Ruisseau

Décors : Il n’y a pas de décors, le fond est très sombre et indistinct, bord d’un ruisseau Objets : Pas d’objets apparent Le cadre et compositions (lignes, perspectives, vide et pleins etc..) : Le cadre est au bord d’un ruisseau, la perspectif est clair

licencieux. ← Voltaire tourne donc cette cérémonie en dérision, car il mêle des éléments érotiques et sexuels à des éléments sacrés et chastes comme la religion. ← Ici, la scène du ruisseau dans lequel l’eunuque aurait été baptisé est burlesque, car il est réduit à quelque chose de vulnérable puisque le ruisseau est ridiculement petit. ← On peut donc constater que l’auteur rabaisse les éléments religieux en insistant sur leur petitesse et en les comparant à des éléments sexuels, ce qui est

Encore cinquante mètres et, assez loin devant lui, surgit l’église. Et, sur le ruisseau rouge, une barque immobile. Les avirons pendaient de part et d’autre. Derrière la proue qui se présentaient à lui de trois quarts, il aperçut une forme sombre, animée de mouvements imprécis, et se rapprocha pour comprendre. Lorsqu’il fut au niveau de la barque, il vit l’homme s’accrocher au bord et s’efforcer d’y remonter. L’eau du ruisseau rouge passait sur ses vêtements, en perles vives, sans les mouiller. Sa tête

sulfurique très toxique et dangereux pour la santé. Cela prouve qu’il va bel et bien mourir à cause de son alcoolisme. Puis il y a une comparaison juste après la métaphore « comme un petit ruisseau » qui nous montre que sa fin est proche. En effet, depuis plusieurs années il y a une baisse de l’eau donc le ruisseau va s’assécher plus rapidement. Dans le texte, cela veut dire que Mesbottes va mourir lui aussi plus rapidement. L’alcoolisme de Mesbottes est encore plus ponctué grâce à l’hyperbole « les

exemple qui illustre la progression du ruisseau Gaudissart dans le pays de Lure : « À l'autre bout du défilé, le ciel entre comme un coin de fer dans la colline. On commence à mieux y voir. Le Gaudissart file à toute allure comme dans une rigole de schiste bien polie. Il est là-dedans tout allongé, tout étiré, mâchuré par de grandes raies luisantes qui partent de l'ombre comme des flèches et, là-bas, dans le jour se courbent. Il semble qu'on a étiré le ruisseau, il semble qu'il y en a un, là-haut

pas du tout le paradis dont elle rêve. Pour Julien Sorel le gout de la lecture est la cause de ses disputes avec son frère. Monsieur Sorel parle de « maudits livres » ligne.22 et jette le livre que Julien aimer le plus dans le ruisseau « …il regarda tristement le ruisseau où était tombé son livre… » Ligne 33 et 34. Pour cet homme peu illettré, la lecture n’a pas de valeur et elle ne peut pas interrompre le travail de son fils. La lecture ouvre la mentalité des humains et leur fait découvrir des

le dernier recensement de la population. Avec une densité de 3 571,5 habitants par km², Marseille a connu une nette hausse de 10,8% de sa population par rapport à 1999. Située à 7 mètres d'altitude, La Rivière L'Huveaune, le Ruisseau des Aygalades, le Ruisseau de Feraud sont les principaux cours d'eau qui traversent la commune de Marseille. . La ville est jumelée avec 14 autres villes dans le monde qui implique la municipalité dans le domaine social. 1er port de France, deuxième ville,

une eau bouillante et ferrugineuse. Le ruisseau est baptisé Hans-bach. Cet évènement redonne courage au jeune Axel. Ils sont désormais à 5 lieues de profondeur, sous l’Atlantique. Arrivés à une grotte à 16 lieues de profondeur, les voyageurs se reposent. Le professeur et son neveu s’adonnent à des considérations scientifiques. CHAPITRES 26-30 Peu à peu, le mutisme de Hans les gagne. Le 7 aout, Axel perd de vue ses deux compagnons et le ruisseau qui les accompagnait dans leur descente.

au-dessus des rochers, évitaient les marécages, zigzaguaient entre les arbres. Au bout de longues minutes d’une course effrénée, le chasseur enjamba un petit ruisseau qui coulait paisiblement entre les cailloux. Il s’arrêta net, planta sa hache dans le filet d’eau, et dit : · Ruisseau, je t’ordonne de devenir torrent ! Que tes eaux puissantes coulent à flots sans répit !Son vœu s’exauça : une rivière déferla soudainement, charriant de gros tronc d’arbres dans ses eaux

insistant sur l’eau qui s’écoule et qui, notamment forme comme un filtre rendant difficile la vue, « un à un, derrière l’averse, les ponts réapparaissaient ». Pour insister sur cette description, l’auteur utilise le champ lexical de l’eau, « gouttes », « ruisseau », « torrent » etc… Dans cet extrait, Zola utilise une comparaison à la fin pour imager le haut du quartier, épargné des torrents d’eau s’écoulant dans les rues, « les tours nageaient dans une éclaircie, comme des épaves » Dans cet extrait l’organisation