Réflexions Sur L éducation Kant

état d'élaboration) et surtout, de mettre en évidence leurs implications éducatives. Ce volume ne prétend pas offrir un bilan complet des connaissances psychologiques utiles à l'enseignant. Plus modestement, il souhaite l'introduire à un champ de réflexion où les problématiques sont examinées à la lumière des théories psychologiques. Après avoir examiné les présupposés psychologiques des précurseurs (Rousseau, Montessori, Herbart, Decroly, Dewey, Claparède, Freinet, Alain), l'auteur s'intéresse aux

1. Introduction Notre éducation judéo-chrétienne nous incite à penser qu'il est mieux d'être le faible et de pardonner, de «tendre l'autre joue». C'est ancré en nous, de par nos valeurs morales de vouloir gagner notre salut et «notre ciel ». Il faut souffrir et endurer pour obtenir grâce aux yeux de Dieu. Nous avons été éduqués à être de bonnes personnes, et les bonnes personnes, ne peuvent que faire le Bien, n'ont pas le droit de se défendre, ne peuvent pas contester. Donc il faut être faible

valeurs dont la validité est déterminée non par un ou plusieurs hommes mais par la société comme totalité dans ses besoins fonctionnels en perpétuel changement. »1 II. Le concept d’histoire : antique et moderne[modifier] Cet essai prolonge la réflexion précédente sur la tradition : Hannah Arendt analyse le recours par les philosophes au concept d'histoire comme la tentative de reconstituer une nouvelle tradition. « Dans cette version [proposée par Marx] de la dérivation de la politique à partir

communauté. En effet, un individu se doit d'être libre de "croire ou ne pas croire", cette liberté est considérée par la commission de réflexion sur l'application de la laïcité dans la république française, comme étant le "second pilier de la laïcité". Il est essentiel que l'individu puisse exprimer cette liberté de conscience, puisque selon le philosophe allemand Kant, la liberté d'expression conditionne entièrement celle de pensée et, est de ce fait, la condition pour qu'un individu puisse déterminer

simple dressage ou comme un conditionnement ? Peut-elle se ramener au transvasement de connaissances d’un esprit à un autre ? Ne doit-elle pas conduire à la liberté, à l’autonomie ? Quel doit-être le rôle du plaisir, du jeu, dans l’éducation ? Toute éducation ne comporte-t-elle pas inévitablement une part de travail, d’effort pénible ? 3ème sens (sens anthropologique) : la culture opposée à la nature. La culture est ce qui se distingue de la nature et ce qui s’oppose à elle. La nature. Le terme de

l’éducation de résoudre sur le vif les problèmes qui viennent d’être évoqués. Ces problèmes sont divers : ils sont de l’ordre de la conscience, de l’ordre de l’intelligence, de l’ordre des techniques professionnelles. C’est autant par l’action que la réflexion personnelle que le jeune enseignant y parviendra. Mais il demeure que l’attitude de l’éducateur peut être définie, à tout moment de sa vie et de sa carrière, comme une attitude de recherche permanente. Pour l’enseignant, rien n’est fixé, rien n’est

anglaise qui analyse les actes de langage comme des opérations sociales et enfin, la version américaine de la pragmatique, qui est issue du pragmatisme ayant ses racines dans la théorie médiévale des signes, la sémiotique lockienne et la philosophie de Kant. Les mots-clés de cette dernière, représentée par Charles Sanders Peirce et Charles Morris qu’on va analyser dans le cadre de ce rapport sont : pragmatism, meaning, action, behaviour, interpretant, semiosis. I. BIOGRAPHIE ET ACTIVITÉ DE L’AUTEUR

Sommaire INTRODUCTION 3 CHAPITRE I : Références (Extraits) 11 § 1 - ARISTOTE (- 383 / - 322) : Les Politiques. 11 § 2 – JEAN-JACQUES ROUSSEAU (1712-1778), Du contrat social 11 § 3 – EMMANUEL KANT (1724-1804), Du rapport entre la théorie et la pratique dans le droit politique 12 § 4 – KARL MARX (1818-1883), La Guerre civile en France, première rédaction {mars 1871} 14 § 5 – HANNAH ARENDT (1906-1975), Condition de l’homme

est-ce cela le plaisir esthétique ? Je me suis détourné de l’oeuvre pour la penser. Je n’y suis plus abandonné, je n’éprouve plus de plaisir esthétique. Ce n’est plus l’oeuvre qui me transporte, ce qui m’intéresse, c’est d’en faire l’objet d’une réflexion. On peut aussi être très sensuel sans pour autant être très sensible. La jouissance esthétique n’a pas de compte à rendre à la sensualité la plus frustre, ni à l’intellect réflexif, ni au jugement moral, elle a son origine dans une sensibilité

Émile DURKHEIM (1922) ÉDUCATION ET SOCIOLOGIE Un document produit en version numérique par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie Courriel: jmt_sociologue@videotron.ca Site web: http://pages.infinit.net/sociojmt Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index.html Une collection développée en collaboration avec la Bibliothèque Paul-Émile-Boulet de l'Université du Québec à Chicoutimi