Régime Totalitaire Régime Anti Démocratique

l’Europe, le 20e voit le déplacement du pouvoir vers les États-Unis ainsi que l’émergence de nouvelles puissances régionales. Histoire du 20ème siècle Sur le plan politique, le 20e siècle a été marqué par la très lente progression des idées démocratiques issues de l’ère des Lumières du 18e. La démocratie a été ainsi imposée au pays vaincu en 1945 (Allemagne), disséminés avec plus ou moins de succès dans les pays colonisés et étendu au pays du bloc soviétique. La démocratie est restée relative durant

européennes en les plaçant sous la tutelle de Washington. Selon la doctrine Jdanov, le monde était désormais divisé en deux camps antagonistes : d'un côté, un « camp impérialiste et anti-démocratique » dont les États-Unis serait « la principale force dirigeante » ; de l'autre, un camp « anti-impérialiste et démocratique » placé sous l’égide de Moscou. [modifier] Une volonté de paix En août 1941, Churchill et Roosevelt avaient signé la charte de l’Atlantique, une déclaration commune s’inspirant

semble s’imposer. De 1945 au début des années 1970, il faut considérer les Etats-Unis comme le chef de file incontesté du « monde libre », ayant su imposer leur modèle à une partie de la planète à la faveur de la guerre contre les puissances totalitaires de l’Axe puis de la lutte contre le rival soviétique. Suit le temps des doutes et des remises en cause, dans les années 1970-1980, qui apparaît, avec le recul, comme une période de redéfinition, ou de recentrage du modèle. Enfin, depuis 1990

des difficultés importantes. Ainsi la fusion absolue Etat-socitété pose un problème qui est que cette logique Etat-nation est une logique totalitaire (les gds régimes totalitaires du XXème siècle , fascisme, communisme, fondent leur régime sur le principe d’Etat-nation) FRANZ KELZEM a proposé une définition inverse à celle de ROUSSEAU et des régimes totalitaires : une approche purement juridique de l’Etat. L’Etat ce n’est pas la société, même les gouvernants qui sont simplement les représentants

s'emparent du pouvoir en 1922 sous la conduite de Mussolini. Le nom s'étend de l'organisation au régime : le fascisme italien durera d'octobre 1922 (marche sur Rome) à la chute de Mussolini, qui s'opère en deux temps (juillet 1943 et mai 1945). L'usage du terme s'étend ensuite à d'autres expériences faites en d'autres pays (franquisme, salazarisme, nazisme, gouvernement de Vichy),et finit par désigner tous les régimes présentant quelque parenté avec celui de Mussolini. Le fascisme devient un élément essentiel

Doc 3 p 243 Par ailleurs Herriot a poursuivi la politique de déflation provoquant un mécontentement de la population (fonctionnaires et retraités) qui presse les députés, et provoque une période de forte instabilité ministérielle. B)La crise du régime : photop243Crise économique + instabilité ministérielle due au parlement = mécontentement de l’opinion.. Le thème de la réforme de l'État devient d'actualité (1933). L'antiparlementarisme fait le succès des ligues d'extrême-droite : l'Action

conformisme puisqu'elle conduit l'individu à calquer inconsciemment son mode de vie et de pensée sur celui des autres membre de la société dans laquelle il évolue. Tocqueville a étudié ce  danger du conformisme, particulièrement présent dans le régime démocratique. Dès lors, le rapport individu-société peut sembler paradoxal puisque d'un côté, la société protège l'individu, assure même son développement et son perfectionnement. Mais, dans le même temps, elle menace l'individu et l'expose aux dangers

fait le chantre de la démocratie : - dénonce les régimes dictatoriaux d’Amérique latine et Asie ce qui, selon certains, a aidé à leur transition démocratique. - Se concentre particulièrement sur le communisme qui avait déjà été condamné en 1937 par Pie IX. Critique dès le début de son pontificat le système soviétique anti clérical. Selon lui, la dignité de l’homme donne droit à des droits inaliénables. Or les excès idéologiques et totalitaires comme le communisme vont à l’encontre de ces droits

pas plus raisonnable de ne pas autoriser ces derniers à être candidats aux élections ? Doit-on interdire ces partis dont les idées très nationalistes font trembler les français ? Dans un premier temps, nous verrons sur quoi est fondé le système démocratique et pourquoi il est moralement impossible d’interdire un parti. Ensuite, nous nous interrogerons sur les raisons qui peuvent amener à un tel acte. Enfin nous montrerons que faute de pouvoir interdire, la démocratie nous donne le droit de combattre

( NB le dirigeant de l’URSS à cette époque  = Staline, titre officiel = secrétaire général du parti communiste, la réalité de son pouvoir est une dictature totalitaire ) quelles valeurs mises en avant par chacun des 2 auteurs ? La démocratie, les 2 insistent sur l’aspect + démocratique de son propre régime, une forme de surenchère démocratique.   | Valeurs mises en avant | Valeurs rejetées chez l’autre | TRUMAN ( EU) | DEMOCRATIE LIBERALE = insistance sur la notion de LIBERTE ( élections libres