Rutebeuf Le Miracle De Théophile

benêt : « écolier » qui répond toujours de travers. Les mystères : (vient du latin médiéval misterium = « cérémonie ») : contribue à la constitution de la lointaine origine du drame. Les mystères relatent toute la vie du saint alors que « les miracles » ne représentent qu'une manifestation du saint après la mort. La sotie : genre très « carnavalisé », met en cause la société dans ses institutions → Théâtre engagé → beaucoup de contestation exprimé aussi grâce au canular exemple moderne des

grecs par les représentations dans les différentes cités grecques. Le texte de théâtre ne renaîtra en France qu’au Moyen Âge, avec des œuvres le plus souvent anonymes relevant du théâtre religieux, avec les miracles et les mystères joués sur les parvis des églises (Miracle de Théophile de Rutebeuf en 1260 ou Le Mystère de la Passion), ou du « théâtre profane et comique », avec desfarces (La Farce du cuvier, La Farce de Maître Pathelin) et des moralités ou des soties. Au xvie siècle, le théâtre est

avec le prix de sa performance - énumération des boniments d’un charlatan : le dit de l’herberie - dit de l’hiver et de l’été, dit du boudin, dit des peintres, dit des rues de Paris…. ( Rutebeuf Son activité s’étend entre 1250 et 1280 environ. Son œuvre, à l’exception du théâtre de Theophile et de deux ou trois chansons, et faite entièrement de dits, et reflète tous les aspects de cette forme : l’effusion religieuse, la satire, l’enseignement, la polémique, l’allégorie, l’exhortation,

églises puis dans les rues)  les prêtres trouvaient ça hypocrite ! - Le théâtre des jongleurs = « théâtre du jeu » ou « le jeu » joué dans la rue but : s’amuser (petites danses) 3 noms de jongleurs : Jean Bodel, Rutebeuf Des textes prophètes Écrivaient surtout des miracles (= pièces tiré de la vie des saints ou des textes religieux de la vierge) Fin du moyen-âge (15ième siècle) : on voit apparaitre de nouveaux genres théâtraux : des farces et des mystères

INTRODUCTION I. L’HISTOIRE DU THEATRE EN FRANCE A. UN HERITAGE ANTIQUE B. LE THEATRE A L’EGLISE II. LE THEATRE EDIFIANT A. LE TROPE B. LE DRAME DES PROPHETES C. LE DRAME LITURGIQUE D. LE DRAME SEMI-LITURGIQUE DANS LE JEU D’ADAM E. LES MIRACLES F. LES MYSTERES III. LE THEATRE AMUSANT A. LA MORALITE B. LA SOTIE C. LA FARCE BIBLIOGRAPHIE INTRODUCTION L’histoire de notre littérature nationale commence au Xe siècle. Jusqu’alors, dans une douce évolution, la population

Roman de Renart Poésie • Guillaume IX d’Aquitaine (1071-1127) L’Amour lointain • Rutebeuf (1230-1285) La Complainte Rutebeuf • Guillaume de Machaut (1300-1377) Le Cœur mangé • François Villon (1431-apr. 1463) Le Testament Extrait du Livre des très riches heures du duc de Berry Théâtre • Anonyme Le Jeu d’Adam (v.1150) • Jean Bodel Le Jeu de Saint Nicolas (1200) • Rutebeuf Le Miracle de Théophile (1262) • Anonyme La Farce de maistre Pathelin (v.1465) Pathelin et le drapier, gravure

par les troubadours au 11e (S. de la FR) --> guillaume IX d'aquitaine, bernard de ventadour. 12e : arrive au N. avc les trouvères -->Chrétien de Troyes, Canon de Béthune. Troubadours disparaissent au 13e. Dans le N., poésie + réelle. Gds poètes : Rutebeuf (2nd moitié 13e), Francois Villon ( +/- 1431). -courtoise ( courant de pensé : amour idéalisé= fin'amor) Ds le fin'amor : tjrs mm schéma, amant en position d'inferiorité a la dame, soumis a ses désirs, exigences, accomplit ses prouesses pr la séduire

française du XVIIIe siècle et Littérature française du XIXe siècle. Le texte de théâtre ne renaîtra en France qu’au Moyen Âge, avec des œuvres le plus souvent anonymes relevant du théâtre religieux, avec les miracles et les mystères joués sur les parvis des églises (Miracle de Théophile de Rutebeuf en 1260 ou Le Mystère de la Passion), ou du « théâtre profane et comique », avec des farces (La Farce du cuvier, La Farce de Maître Pathelin) et des moralités ou des soties. Au xvie siècle, le théâtre est

française proprement dite, nous citerons seulement quelques trouvères. Les uns furent de grands seigneurs, tels : le châtelain de Coucy (1204) et Thibaud IV de Champagne (1253) ; les autres étaient d’humble condition : Jean Bodel, d’Arras (1207), Rutebeuf (1280), Colin Muset (fin du XIIIe siècle). II. – FRANÇOIS VILLON (1431 – 1480 ?). Très nombreux furent les poètes lyriques aux XIVe et XVe siècles. Mais celui qui peut être considéré comme l’ancêtre de notre poésie moderne est

comme un chien sous l'escalier, en butte aux mauvais traitements des domestiques, et se nourrit de rebuts. | Avant de mourir, il rédige son histoire sur un papier que seul le Pape parvient à lui arracher après sa mort. La vérité éclate et provoque miracles et conversions : le poème se termine sur l'affirmation du bonheur céleste de ce saint et l'assurance de son intercession en faveur des siens et de tous les hommes. Ce récit de la légende du "pauvre sous l'escalier" dont la vocation est hagiographique