Référence Culturelle Dans Une Publicité

avec un autre objet (une personne, une pomme, une montagne…) un rapport de ressemblance, d’analogie. Lire l’image, c’est donc aussi pour une part chercher à identifier le référent, l’objet représenté (cf aussi la partie 5.2.1. « Codes socio-culturels » dans le chapitre Sens de l’image). 3.1. On s’interrogera notamment sur le degré de « réalité » du temps et de l’espace (époque déterminée ou passé intemporel, décor précis ou imprécis, intérieur ou extérieur, naturel ou artificiel, étrange ou

s‟inscrit dans le paradigme post-assimiliationniste (Askegaard et al. 2005) qui explicite l‟ethnicité comme un concept identitaire mouvant ; les consommateurs choisissant d‟osciller entre plusieurs identités (Oswald 1999) ou d‟alterner les références culturelles (Visconti 2008). Dans ces conditions, l‟appartenance ethnique est une image qu‟il est possible de choisir : elle peut donc être « consommée » (Bouchet 1995) afin de répondre à une recherche de lien social par le biais de la reconnaissance

plus jeunes. La culture peut aussi être transmise autrement, par exemple par les médias. (Émissions télévisées, musique de variété, publicités…) Elle permet de rassembler les différentes générations pour ainsi les divisés. Celles des gens instruits qui ont accès à la culture classique, et les autres. Mais parfois les cultures se mélange par exemple pour les publicités qui font souvent allusion à des œuvres célèbres. D’autre part, cette culture est éphémère car c’est un mouvement passager. Elle ne

de recouvrir une surface entière, ou encore l'intérieur avec 2 possibilités : l'oriflamme (publicité au format 39x32 suspendue au plafond) ou avec des écrans vidéos. B] Les supports imprimés Il y a 3 sortes de supports imprimés permettant de faire de la publicité sans recouvrir aux grands médias. Il y a les annuaires (des abonnés au téléphone, de commerçants; les pages jaunes), le prospectus (publicité de proximité, très utilisée par les artisans, les petits commerces, les grandes surfaces) et

c’est la communication-produit. Cette communication peut être collective, c’est-à-dire que les différentes entreprises peuvent promouvoir un même produit de marque différente sur le marché. On peut aussi mettre l’accent sur la marque en tant que référence symbolique, c’est la communication de marque. Plus professionnellement, communiquer c’est créer sa personnalité sociale, tout en créant des relations avec son public. Partie I: Typologie de la communication La communication d’entreprise

plus en plus importante dans le processus de la mondialisation. Malgré une certaine uniformisation des modes de consommation, les marchés demeurent toujours segmentés et les différences culturelles persistent réellement, étant donné que les sociétés multiethniques défendent encore leurs particularismes culturels. Ainsi, le développement du commerce international entre les nations a pour conséquence des mutations économiques, sociologiques et technologiques profondes, où la multi-culturalité joue

Distribution (Place mix) 4.3.4 Communication (Promotion mix) 5 Marketings particuliers ou concepts spécifiques 6 Comprendre le consommateur 6.1 Comprendre la dimension intrinsèque 6.2 Comprendre la dimension extrinsèque 6.3 Processus décisionnel 7 Notes et références 8 Voir aussi 8.1 Bibliographie 8.2 Articles connexes 1 sur 13 28/04/13 16:02 Marketing - Wikipédia http://fr.wikipedia.org/wiki/Marketing Évolution du Marketing Histoire du marketing L'idée que les relations entre l'offre et la

considéré comme influence culturelle toute influence liée à un des facteurs suivants : ▪ La culture ▪ Les sous cultures ▪ La classe sociale a) La culture : Dés son jeune age, l’individu apprend le système de valeurs émanant de sa culture, qui résulte des efforts passés de la société, et qui lui est transmis par différents groupes et institutions (famille, école,…) Les responsables du marketing international doivent faire attention aux différences culturelles, dans la mesure où elles

le programme dans la séquence. La réflexion des élèves les conduira à - « devenir un lecteur compétent et critique », par le parcours de lecture d’une œuvre intégrale ; - « confronter des savoirs et des valeurs pour construire leur identité culturelle » par les apports de l’œuvre et des autres textes du corpus ; - « entrer dans l’échange oral », par la confrontation des points de vue et par enrichissements mutuels entre élèves (ici dans la perspective de l’épreuve d’oral de contrôle) ; -

« citoyens-consommateurs » qui constituent leur cible[1]. Il est urgent de surmonter cet handicap ! Dans cette perspective, voici le compte-rendu de la matinée organisée à Paris le 30 janvier 2004 sur le thème : « Bobos, nonos, créatifs culturels, alternatifs : qui sont les nouveaux citoyens-consommateurs ? », une conférence animée par les meilleurs spécialistes que nous remercions vivement pour leurs contributions. En vous souhaitant bonne lecture ! Alexandre Pasche (Eco&Co)