Rythme nycthéméral

imagée (par exemple la Ville Lumière pour désigner « Paris ») pour distinguer l’animal. Ex : « roi de l’azur » (vers 5), « voyageur aile » (vers 9), « prince des nuées » (vers 13) → des termes qui rappellent la majesté et la grandeur de l’oiseau. Le rythme et le choix de l’alexandrin (vers le plus noble de la poésie) renforcent cette idée de majesté. Il y a donc une idée de perfection dans la description de l’oiseau : il est idéalisé. b) L’oiseau sur la Terre Pour montrer qu’il n’est plus celui qu’il

dans des verbes de mouvement met l’accent sur la fuite du temps. Mouvement souligné par des images : «  pas du temps qui s’enfuit » accentue le pouvoir du temps. La forme du poème met en valeur la fuite du temps, donc il y a une accélération du rythme : Rythme binaire mais hémistiche en 2 Enumération avec parallélisme et enjambement dans le 2eme quatrain. Ainsi le thème de la fuite du temps dominant est à l’origine de sentiments variés comme la mélancolie, l’amertume, la nostalgie, d’autant plus que

procédés qui rendent cet univers fantastique. Nous allons en premier temps expliquer comment l’évocation de l’expansion des usines est transformée en un adieu à l’âge d’or. Tout d’abord, le premier quatrain a une composition classique et un rythme régulier. Il est en alexandrins, avec des rimes croisées. Cette strophe nous décrit une campagne triste et usée, avec des « clos », des « granges » et des « fermes dont les pignons sont vermoulus ». Nous découvrons un espace sans vie avec une « plaine

la naissance du Christ. Ce sont ces connotations qui confèrent un caractère sacré à cet amour, mais en souligne aussi la pureté. Plus qu’une naissance, c’est une renaissance au sens de retour au monde purifié et libéré. Celle-ci est traduite par le rythme de la strophe 2 qui tient de l’élan lyrique. Elle est constituée d’une seule longue phrase, les coupes sont multipliées, et l’absence de verbe est compensée par une accumulation d’idées fugitives (= foisonnement d’une vie intense) Amour purificateur

poète doit être un professeur d’espérance», écrivait Giono dans le scénario de L'eau vive. De fait, il apparaît que la poésie semble avoir également une visée didactique. C'était d'ailleurs la principale fonction de la poésie dans l'antiquité : le rythme dû à la versification était un moyen idéal de faciliter l'apprentissage du « par coeur » dans les écoles. Au delà de cette ancienne fonction, Giono insiste sur le fait que le poète enseigne l'espérance. Dans cette mesure, le poète serait le voleur

professeur mais de se limiter à l’essentiel. Cet apprentissage est difficile mais se fait progressivement. Dans un premier temps, se laisser guider par le professeur : si l’idée est importante, le rythme est lent et il y a répétition ; en cas d’idée plus secondaire ou d’exemples illustrant l’idée essentielle, le rythme est plus rapide. Toujours attendre pour noter l’idée que le professeur ait fini de l’exprimer et ne pas hésiter à la reformuler dans son propre vocabulaire.  Rapidité : écrire vite en utilisant

tous ce qui n’est plus. Les éléments évoqués appartiennent au domain Quels moyens poétiques sont utilisés Les phrases négatives présentent ce qui a disparu. lutter contre l’oubli et la barbarie des Les phrases courtes, les répétitions apportent un rythme soutenu et tendu. hommes ? Le poète s’exprime à la première personne (qui devient « nous » à la fin du poèm à la ville comme à une personne. Les trois sentiments principaux évoqués sont la haine, la honte, la vengeance. Pour mettre en valeur ses sentiments

blanc. A l’époque où Gautier a écrit ce texte, les landes sont des forêts moins denses qu’à notre époque où la comparaison avec le Sahara n’est plus possible. « Vrai Sahara français » : image apposée à Landes. Rythme : alexandrins, rimes croisées. Majestueux. v.1 3/3/3/3 rythme régulier et majestueux : voyage. v2. hémistiche. v3. hémistiche- opposition herbe sèche/eau verte. v4 : surprise : quelle est cette plaie ? 2ème Strophe : Commence par « car », elle va donner une explication

serait par une vague. Au vers 3 et 4, le poète utilise une métaphore qui sera filée dans tout le poème, métaphore sur le temps, sur la vie comparée à un fleuve qui emporte les hommes (« océan des âges »). Il y a un effet de rupture vers 4, dans le rythme du quatrain (on passe d’alexandrins à hexasyllabes). Ce choix est justifié par la volonté, de la part de Lamartine, de mettre fin à la fuite du temps. Il y a aussi un effet de rupture dans l’expression « jeter l’ancre », où on l’on trouve un verbe

d'outils de comparaison (« Comme » v. 1). La femme est considérée comme la rose : noble, belle, délicate (« belle », « grâce »). La femme à travers la rose est divinisée. b. Sonorités douces et rythmes agréables Effet de son agréable, presque chantant. La répétition de ces sonorités douces donnent un effet de rythme mélodieux et harmonieux. (« o » -> rose : v. 1-14). II- La (manifestation de la) mort Malgré l'aspect divin de la femme et de la rose, toutes les deux restent mortelles et fragiles.