Rwanda

qui a des conséquences sur la mortalité, la misère. Cela ne favorise pas le développement économique des pays : le commerce, le tourisme et l’industrie ne peuvent pas se développer dans un contexte aussi précaire. Prenant pour exemple le génocide du Rwanda en 1994.Tous ces pays en conflit ne peuvent pas prétendre jouer un rôle dans l’économie mondiale. Le facteur qui empêche la mondialisation est qu’une grande partie de l’Afrique subsaharienne fait partie du groupe des PMA ( pays les moins avancés)

En deuxième lieu, je vais m’attarder sur les différentes guerres qui ont pu avoir lieu ces dernières années. La folie des hommes est telle que nous ne pouvons qualifier ce monde de meilleur. Revenons quelques années en arrière, avec le génocide du Rwanda en 1994 où quelque 800 000 hommes, femmes et enfants furent massacrés. Pour ne pas citer que celui-là, en 1995 eut lieu le massacre de Srebrenica. A une moins grande échelle certes, mais ce massacre a quand même fait 8000 morts. Si cela ne vous suffit

barbarie. Le génocide des juifs, tziganes, handicapés mentaux et homosexuels par les Nazis, s'appuyait sur une idéologie raciste, qui établissait une distinction entre les hommes et les sous-hommes. On pourrait évidemment parler du génocide des Tutsis au Rwanda. Les récits des rescapés de ces deux génocides ont souvent tendance à revendiquer fortement leur appartenance à l'espèce humaine. Songez aux titres de Primo Lévi : si c'est un homme, de Robert Antelme, l'espèce humaine. Innocent Rwililiza, habitant

à la société. Dans une société où la vie sociale s’organise en groupes sociaux fermés, plusieurs de ces groupes peuvent entrer en conflits car leurs opinions, origines ethniques ou religieuses sont trop différentes les unes des autres. Ainsi, au Rwanda, Hutu et Tutsi vivaient dans un même pays mais dans des groupes sociaux qui sont restés distincts et qui se sont affrontés jusqu’au génocide des Tutsi par les Hutu. On retrouve le même type de situation lors de la Seconde Guerre Mondiale avec la Shoah

siècles. Je me souviens de l'esclavage en Grèce antique, Je me souviens des autochtones, Je me souviens de la traite des Noirs, de la ségrégation raciale Je me souviens du nazisme, Je me souviens aussi de l'Apartheid, Je me souviens du génocide du Rwanda, du génocide arménien... Et vous ? Vous en souvenez vous ? Mais aujourd'hui aussi, le racisme est d'actualité. En France, l'intolérance ne cesse d'augmenter depuis 2010. Selon le rapport annuel de la Commission nationale consultative des droits

différence. L’œuvre constitue alors un témoignage qui est aussi un appel à une réforme du monde. « Germinal » n’est pas une œuvre cynique, et la représentation de l’Afrique telle qu’elle apparaît dans plusieurs films récents (Hotel Rwanda, Shooting Dogs : génocide du Rwanda ; Le cauchemar de Darwin : méfaits de la mondialisation en Tanzanie ; Le dernier Roi d’Ecosse : dictature d’Amin Dada en Ouganda ; Lord of War : commerce des armes au Libéria ; Blood Diamond : commerce des diamants en Sierra Leone

internationales pour des motifs humanitaires dans des États même si ceux-ci le refusent. Ce principe que les droits des individus priment sur ceux des États a cependant sa limite comme on a pu le voir avec la non-intervention de l'ONU dans le génocide au Rwanda en 1994. Les représentants de l'État sont chargés de la mise en œuvre de la politique étrangère par les autorités centrales de l'État. Ces représentants comprennent les fonctionnaires du ministère des Affaires étrangères, les membres des institutions

par le biais de ce discours en cinq points. Tout d’abord nous observons une banalisation de terme « génocide ». Celui-ci n’est pas utilisé à bon escient notamment par les politiques que ce soit volontaire ou non. Prenons l’exemple du génocide du Rwanda qui ne fut pas qualifié comme tel par certains politiciens ; cette abstention permettait d’évider de rendre des comptes. En parallèle, le mot est utilisé à tort pour décrire tout massacre dans le cadre de la concurrence victimaire. Il faut être une

lyrisme et en expérimentant. Ainsi, elle tente de se confronter à la réalité du quotidien. En effet, de nombreux auteurs se sont inspirés des faits marquant l’actualité, tels qu’Ariane Dreyfus dans Iris, c’est votre bleu qui reprend le génocide du Rwanda et l’Afghanistan, ou encore Claude Ber avec La mort n’est jamais comme… inspiré de la violence de l’humanité. C’est dans ce cadre que Dominique Fourcade écrit ses trois livres publiés en 2005, sans lasso et sans flash, éponges modèle 2003 et en laisse

en Afrique. En fait, on constate que les facteurs de conflit se combinent. - Les civils représentent 75 % des victimes de ces guerres. Les conflits actuels ont vu le retour des exterminations de masse, comme en témoigne le génocide des Tutsis au Rwanda en 1994. Ils entraînent par ailleurs d’importants déplacements de population. Leur plus grande médiatisation sensibilise les opinions publiques et les Etats ne peuvent rester indifférents. Le droit d’ingérence tend à s’imposer. 2) La guerre de