Réduire Inégalités économiques Politiques économiques

Comment évoluent les inégalités et la pauvreté dans le monde ? Introduction La question des inégalités tient une place centrale dans les débats sur la mondialisation. En effet, les bouleversements économiques et sociaux entraînés par la mondialisation ne semblent légitimes que dans la mesure où ils stimuleraient les processus de développement et permettraient des processus de rattrapage, notamment au bénéfice des pays les plus pauvres. Le diagnostic est souvent inverse : la mondialisation accroîtrait

  Introduction Le terme «mondialisation» possède une forte charge émotive. D'aucuns voient dans la mondialisation un processus bénéfique -- qui contribuera de façon décisive au développement économique mondial -- inévitable et irréversible. D'autres sont hostiles à ce processus, voire le redoute, estimant qu'il accroît les inégalités au sein des pays et entre eux, menace l'emploi et le niveau de vie et entrave le progrès social. L'objectif de la présente étude, qui fait un tour d'horizon de certains aspects de

Les enjeux du développement. Du développement au développement durable. L'archipel des Maldives connaît une forte croissance économique, principalement liée au tourisme. Mais son développement est inégal : les retombées touristiques ne profitent pas beaucoup à la population locale. De même, l'espace pour vivre est limité alors que la population augmente notamment dans la capitale Malé. Enfin, la plupart des terres sont situés à moins d'un mètre au-dessus du niveau de la mer et sont donc menacées

Dossier 6 – Stratification sociale et inégalités Stratification ou structure sociale : organisation de la société en groupes sociaux relativement stables, ce sont presque toujours les mêmes individus qui en font partie. Ces groupes son homogènes par leurs revenus, mode de vie, valeurs, statut juridique … Cependant chaque groupe est distinct des autres et tous sont hiérarchisés. La stratification sociale désigne en fait les différentes formes de différenciation sociale que l’on rencontre dans

Selon la thèse libérale, les inégalités peuvent être un facteur de croissance économique. En effet, pour les libéraux, la recherche de l’intérêt personnel ne constitue pas un obstacle au bien-être de l’ensemble de la société. Au contraire, c’est grâce à la recherche des individus de leur propre intérêt que l’intérêt général se réalise. C’est la théorie de la « main invisible » d’Adam SMITH (1723-.790), qui démontre qu’il existe un ordre économique naturel spontané, fondé sur l’intérêt personnel

d’objectifs et de conséquences quand à l’imposition ; Sa finalité principale est, après redistribution, une certaine réduction des inégalités sociales. Le petit Robert définit la redistribution comme un processus durant lequel l’argent collecté (via impôts taxes et cotisations) va être redistribué de manière à mieux répartir les richesses entre les personnes et ainsi réduire la stratification sociale. La France est l’un des pays où l’imposition est la plus importante au monde, constituant environ 45%

Le développement est-il conséquence de la croissance économique ? Diapo 1 : Définitions et introduction. La croissance économique correspond à l’augmentation pendant une longue période de la production ou des richesses d’un pays, c’est-à-dire, plus de 3 ans. Lorsque c’est moins de 3 ans, on parle d’expansion. Pour mesurer la croissance économique, on mesure le PIB (pour une entreprise de France) ou le PNB (pour les entreprises françaises du monde). Tandis que le développement est généralement

Programme 2012 SCIENCES CIENCES ÉCONOMIQUES ET SOCIA CIALES Collection Fraisse-D’Olimpio T erm m ES Livre du professeur Anne-Cécile Broutelle Sylvain Morin Institution des Chartreux, Lycée Hector Berlioz, Lyon (69) Vincennes (94) Joachim Dornbusch Matthieu Paldacci Lycée Louise Weiss Lycée Samuel Beckett, Achères (78) La Ferté-sous-Jouarre (77) Sylvain Dzimira Annabelle Poulain Lycée Saint-Michel de Picpus, Lycée Saint-Michel de Picpus, Paris (75) Paris (75) Stéphanie Fraisse-D’Olimpio

toute la population grâce à la production réalisée. L’État diminue donc la croissance économique en gaspillant ces prélèvement, bien souvent à des fins non productives. Avec la crise de 1929; Keynes avait montré qu’un équilibre de sous-emploi était envisageable et qu’il fallait que l’État intervienne ce qui avait fait passé au « second plan » les idées de Smith. Mais avec la crise de 1975 et l’inefficacité des politiques keynésiennes, on assiste à un renouveau de la théorie néoclassique. Pour les théoriciens

keynésien Alvin Hansen en 1939, qui suggérait que la Grande Dépression pouvait être le début d’une nouvelle ère marquée par une économie durablement déprimée. On parle de “stagnation” lorsqu’on a des périodes caractérisées par une faible croissance économique: (CLICK) dans les dernières 4 années, les prévisions de la croissance du PIB mondial ont été revues à la baisse, jusqu’au récent 3,1%. (CLICK) Cependant, lorsqu’on parle de “stagnation séculaire”, on affirme que, sauf changements radicaux, la situation