Régimes Totalitaires Points Communs Et Différences

L’histoire constitutionnelle française Le point de départ est la révolution de 1789. Elle est un aboutissement pour deux raisons : Elle va inaugurer une tradition de libéralisme et d’individualisme Elle met fin à près de 1000 ans de souveraineté et légitimité monarchique La réaction par rapport à l’Ancien Régime est assez violente. La Révolution est aussi le point de départ d’une longue instabilité politique et constitutionnelle. La Révolution n’est pas le point de départ de l’idéal démocratique. Durant

faits  à  base  de  dépresseurs. Et  comme  chacun  ne  peut  plus  s’exprimer,  il  ne  reste  plus  qu’à  suivre  la  voie  dictée  par  l’ordinateur  central.  Mais  ici,  contrairement  à  d’autres  romans  dystopiques  du  genre,  cet  état  totalitaire n’est  pas  produit par la violence, mais est dirigée, justement, dans le bien de la plus grande masse.  »  Compte­rendu du livre sur le site ​ bibliotheca.skynetblogs.be​  (​ lien​ )      Ray Bradbury, ​ Fahrenheit 451     «  Fahrenheit 451, un roman 

des  traitements  faits  à  base  de  dépresseurs.  Et  comme  chacun ne  peut plus  s’exprimer,  il  ne  reste plus qu’à suivre la voie dictée par l’ordinateur central.  Mais  ici, contrairement à  d’autres romans dystopiques du  genre, cet état totalitaire n’est pas produit  par la  violence, mais est dirigée, justement, dans le bien de la plus grande masse.  »  Compte­rendu du livre sur le site ​ bibliotheca.skynetblogs.be​  (​ lien​ )        Ray Bradbury, ​ Fahrenheit 451   «  Fahrenheit  451

dialoguons sur le mode humoristique. Les minorités (handicapés, personnes de petites tailles, malentendants, blondes, religieux, etc...) sont souvent pointés du doigt et tournés au ridicule dans des sketchs, des articles de presse satirique ou des vidéos sur le net. A différents moments dans l’histoire mais pour des faits de nature commune, des humoristes, écrivains ou encore des journalistes ont donc été condamnés pour avoir, selon certains, dépassé les bornes du politiquement correct ou de

 référence,  un  guide,  ce  qui  va  relier  va  être  une  action  dite  juste.       Attention  :  la  reliance  n’est  pas  la  fusion,  elle  maintient  les  différences.  Relier  ne  veut  pas   dire  fondre  ou  confondre  les  choses.       Cette  pensée  de  la  reliance,  intéresse  l’architecture  :     Parce  que  l’architecture

intéressant d’ailleurs de remarquer que les langues anciennes n’avaient pas de mot spécifique pour désigner un groupe. Les groupes, ou plus précisément groupes sociaux sont par définition un ensemble de personnes ayant des buts communs et des caractéristiques communes. Un groupe est une construction sociale. Il peut être définit comme deux personnes ou plus qui vont, pendant un temps, interagir, s’influencer mutuellement et se percevoir comme un « nous ». Tout ensemble d’individus n’est pas forcément

une règle instaurée ? Si la société est une vie commune régulée par une loi dont la société a conscience, alors parler de société animale serait abusif, ce serait une projection anthropomorphiste du terme. En approfondissant, on s’aperçoit que l’interrogation qu’est ce qu’une société ? ne peut être posé que si la société humaine commence à s’interroger sur sa propre histoire. Il faudrait parler de société pour désigner des formes de vies communes d’où émerge ce sens de la recherche historique.

lequel elle analyse le fonctionnement du régime politique Tunisien. Jean Jacques Rousseau disait « Le plus fort n’est jamais assez fort pour être toujours le maitre ; s’il ne transforme sa force en droit, et l’obéissance en devoir ».C’est sur cette réplique que se base l’analyse de Béatrice Hibou, qui illustre parfaitement le fonctionnement des relations de pouvoirs et de domination du gouvernement tunisien. Elle a essayé de dévoiler le fonctionnement du régime intime de ce gouvernement par lequel

prônent la séparation des pouvoirs. Après 1945 la suprématie des USA est absolue. Pendant la guerre ils ont doublé leur PNB et pris une avance technologique importante. Les USA dirigent le « monde libre » contre l’expansion communiste. Les USA ont un régime capitaliste. Aux USA les élections locales sont très nombreuses. Les citoyens choisissent les responsables municipaux, des comtés et des 50 Etats qui composent l’Union (depuis 1959). Les élections fédérales permettent de choisir les dirigeants pour

États autoritaires et totalitaires, eugénisme et génocides... Mais ce genre est certes beaucoup plus important et varié, et possède de nombreux antécédents. Mon postulat de départ est que bien des caractéristiques des dystopies, qui visent à dénoncer et contrer (via des réfractaires et autres dissidents) le côté infernal et néfaste de l’utopie (de l’utopie au sens classique, c’est à dire conformiste et anti-individualiste), notamment ses aspects autoritaires et totalitaires, permettent de ranger