Ruisseau

avec effets sonores. «. Alors, j'ai commencé à faire une chose très bizarre : plusieurs samedis et dimanches de suite, j'ai commencé à construire de jolies petites roues en bois, bricolées comme ça, le long d'un ruisseau [...]. Aucune idée d'art [...]. Dans la forêt, j'utilisais un ruisseau : il faut dire que c'était une forêt de sapins qui formaient une sorte de cathédrale, avec les qualités sonores d'une cathédrale [...], les sons s'amplifiaient formidablement bien."Qui fonctionnaient pendant des

de la scie, l'empêcha d'entendre la terrible voix de son père. Enfin, malgré son âge, celui-ci sauta lestement sur l'arbre soumis à l'action de la scie, et de là sur la poutre transversale qui soutenait le toit. Un coup violent fit voler dans le ruisseau le livre que tenait Julien ; un second coup aussi violent, donné sur la tête, en forme de calotte, lui fit perdre l'équilibre. Il allait tomber à douze ou quinze pieds plus bas, au milieu des leviers de la machine en action, qui l'eussent brisé,

total. Il s’abandonne complètement à elle. En effet, dès qu’il rentre chez lui, le fou ne peut s’empêcher d’ouvrir l’armoire pour voir et manier la précieuse natte blonde. Il mentionne qu’il a un besoin continu de « […] tremper [s]es doigts dans ce ruisseau charmant de cheveux morts.» (Maupassant, 2006, p.70) Le verbe «tremper» utilisé au sens propre désigne l’action de s’imbiber de quelque chose. Dans le cas du fou, l’utilisation de ce verbe démontre la manière avec laquelle il se recouvre des cheveux

ce qui ne va pas -> et elle lui répond qu’elle revient -> Cosrou qui a perdu son mari. Zadig -> demande -> rend colère -> elle explique que Cosrou a juré aux Dieux qu’elle resterait -> près tombeau -> ruisseau à côté soit à sec -> et quand Azora -> vu Cosrou -> était en train de détourner le ruisseau. Zadig -> ne répond rien. 2 jours plus tard -> Azora -> chez une amie -> campagne -> revient après 3 jours. Elle apprend -> arrivant que Zadig mort pendant la nuit. Elle est très attristée -> mort. Cador

de la scie, l'empêcha d'entendre la terrible voix de son père. Enfin, malgré son âge, celui-ci sauta lestement sur l'arbre soumis à l'action de la scie, et de là sur la poutre transversale qui soutenait le toit. Un coup violent fit voler dans le ruisseau le livre que tenait Julien ; un second coup aussi violent, donné sur la tête, en forme de calotte, lui fit perdre l'équilibre. Il allait tomber à douze ou quinze pieds plus bas, au milieu des leviers de la machine en action, qui l'eussent brisé,

de la scie, l'empêcha d'entendre la terrible voix de son père. Enfin, malgré son âge, celui-ci sauta lestement sur l'arbre soumis à l'action de la scie, et de là sur la poutre transversale qui soutenait le toit. Un coup violent fit voler dans le ruisseau le livre qui tenait Julien ; un second coup aussi violent, donné sur la tête, en forme de calotte, lui fit perdre l'équilibre. Il allait tomber à douze ou quinze pieds plus bas, au milieu des leviers de la machine en action, qui l'eussent brisé,

t'écrasera pas, c'est un mirage... Tu peux passer, passe... Mais non, les pâquerettes ne chantent pas, même si elles sont folles. J'absorbe leurs voix ; elles, je les efface !... Ne prête pas l'oreille au murmure du ruisseau. Objectivement, on ne l'entend pas. C'est aussi un faux ruisseau, c'est une fausse voix... Fausses voix, taisez-vous. (Au Roi.) Plus personne ne t'appelle. Sens, une dernière fois, cette fleur et jette-la. Oublie son odeur. Tu n'as plus la parole. A qui pourrais-tu parler? Oui,

quantité de sable et de sédiments se déversant dans le lac Berger par l’entremise du ruisseau l’alimentant. Le ruisseau a toujours transporté de petites quantités de sable et de sédiments dans le lac; toutefois, depuis 3 ans la quantité a nettement augmenté (extrémité ouest se remplit sur plusieurs pieds de sable à chaque année). Depuis trois ans, Monsieur Sand, propriétaire du terrain situé en amont du ruisseau et voisin de la propriété commune du Domaine Berger, exploite une sablière située à

d’Inde. Drapé dans un aba, la tête entourée d’un turban, il tenait son index gauche sur ses lèvres, immobilisé dans un geste qui exprimait l’étonnement. Face à lui, une jeune fille de noir vêtu se penchait pour lui offrir une fleur de capucine ; un ruisseau les séparait. (pp.28-29) Le narrateur précise qu’il ignore totalement l’origine de cette création tout en affirmant par ailleurs qu’il n’a jamais pu dessiner d’autres motifs : Chose étrange, chose incroyable, je ne sais pourquoi le motif de mes

compagnes. Neuf mois sont passés depuis le viol de Callisto, quand un jour, Diane, fatiguée d’avoir chassé sous un soleil écrasant décide de se reposer dans un endroit charmant qui invite à la baignade. Ovide le décrit comme un frais bocage, d’où un ruisseau s’échappait en gazouillant sur les graviers polis que son cours agitait. [Diane] admire le site ; puis elle effleure du pied la surface des eaux et les admire à leur tour. (…) nemus gelidum, de quo cum murmure labens Ibat et attritas uersabat