodière et de la rue Neuve-Saint-Augustin, un magasin de nouveautés dont les étalages éclataient en notes vives, dans la douce et pâle journée d’octobre. Huit heures sonnaient à Saint-Roch, il n’y avait sur les trottoirs que le Paris matinal, les employés filant à leurs bureaux et les ménagères courant les boutiques. Devant la porte, deux commis, montés sur une échelle double, finissaient de pendre des lainages, tandis que, dans une vitrine de la rue Neuve-Saint-Augustin

constate la présence d'un cadre spatio-temporel réaliste qui nous indique dès le début du roman où se déroule l'histoire : ''Denise était venue à pied de la gare Saint-Lazare'', donc plus précisément au centre de Paris et aux alentours de la ''rue de la Michodière''. En effet tout ces lieux sont liés à la réalité, comme l'indique l'évocation de la ville de ''Paris'' dans les premières pages. Par ailleurs on peut déterminer l'époque à laquelle se déroule l'histoire grâce à certains indices, comme par

Denise Baudu, jeune normande de 20 ans originaire de Valognes, arrive a paris avec son frère jean âgé de 16 ans et son frère pépé âgé de seulement 5 ans. Ils sont tous les trois perdu et demande leurs chemin a chaque carrefour pour trouver la rue Michodière dans laquelle son oncle Baudu réside. Denise et ses frères sont montée a Paris car leur père, qui tenait une teinturerie, vient de décéder a cause d’une maladie qui a aussi tué leur mère un an plus tôt. En arrivant a Paris, quand ils cherchaient

pourrait l'aider à financer les agrandissements de son magasin. En effet le Crédit Immobilier veut faire construire la rue du Dix-Décembre qui passerait devant le « Bonheur ». Mouret voudrait donc s'associer avec lui pour faire du « Bonheur » le plus vaste magasin de Paris qui serait entouré par la rue du Dix-Décembre, la rue Michodière, la rue de Choiseul, la rue Neuve-Saint-Augustin et la rue Monsigny. Grâce à Mouret, qui a remarquée Denise malgré ses allures de paysanne, la jeune femme est engagée par

n'existe pas de pays nommé Vestphalie dans lequel Voltaire fait évoluer Candide. De même, si au premier abord le cadre semble réel, comme la France, ou encore Paris, il n'existe pourtant dans cette ville aucun grand magasin à l'angle de la rue Michodière et de la rue Neuve Saint-Augustin, comme Zola le décrit dans Au Bonheur des Dames. De même que le lieu du récit, les personnages que peint l'auteur d'une nouvelle ou d'un roman sont eux aussi fictifs. Cependant, il arrive que l'écrivain s'inspire de

bonheur des Dames Chapitre 1 : Les trois détails qui montrent l’importance du Bonheur des Dames, l’idée général sont le volume du magasin qui est grande ex dans la page 8 1er exemple : « Puis les vitrines enfonçaient, longeaient la rue de la Michodière et la rue Neuve-Saint-Augustin ; où elles occupaient , outre la maison triangle , quatre autres maisons , deux à gauche , deux à droite , achetées et aménagées récemment »  Ensuite, la variété des objets présent dans le magasin : 2ème exemple

déroule dans un cadre urbain, à « Paris » (l.6) et plus précisément « Au Bonheur des Dames » (l.46). Dans l’extrait, l’auteur nous indique les lieux où passent Denise, Jean et Pépé (« Gare saint-Lazare » l.1, « Place Gaillon » l9, « rue de la Michodière » l.31, « rue Neuve-Sainte-Augustin » l.22,…). Cela se passe en « octobre » (l.24), probablement avant 1956 car le train est un moyen de transport assez courant mais la troisième classe existe encore (suppression en 1956) et à la fin du XIXème siècle

En octobre 1864, le " Bonheur des Dames " étale ses vitrines le long des rues de la Michodière et Neuve-Saint-Augustin. Il possède 19 rayons, emploie 403 employés, fait 8 millions de chiffre d'affaires (p. 71). En 1866, il a 28 rayons et emploie 1000 employés, fait 40 millions de chiffre d'affaires. En 1869, c'est un grand magasin qui a dévoré tout le pâté de maisons. Il ouvre sa nouvelle façade sur la rue du Dix-Décembre, a 50 rayons, emploie 3045 employés, atteint près de 100 millions de chiffre

beaucoup de personnages et l’un d’entre eux (Denise) poursuit sa quête autour de laquelle se définissent des adjuvants (Pauline, Deloche…) et des opposants (les vendeuses, Hutin…). C’est aussi un roman réaliste car nous avons des lieux réalistes (la rue Michodière, la gare Saint-Lazare…), des temps réalistes (un lundi de février 1869, début octobre 1884…), des personnages réalistes (Denise, Octave Mouret, Mme Aurélie…), et une intrigue réaliste (Denise qui va travailler dur pour accomplir une ascension