Ruisseau

pensée, il n'est "plus inquiet pour (sa) mémoire enfumée et encaillotée de sang." (l.10) s'il ne l'es plus, c'est du moins qu'il l'a été, et donc que son monologue intérieur lui permet de franchir le pas, de tourner la page. Lorsqu'il traverse le "Ruisseau qui est la frontière" (l.22), il est déterminé, il a terminé ces réflexions et n'a plus peur, il est "En paix avec (lui)-même". (l.7) Le personnage apparaît donc comme posé, calme, résolu, presque résigné à son sort. il en pense pas pouvoir échapper

la fragilité des sentiments humains dans un poème qui se rapproche de l’apologue.En premier lieu, ce sonnet s’annonce comme un bref récit. Il en présente d’abord les éléments constitutifs habituels : le lieu est donné par le " bord sablonneux d’un ruisseau " (vers 2) tandis que le temps est indiqué succinctement par un " autre jour " (vers 1). Quant aux personnages, ils sont au nombre de deux : une femme qui est la " maîtresse " (vers 4) - au sens d’amoureuse - et " Silvandre " (vers 6). Quant à l’action

REMY Warren T7 PHILOSOPHIEDans ce commentaire littéraire, nous allons étudier un extrait de « Les rêveries du promeneur solitaire » de Jean-Jacques Rousseau. C’est un texte posthume qui se définie à la fois de l’autobiographie et de la réflexion philosophique, il a donc été publié après sa mort. Rousseau fait partie du Siècle des Lumières, à l’époque où d’autres auteurs comme lui étudient le monde qui les entoure

CIE DU JOUR AU LENDEMAIN Marivauxmise en scène Agnès Régolo La Dispute DOSSIER PÉDAGOGIQUELA DISPUTE d'après le texte de Marivaux L’histoire Qui de l’homme ou de la femme a commis la première infidélité en amour ? Afin de répondre à cette question, deux filles : Églé et Adine, et deux garçons : Azor et Mesrin, ont été élevés dans la forêt, isolés les uns des autres, hors de toute société. Ils ne connaissent que le couple que forme Carise et Mesrou qui, dès le berceau, a pris soin d’eux

ne devra pas arracher, Et des miettes de pain à donner aux pinsons Qui viennent dès l’hiver picorer dans la cour Et de tous ces simples travaux de tous les jours Que tes mains dénouées auront abandonnés. Et ta voix coule alors pareille à un ruisseau Qui s’en va humblement, comme le veut sa pente, Mais qui, sans le savoir, fait refleurir la menthe Et met au creux des prés des morceaux de ciel bleu. Vers le soir, tu me parles parfois de la mort... Maurice CARÊME - 14 Le poème commence

nous retrouvons une femme à demi-nue qui allaite son enfant alors qu’à sa gauche, un homme debout, appuyé sur un bâton et vêtu à la mode de l’époque les regarde. Ces deux personnages sont séparés par un ruisseau. Au second plan, le ruisseau se jette dans un fleuve et passe sous un pont en direction de la ville. On apercoit de nombreuses ruines: signes de mauvais présage .

d’actions brèves et simultanées : faits qui laissent penser à l’habitude + oxymore de tout s’accroche et pas tout → ces habitants sont habitués au déséquilibre et à la rupture ce n’est pas nouveau · les quatre fers d'aplomb, au bord du ruisseau, à la fourche du ruisseau et de ce qu'ils appelaient la route, là, contre un cyprès. Description très précise de la route ou plutôt de ce qu’il en reste + imparfait de rituel = ressassement du passé · C'est la maison de Panturle. Le Panturle est un homme énorme

égalité, propriété, sureté). Pour Diderot, cette codification, comme une solution nécessaire : « Qu’est ce qu’une loi dont la justice locale et dont l’autorité, bornée tantôt par une montagne, tantôt par un ruisseau, s’évanouit parmi les sujets d’un même Etat pour quiconque passe le ruisseau ou la montagne ? ». Cette clarté de pensée a conduit à l’adoption d’un plan ordonné selon la Raison, c’est l’idée « d’un jardin à la française plutôt qu’un labyrinthe », le plan du code civil revendique donc

Seigneurs, je dédie cette histoire à tous ceux qui ont aimé un jour. » «Le roi Marc les ensevelit en deux tombeaux. Mais pendant la nuit un petit ruisseau coula du tombeau d’Iseut vers celui de Tristan. Comme l’eau était salée les gens dirent que les larmes des amants avaient formé ce petit cours d’eau .Le roi Marc demanda à faire disparaître ce ruisseau …en vain. Seigneurs, c’est ainsi que se termine mon conte d’amour. » Remarque : L’ intervention finale du narrateur conteur nous renvoie au début

parisiens y savent qui est Cyrano ! Parce que quand y viennent en pension chez les sœurs et qu’ils chantent : Si je suis tombé par terre, c’est la faute à Voltaire, le nez dans le ruisseau, c’est la faute à Rousseau, … et bien nous on leur crie : Non, c’est Cyrano qui vous a botté le cul pour vous foutre tous dans le ruisseau ! » * « Hé bé Jeantounet, ton petit cousin Aramis, si les petits cochons le mangent pas, on en fera quelque chose ! » Sur ces mots, le Père Igord se lève et s’incline devant