Régime Totalitaire Et Autoritaire Différence

Ces changements d’exercices du pouvoir, de régimes politiques peuvent se faire de deux manières : * La manière violente, radicale… on va changer la Constitution à la suite d’un coup d’Etat, d’une guerre civile, d’une révolution. (Exemple en Tunisie (Révolution de Jasmin), en quelques jours le peuple tunisien a décidé (par une révolution) de changer de régime, d’obliger Ben Ali à quitter le pouvoir ne supportant plus d’être sous un régime autoritaire. En France, en 1789 avec la Révolution française

lecteur et lui permet généralement de mieux appréhender l’action et les comportements des personnages. Par exemple, le roman « 1984 » de George Orwell, écrit en 1948, présente une vision alors futuriste et extrêmement autoritaire de la société, inspirée par la montée des régimes totalitaires et la Seconde Guerre Mondiale, dans laquelle l’auteur a été personnellement impliqué. Cette dimension d’anticipation qui tend à avertir le lecteur des dérives possibles et futures de l’exercice du pouvoir, aurait

pourtat… », il est toujours flou et fuyant « vous croyez ? » « j’ai un petit peu » « j’ai un peu ». Ses gestes aussi sont flous, comme l’indiquent les didascolies « au petit bonheur » « vaguement » « mollement ». ( l’un est donc autoritaire, l’autre docile ou bien un peu indifférent 2° -Les relations de force Les relations de force sont nettement marquées : - le dialogue est mené par Jean, qui agresse verbalement son « ami » Berenger en critiquant son manque de ponctualité

touchée (baisse de la production de 50%, 6 millions de chômeurs) : comme partout, la population touchée par la crise se tourne vers les extrêmes et tombe dans la dictature nazie. Dans d’autres pays, comme la France, la démocratie résiste à la vague autoritaire. III) La démocratie remise en questionA la fin de la guerre, les puissances alliées vainqueurs imposent la démocratie dans les nouveaux états nés du redécoupage des frontières. Mais les frustrations de certains peuples (Italie) ou leur sentiment

moins pour la majorité des grecs ; La démocratie c'est surtout athénien mais ce n'est pas qu'athénien . Section 1 : La cité Les grecs raisonnent toujours sur le plan politique dans le cadre de la cité . Quand Platon décrit le régime idéal , il décrit un régime utopique mais il le décrit comme étant une cité . Deuxième caractéristique c'est que la société est une société inégalitaire accepté . La société grecque est esclavagiste et ne se pense pas autrement . Cela permet de libérer le citoyen

conséquences des statistiques et des sondages (p.29) a. Dans quelle mesure se fier aux sondages ? b. Conséquences sur notre comportement III. Différentes utilisations des statistiques selon les types de régime 1) Dans un régime totalitaire, situation de parti unique (p.32) a. Statistiques, outil de propagande b. Statistiques, outil d’information de l’Etat c. Chiffres faussés par la peur du pouvoir 2) Dans une démocratie

La métamorphose en rhinocéros est désirée passionnément par Bérenger à la fin de la pièce mais elle se révèle impossible. C’est parce qu’ il est le seul à avoir gardé la faculté de douter, de résister. C’est un anticonformiste, un dissident. Sa différence fait qu’il ne peut être contaminé. Tous les autres personnages, au contraire, se sont laissés endormir par leur vie bien réglée ils ne sont plus capables de penser, de réfléchir donc de résister. Ionesco à travers cette histoire s’inscrit dans

d'évaluer, de donner de la valeur ( les autres, soi même). Une comparaison a une rigueur propre. I) La comparaison en science sociale : historique et principes généraux A) Les précurseurs de la comparaison Aristote comparait les différents régimes politiques. Darwin, sa théorie est né grâce à la comparaison de plusieurs espèces. 3 précurseurs principales : JS. Mill, Durkheim, Weber. 1) JS. Mill et la méthodes des comparaisons 1806/1869. Il cherche a comprendre comment marche l'induction

avoir l’impression. C’est justement cette impression qui fait que l’Etat a bien souvent mauvaise réputation. Il est vrai que cette impression peut se fonder sur une certaine réalité d’un Etat opprimant le citoyen. Cela est même évident dans les régimes totalitaires. Cependant, s’il arrive que le pouvoir de l’Etat puisse être facteur de liberté et d’oppression ne devons-nous pas penser, que dans ce cas précis, il dévie de sa véritable destination, qu’il ne correspond pas à ce qu’il devrait être, à sa

pratique ou institution découlant d'un principe ayant un objectif à valeur constitutionnelle, non officiel et non écrit mais connu, accepté et suivi par les partis et acteurs politiques d'un État comme si cette convention étai une règle de droit. À la différence de la coutume juridique classique, la convention ne nécessite pas l'intervention d'un juge pour créer la règle : celle-ci est définie par les acteurs politiques. D'où le terme "convention" qui renvoie à la notion d'accord, de contrat entre les parties