Rue des Francs-Bourgeois

M. Gillenormand Véritable classique de la littérature française, Les Misérables est un roman écrit dans les années 1830 par Victor Hugo. Cette œuvre décrit l’instabilité politique de la France après la Révolution, entre 1815 et 1832, tout en décrivant la société de l’époque. Nous retrouvons ainsi des personnages devenus familiers du grand public comme Jean Valjean, Cosette, Marius, Javert ou les méchants Thénardier, reconnaissons des lieux bien réels, Paris, de même que des événements historiques

de « Troupe de Monsieur ». Sa carrière d'auteur dramatique commence vraiment avec Les Précieuses ridicules qui remporte un grand succès en novembre 1659. Soutenu par le roi Louis XIV,il écrit des comédies de genres variés. 4. Molière était un bourgeois. Son père tient une boutique de « tapissier » qui vend mobilier, tissus et tapisseries à la haute bourgeoisie et à la riche aristocratie et il détient depuis 1631 la charge prestigieuse de « tapissier valet de chambre du Roi ». 5. Il s’est associé

arrondissements parisiens laissent place à vingt nouveaux. 200 kilomètres de voies nouvelles sont réalisés, et le financement de ces énormes travaux se fait grâce à des emprunts. Haussmann emprunte en moyenne 65 millions de Francs par an, montant la dette, en 1870, à 1,5 milliard de francs. On peut voir sur cette petite carte, les anciens arrondissements de Paris, avec sa nouvelle limite en 1860. A) Le standard Haussmannien Pour faire de Paris un endroit agréable à visiter et dans lequel vivre, Haussmann

Mignard (1658). Collection Comédie-Française de Paris. Données clés | Nom de naissance | Jean-Baptiste Poquelin | Autres noms | Molière | Activités | Dramaturge, Comédien | Naissance | Baptisé le 15 janvier 1622 Rue Saint-Honoré, Paris | Décès | 17 février 1673 Rue de Richelieu, Paris | Langue d'écriture | français | Genres | comédie, comédie-ballet | modifier Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, né à Paris, baptisé le 15 janvier 1622 et mort à Paris le17 février 1673, est un dramaturge auteur

démontre aussi qu’il se sente assez à l’aise dans cet endroit et donc que les personnes en ont l’habitude. | Rue Poulet-Rue de la Goutte d’Or Description du lieu | La Rue Poulet est une rue assez vieille, plutôt mal entretenue et en travaux lorsque nous y étions, il y’avait un marché où l’on y trouvait énormément de choses exotiques et plutôt inhabituelles par chez nous. La Rue de la Goutte d’Or est le quartier Nord-Africain. | Description de la population rencontrée | Toute la population

prendra le nom de Comédie Humaine. Il meurt le 18 Août 1850, laissant derrière lui quelques romans inachevés qui seront tout de même publiés. Résumé en 15 lignes : Le roman Le Père Goriot commence à Paris à l'automne 1819. Dans la pension Vauquer, rue Neuve-Sainte Geneviève, sept pensionnaires habitent ensemble : Mlle Michonneau, Victorine Taillefer, Madame Couture, Monsieur Poiret, Bianchon, Vautrin, Eugène de Rastignac, et le père Goriot. Rastignac est un beau et ambitieux jeune homme qui arrive

l’ancien régime, c’est que le roi de France n’a plus tous les droits sur son peuple. Mais à l’aube du XIXème sc., lorsque Napoléon règne sur son empire grandissant, une île, non loin du continent, appelée la Grande Bretagne, se développe, s’industrialise, alors que l’empereur lui empêche toute communication commerciale avec le vieux continent. Cette révolution industrielle qui finira bientôt par touché toute l’Europe et même plus loin, va permettre aux bourgeois, réels bénéficiaires de la révolution

moderniser la capitale française et d’en faire une ville monde au même titre que Berlin ou Londres. En effet, Paris contrairement aux autres capitales européennes, à cette époque a gardé le même visage que sous l’Ancien Régime. En outre, au 19e siècle, la France est une puissance industrielle et coloniale se doit d’avoir une capitale à la mesure de ces ambitions et qui affiche sa prospérité aux yeux du monde. Soutenu par Napoléon III, le baron Haussmann nommé préfet de Paris de 1853 à 1870, s’applique

Il est né à Madrid le 2 août 1933, à la veille de la guerre civile. Son père, Georges Michel Janicot, était un bourgeois français mi-lyonnais, mi-breton dont la famille avait été ruinée par la crise de 1929, un homme de droite taraudé par le sens des convenances, soucieux de préserver les privilèges dus à son rang, employé au Crédit Lyonnais de Madrid. Sa mère, Candida Isabel del Castillo, était une juive espagnole qui appartenait à une famille de riches propriétaires terriens. Très francophile,

de l’air à la ville. C’est le principe de la servitude d’alignement instaurée en 1807. On peut observer les effets de ce décret encore aujourd’hui, rue Quincampoix : la plus part des maisons du 18è siècle n’ont pas été démolies mais restaurées de l’intérieur. Celles ayant été sujettes au retrait d’alignement marquent un retrait avec le reste de la rue, la rendant sinueuse et irrégulière. Cet échec met à jour une réalité indéniable : pour libérer de l’espace dans Paris, il faut de grands projets d’aménagements