Régime Parlementaire

démissionne le 30 janvier 1879. Jules Grévy qui le remplace est un fervent républicain. Son intention est connue des parlementaires qui l’élisent puisqu’il avait déjà proposé un amendement afin de supprimer la fonction présidentielle. Ainsi, il accepte cette fonction en sachant parfaitement qu’il décidera de l’affaiblir. D’un régime censé être dualiste, Jules Grévy passe à un régime moniste. Dans ce texte dit « constitution Grévy » qui est un discours d’intronisation, il tente également d’affirmer

de censure en France. Régime parlementaire. Séparation rigide des pouvoirs : Etats-Unis. Il n’y a pas de responsabilité entre le Congrès et le Président. Régime présidentiel. La France est aujourd’hui dans un régime semi-parlementaire. C’est la seule dans le monde. Tous les systèmes ont été tentés en France, depuis 1789. Constitution de 1791 : monarchie constitutionnelle. Constitution de 1793 : Robespierre. Constitution montagnarde. Elle avait pour but de créer un régime d’assemblée : l’assemblé

gauche ce lance dans une campagne anticléricale. Jules Simon actuelle président du conseil tente de ménager le président et la chambre mais entreprend peut de choses pour enrayer cette campagne laissant la chambre modifier dans un sens libéral le régime de la presse. Mac-Mahon lui reprochera cela dans un lettre qui lui sera adresse le 16 mai 1877 qui équivaut a une révocation.  Jules Simon est aussitôt remplace par Broglie, ces le préambule de la crise du 16 mai 1877 car même si un président a l'époque

désignier un chancelier pr montrer qu'ils sont unis. Sous la 5eme Rep = pas possiblité de faire 2 censur sous la mm période Régime parlementaire : pas de messure de dissolution et de censur "séparation strict" = formule abusive car elle ne rend pas compte de la réalité. caractéristique présidentiel: - + tardive qu'au réfime parlementaire - opposition au régime parlemntaire car pas un système de monarchie - Président élu au soufrage universel direct = rép au exigence démocratique -

concrètement par l'apposition sur les actes du Président du contreseing du Premier ministre et des ministres concernés par ces actes, qui endossent alors la responsabilité politique de ces actes. Cette procédure apparaissait tout à fait normale dans des régimes où le rôle du Président était finalement assez réduit. Mais dès lors que les rédacteurs de la Constitution en ont fait la "clef de voûte" des institutions, l'irresponsabilité apparaît en décalage avec l'importance des pouvoirs présidentiels. Le chef

La Vème république a-t-elle permis une stabilisation de la vie politique? Régime qui crée le consensus. Acceptée par tous les acteurs. C'est le plus long régime qu'ait connu la France exceptée la 3ème république. Stabilisation de la vie politique. Comment ce régime s'est-il enraciné dans la durée? Ce régime clos le débat institutionnel qui a commencé à la révolution. Le problème de la forme a été tranché au 19ème, celui du fond au XXème. Evolution de la société. La France est une grande consommatrice

paradoxes, la IIIème République l’est incontestablement. Elaborée dans un contexte politique où les républicains n’étaient pas majoritaires, elle va consacrer la République parlementaire et forger l’idéal républicain. Considérée par ses initiateurs, comme un régime d’attente, fruit d’un compromis laborieux, elle reste aujourd’hui le régime politique français le plus durable. Ne comprenant aucune déclaration de droits, elle connut l’âge d’or des libertés publiques. « République de la discorde » elle fut

régénérée de la 1ère guerre mondiale sous Clémenceau, capable de s’adapter et d’aller au-delà de ses carences, mais dès qu’il abandonne le pouvoir, les défauts du régime reviennent avec plus de vigueur, donnant un antiparlementarisme virulent en 1920, 1930, parfaitement influencé par l’apparition du régime soviétique, et l’émergence de régime fascisant en Allemagne, Italie et Espagne, dès lors la situation est bien plus périeuse et la République est assiégée. Section 1 : La République à l’aube de

fait office de constitution a pour ambition de fonder un régime en opposition avec ce qui précédait pour éviter de reproduire les erreurs qui avaient conduit à la chute de la république de Weimar. Le but est d’éviter l’impuissance parlementaire de la république de Weimar et d’établir la stabilité du régime. La prépondérance du chancelier est donc renforcée alors que le président fédéral voit ses pouvoirs se réduire. La clef de voûte du régime devient donc le chancelier, c’est pourquoi on parle souvent

le 13 Mai 1958, le Gouvernement général à Alger est renversé et sont mis en place des comités de salut public. Cette situation va entrainer la démission du Président du Conseil Pierre Pflimlin le 28 mai 1958 S'instaure alors dans l'esprit des parlementaires l'idée d'un retour au pouvoir du général de Gaulle pour régler cette crise. C'est dans ce sens que va aller le Président de la République René Coty qui fait savoir à l'Assemblée nationale qu'il démissionnera si de Gaulle n'obtient pas l'investiture