Récit Plaisant

Question → 1. Quels sont les points communs être ces trois récits ? Les trois textes sont des fables écrit en vers qui reproduisent la structure habituel d'un apologue. Ce sont des récit suivit d'une morale. Dans les 3 textes ils y a de jeunes enfants, qui sont a chaque fois les victimes, peut être pour avertir les parents ? Les 3 titres se ressemblent Les trois textes comportent des animaux humanisés ou des créature de compte de fée qui appartiennent a un monde merveilleux.

La fable est une forme d'apologue. Un apologue est un récit à la fois fictif et argumentatif qui nous fait réfléchir, parfois il dégage une morale. On va se demander en quoi "Le loup et l'Agneau" répond-t-il à la définition de l'apologue. Pour répondre à ça, on va d'abord dire que ce texte contient un récit, ensuite on va donner le rôle de la morale et enfin on va dire les buts de la fable. 2° Développement 1) Un récit Un récit est une succession d'actions qui progressent dans le temps

le genre antique de la fable en mettant en vers celles héritées d’Esope et de Phèdre, avait bien compris. Son projet, qu’il adresse au Dauphin, est porteur d’une ambition pédagogique claire. Par l’entremise d’une petite histoire, illustration plaisante et divertissante, la fable favorise l’accès, dès le plus jeune âge, et quel que soit le public, aux idées les plus subtiles et aux situations les plus graves. C’est cette capacité du genre de l’apologue que démontre La Fontaine dans « Le Pouvoir

Les Voyages de Gulliver est un ouvrage écrit par Jonathan Swift, auteur Irlandais né en 1667 et mort en 1745, où celui-ci compare la société Anglaise à celles des pays où le protagoniste du récit a pu séjourner. Ce livre pourrait s'apparenter au registre épique car toutes les caractéristiques des voyages et de la vie sont amplifiées. La version complète parut pour la première fois en 1726. Cette oeuvre est un journal de bord retranscrit sous forme de roman qui évoque les voyages ainsi que les péripéties

péripéties, de rebondissements. Toutefois, malgré l'attrait qu'offre ce type de récit celui-ci présente un intérêt indéniable : celui d'instruire le lecteur. Tous ces récits donnent-une-leçon de vie à méditer efficace mais qui sous-entend une lecture qui demande un effort d'interprétation. Nous verrons donc dans un premier-temps en quoi l'apologue est un genre divertissant notamment par la vivacité et la fantaisie du récit. Dans un second temps nous montrerons en quelle mesure l'apologue permet d'éveiller

pédants ». On peut donc penser qu’à premièrevue les fables ne sont pas destinées aux enfants. Toutefois, les fables sont des récits imagés, agréables à lire et plaisants à écouter. En effet, une très grande majorité d’enfants lisent les fableset ne voient que la forme de ce genre, c’est-à-dire l’histoire en elle-même. L’enfant peut certainement trouver du plaisir à lire un récit qui met en scène des animaux, les fables étant en généralplaisante et divertissantes. Cette « forme » de la fable, l’histoire

fragilité (roseau); mais, contre toute attente, la confrontation va tourner à l’avantage du plus faible. Thèse : Quelles leçons cette fable amusante veut-elle donner au lecteur ? I) Une fable plaisante 1) Une composition efficace Récit bref. Deux parties : un dialogue et un récit, marquées par un changement de temps (passé simple – présent de narration). Conflit de deux personnages, résolu par l’arrivée d’un 3ème (le vent). 2) Une narration habile Omniprésence du vent (présenté

"L'apologue est-il simplement divertissant ou peut-il éveiller la réflexion du lecteur ?". Extraits [...] Le récit est d’autant plus important que c’est lui qui rend la morale accessible au lecteur, jeune ou adulte, intellectuel ou non. C’est par exemple le cas des fables destinées aux enfants et appréciées des adultes et de certaines œuvres comme Le Petit Prince. C’est également le récit qui permet à l’auteur d’instaurer une complicité, une connivence avec le lecteur qu’il assiste ou aide à comprendre

un court récit en vers ou occasionnellement en prose qui vise à donner de façon plaisante une leçon de vie. Elle se caractérise par la mise en scène d'animaux qui parlent, à moins que ceux-ci cèdent la place à des éléments naturels ou à des personnages types. La moralité, exprimée à la fin ou au début de la fable, est parfois implicite, le lecteur devant la dégager par lui-même. Au sens premier, le mot « fable » désigne l'histoire ou enchaînement d'actions qui est à la base d'un récit imaginaire

intègre l’auteur lui-même. V27à29 => vous =>locuteur s’unit au destinataire. II Vivacité de la fable. Intro rapide : v1à4 / récit : v5 à23. Commence par une indication temporelle : « une nuit ». Récit et discours rapporté au style direct. Temps verbaux : situation init à l’imparfait(v5-6) élément perturbateur (v7à9) présent de narration -> vivacité du récit. Verbes d action qui s’enchainent « sort » « court » « eveille » (v7-8) « prend » « s’arme » « vient trouver » (v10-11). Le dialogue